Peter Sloterdijk

se développe une "écologie de l’esprit" qui étudie ses interactions avec son environnement, que ce soit du côté dune "cognition incarnée et située",9 de la "géophilosophie" esquissée par Deleuze et Guattari*84 ou de la "sphérologie" élaborée par Sloterdijk, qui montre que "l’esprit est dans l’espace".*85 En quoi l’expansion lyrique qui se manifeste dans Les Fleurs du Mal ne les rend pas prisonnières de l’héritage romantique; elle a des prolongements dans notre modernité, qui ne se confond plus avec

la réception sensible mais aussi sur celui de la production matérielle (Amphoux et al., 1998 ; Daidalos, 1998). Des créateurs aussi différents que Adolphe Appia (1960) pour l’espace scénique, Michael Chekhov (1991) pour la performance théâtrale ou Peter Zumthor (2006) pour la conception architecturale ont mis en évidence l’efficace des atmosphères dans l’acte créatif. Dans tous les cas, l’ambiance est ce qui donne vie à un environnement, ce qui lui confère sa qualité d’ensemble et sa tonalité singulière

Bachelard a largement influencé Canguilhem à Foucault en passant par Simondon[39] . l'épistémologie française, de Ses théories sur l'imagination ont marqué le travail de certains philosophes herméneutes postmodernes de la veine heideggerienne tels Peter Sloterdijk[40] . Sa philosophie plus strictement poétique, très marquée par le surréalisme, semble avoir eu moins d'impact que sa philosophie des sciences et de l'imaginaire (si tant est que l'on puisse dissocier sa théorie de l'imagination de sa théorie

développement des droits dans le travail regroupés dans le Code du travail en France soit un apports essentiels à une politique de développement des capabilités. ----------------------- [1]. En reprenant l'image du philosophe allemand Peter Sloterdijk. [2]. Le panoptique de Bentham est sans doute préférable aux chaînes et au boulet pour les prisonniers, encore que la couleur orange et l'immobilisation des individus aient également leur utilité pour faciliter le repérage des individus

l’homme à un objet d’expérimentation, de signer la fin de l’Histoire, fut-ce au travers d’analyses pseudo rationnelles et pseudo-scientifiques de la modernité ou, pour demain, de l’avènement d’une post-humanité. Ainsi le philosophe allemand Peter Sloterdijk, qui se présente comme un « posthumaniste », en s’opposant notamment aux thèses de Jürgen Habermas, a-t-il lancé une polémique extrêmement dangereuse sur l’« homme nouveau ». En effet sous couvert de provocations se découvre une rhétorique

Penser le xxe siècle, École polytechnique, 2000 Des hommes et des bêtes, Tricorne, 2000 L'imparfait du présent. Pièces brèves, Paris, Gallimard, 2002 Enseigner les lettres aujourd'hui, Tricorne, 2003 Les Battements du monde, conversation avec Peter Sloterdijk. Paris, Pauvert, 2003 Au nom de l'Autre. Réflexions sur l'antisémitisme qui vient. Paris, Gallimard, 2003. : essai sur la montée d’une nouvelle forme d’antisémitisme. Nous autres, modernes : Quatre leçons (Ellipses, 2005) - Prix Guizot-Calvados 2006

Quelles sont les objections : * le disgènisme : on veut faire mieux mais on fait moins bien. C’est Hans Jonas qui a montré le disgènisme (les découvertes d’avenir viseront moins à faire des progrès que d’éviter de faire des catastrophes). * Peter Sloterdijk, qui écrit « règles pour le parc humain » en 1999. Notre humanisme dit que l’homme est ce qu’il se fait, l’homme est ce qu’il décide, l’homme est libre donc il n’y a pas de nature humaine (Sartres) en opposition aux idées grecs. Selon Sloterdjijk

sont les objections : * le disgènisme : on veut faire mieux mais on fait moins bien. C’est Hans Jonas qui a montré le disgènisme (les découvertes d’avenir viseront moins à faire des progrès que d’éviter de faire des catastrophes). * Peter Sloterdijk, qui écrit « règles pour le parc humain » en 1999. Notre humanisme dit que l’homme est ce qu’il se fait, l’homme est ce qu’il décide, l’homme est libre donc il n’y a pas de nature humaine (Sartres) en opposition aux idées grecs. Selon Sloterdjijk

Comme un encastrement, il considérait qu’il était impensable de réfléchir sur les villes comme un organisme détaché de la région. C’est la région qui s’agit de comprendre les limites qui est l’organisme pertinent pour réfléchir au territoire. * Peter Kropotkin, Fields, factories and workshops : c’est la bible de F.L.W. On doit penser la campagne, les ressources productives et la ville en même temps. Il faut veiller à ce que tout organisme est une certaine indépendance, une autosatisfaction. Il

2-7071-4264-6]. * Jean Dubuffet, Asphyxiante culture, Édition de Minuit, Paris, 1986 [ISBN 2-7073-1084-0] * Paul-Edmond Lalancette, La nécessaire compréhension entre les sexes, Québec, 2008, p. 100 à 150, ISBN: 978-2-9810478-0-9. * Peter Sloterdijk, La Domestication de l’être, Édition Mille et une nuits, 2000 [ISBN 2-84205-503-9] * Paul Claval : géographie culturelle * D. Lestel, Les Origines animales de la culture, Paris, 2003 (Champs, 543) [ISBN 2-08-080069-8]. Sur les institutions