Peste d'Athènes

1913 en Algérie Française. Il reçoit le Prix Nobel de littérature en 1957. L'œuvre de Camus se caractérise par deux thèmes principaux: celui de l'absurde qui naît du décalage entre un besoin d'idéal et le monde réel (Le Mythe de Sisyphe ou encore La Peste dans lequel l'auteur dépasse cet absurde en proposant un nouvel humanisme: celui de l'entraide) et celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Il doit sa renommée à son œuvre majeure, L'Etranger, paru en 1942, dont

philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les moeurs des hommes, et qui prévient les accès du mal; car dés que ce mal fait des progrès, il faut fuir et attendre que l’air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent, pas contre la peste des âmes; la religion, loin d’être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. Ces misérables ont sans cesse présent à l’esprit l’exemple d’Aod qui assassine le roi Églon; de Judith qui coupe la tête d’Holopherne

cette page a-t-elle une valeur symbolique A) La présence de la peste -Hormis celui de la fête, quel est le champ dominant du passage ? Etudiez sa répartition dans le texte. -Quel lien peut-on établir entre le thème de la maladie et les autres textes du corpus ? Quelle indication cela donne-t-il sur la présence de la peste -Quels sont les indices de cette allégorie dans l’extrait ? B) L’étude de l’allégorie En considérant que la peste n’est pas ici uniquement une maladie, mais l’image du Mal, que

L’IMAGINAIRE Observation sur une image trouvée dans La peste Identifiez une image, indiquez-en la source (partie du roman, page et lignes) et rédigez un texte d’environ 10 lignes sur la signification de cette image dans le contexte du roman. Dans votre texte, vous pouvez aussi dire comment vous réagissez à cette image. La peste vue comme « le fléau de Dieu » (« Deuxième partie », p. 130, l. 798). Pour établir la signification contextuelle du cette image, il faut d’abord s’interroger

SECHI Barbara WAGNER Léa La peste Albert Camus 1) Une chronique est un recueille un fait historique de regroupés par époques et présentés selon leur déroulement chronologique. Article d'un journal qui est consacré aux actualités d'un domaine précis .Dans les deux premier chapitre les éléments participe au réalisme du texte .Le locuteur s’appuis sur des éléments précis et riche 2) Alors que dans le premier chapitre le narrateur semble plutôt objectif, sur les événements dont il est témoin

puisqu'aucun microbiologistes n'aurais puent émettre une telle chose. Ce virus qui en lui même peut être complètement inoffensif, est très contagieux et par la même occasion peut entrainer la mort en quelques jours. Nous n'aurions jamais soupçonné que cette peste pouvait être complètement innocente face à nous et surtout que c'était notre système immunitaire qui faisait en sorte, que l'infection entrait dans notre corps. Aujourd'hui, je ne suis pas d'accord pour dire que les petites bibites ne mangent pas les

Jean-Paul Sartre et Albert Camus sont deux icônes majeures de la vie intellectuelle française du XXème siècle, notamment des années 1940-1960. Leurs œuvres et leurs engagements se complètent. Ce sont des romanciers talentueux : L’Etranger, La Chute, la Peste, le mythe de Sisyphe pour Camus ; La Nausée, Le Mur pour Sartre ; mais aussi des dramaturges : Caligula, Les Justes, Le Malentendu pour Camus ; Huis Clos, Les Mouches, La Putain respectueuse, Morts sans sépulture, Les Mains sales, Les Séquestrés d'Altona

Les questions d’ensemble : 1ères impressions. • Ce texte, a-t-il quelque chose de particulier ? Est-ce qu’il s’écarte d’une norme ? Pourquoi ai-je ce texte à étudier et pas un autre ? Ce texte = crucial par son thème = la révélation de la peste. Pour la 1ère fois dans le roman = le nom est donné et nommé = faire (cf langage performatif). • Quel est le thème du texte ? Peut-il être mis en relation avec l'œuvre dont le texte est extrait (place du passage…), avec le titre de l'œuvre, avec

traiterai du théâtre et la peste et de l’importance du théâtre balinais. Peste bubonique, septicémique, pulmonaire ou noire furent les meurtrières de bien des gens. Antonin Artaud compare celles-ci au théâtre, non pas comme étant un meurtrier, mais comme un mouvement qui communique et qui bouleverse. Effectivement, Artaud déclare ceci : << Si le théâtre essentiel est comme la peste, ce n’est pas parce qu’il est contagieux, mais parce que comme la peste il est la révélation, la

de pénétrer et de rester dans ce monde «magique» et beau est présent du début à la fin du texte. Car c’est la réalité, et non les «mythes» qui apporte la plénitude d’exister et d’être soi. De ce fait, il contraste vraiment avec des textes comme La Peste où la réalité est présentée de manière plus acerbe et amère. Cet ouvrage est composé de quatre récits lyriques, dont le premier "exaltation de la nature", fait l'objet de ce commentaire. "Noces à Tipasa" est un texte où prime la notion de bonheur