Peur De La Mort

· Bazouge C’est l’un des principaux symboles, puisqu‘il incarne la mort : « quand Bazouge arrivait, ça sentait la mort à travers la cloison. On se serait cru logé devant le Père-Lachaise, en plein royaume des taupes. ». En effet, c’est le croque-mort. II/ Le rôle du Père Bazouge dans l’Assommoir Le Père Bazouge est un vieil ouvrier de 50 ans environ. Il vit dans la maison de la Goutte-d’Or au sixième étage, c’est à dire l’étage des pauvres. Lui aussi, comme beaucoup d’autres

la prière aux agonisants Onze ans déjà que cela passe vite onze ans Vous vous étiez servi simplement de vos armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant

s’approche de la tigresse, il l’aperçoit en train de jouer avec ses deux petits. Ligne 4 : « Ses petits jouaient sur son ventre.. » Dans le Diable au corps de Raymond Radiguet en 1923, François devait affronter sa peur. Dans le premier paragraphe, François avait peur que ses parents se rendent compte de son absence. Pour ne rien laissé paraître, il avait tout organisé à l’ avance. On le voit notamment grâce au champ lexical du stresse : «Je ne pus attendre.» ; «Le plus silencieusement.» ;

de la peine de mort publié en 1829. les Thèmes :La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, alors, il se propose d’écrire ce qu’il vit pendant ses dernières semaines de vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire « être condamné à mort ». Cet homme

13 : « Tuer n’est pas la solution ») a) Sentiments négatifs : - sentiment d’être incompris : « qu’il est dur d’avoir raison et de devoir aller jusqu’à la consommation » (= euphémisme de la mort) - regret : « que ne suis-je à leur place » - peur x3: « j’ai peur de la consommation » ; « j’ai peur », « la peur non plus ne dure pas » - dégoût de sa « lâcheté » qu’il a toujours reprochée aux autres b) Bilan dépréciatif de son passé : - il n’a pas eu la lune  et sait qu’il ne l’aura plus (: « Hélicon

universel que ce qu'il n'y parait. Ainsi "L'homme lutte contre la peur mais, contrairement à ce qu'on répète toujours, cette peur n'est pas celle de la mort, car la peur de la mort, tout le monde ne l'éprouve pas, certains n'ayant aucune imagination, d'autres se croyant immortels, d'autres encore espérant des rencontres merveilleuses après leur trépas ; la seule peur universelle, la peur unique, celle qui conduit toutes nos pensées, c'est la peur de n'être rien. p.231 A mon sens, cette fuite, cet exil de

1 : La peine de mort car ce livre traite du début à la fin d'un homme qui va être guillotiné. Victor Hugo lutte contre la peine de mort, il écrit ce livre dans le but de faire réfléchir les politiciens sur ce sujet et pour qu'elle soit abolie. Thème 2 : Le souvenir, au chapitre 33, le narrateur évoque sa vie d'avant, sa jeunesse, avec son premier amour, une jeune Andalouse qu' il surnommais Pepa. Thème 3 : La peur, le narrateur exprime ses sentiments de peur face a la mort tout au long du texte

marche au milieu des foules qui me jettent des pierres Triste radeau sur la houle, bienvenue en enfer ! Et si l'amour a planté, oui, des clous dans mon coeur C'est qu'une seconde à t'aimer vaut des siècles dans la douleur L'ange aux allures de la mort m'a dit "L'heure est venue, Mon enfant, ne regrette rien, l'amour, tu l'as perdu" Alors moi, je m'en vais sans regret me planter sur ma croix Me dire que, oui, peut-être un jour, oui, toi tu reviendras Je suis le Christ Et toi tu es ma croix

politique et militaire, aborde des faits philosophique (mort, amitié, éducation) et également œuvre autobiographique = grandes variétés de sujet et de ton aussi, parfois léger ou très grave tout premier essai fondé. Dans cet extrait, réflexion originale sur le rapport de l'homme à la mort I) La dénonciation des pratiques du vulgaire texte débute par un constat (l1) : d'après M, si on vit dans la peur de la mort on ne vit pas. Peur de la mort = maladie (fièvre = méthaphore) ici réfléchis aux remèdes

peut laisser penser que les Afghans sont dangereux à cause de l'emploie de la couleur noire qui représente la mort, la tristesse, le désespoir, la peur.Nous pouvons aussi relevés une hyperbole dans cette phrase, car il exagère sur le nombre de soldat, la foule de soldats ne fait apparaître qu’une seule couleur qui est le noir. Je peux en conclure que dès le début du texte on ressent la peur dans la