Personnages Du Colonel Chabert

NARRATIVE On la définit à travers un double critère : - Ses sous genres : roman, nouvelle, conte, récit… Ces derniers sont repérables par leur longueur, la complexité d’intrigue, le nombre de personnages, le cadre, le décor, la structure narrative… Ex : Le colonel Chabert de Balzac a peu de personnages, une structure simple avec des retours en arrière (analepses), peu ou quasi pas de description (étonnant pour cet auteur), un seul lieu décrit. De ce fait débat autour de roman ou nouvelle ? -

clerc de notaire dans cette étude où Jules Janin était déjà « saute-ruisseau » (jeune clerc de notaire ou d’avoué chargé de faire les courses[). Il utilisera cette expérience pour créer le personnage de Maître Derville et l’ambiance chahuteuse des « saute-ruisseau » d’une étude d’avoué dans le Colonel Chabert. Une plaque rue du Temple à Paris témoigne de son passage chez cet avoué, dans un immeuble du quartier du Marais.

Le réalisme : I) Le mouvement réaliste : Le XIXème siècle est celui du roman, de sa montée en puissance. C'est le siècle du réalisme. Des exemples d'oeuvres et auteurs : Madame Bovary de Flaubert, Le Père Goriot ou Le Colonel Chabert de Balzac, La Bête humaine ou L'Assommoir de Zola, Les Misérables d'Hugo, ou encore La Petite Fadette de George Sand. Les principes de ce mouvement reposent sur la reproduction la plus parfaite possible de la réalité et, cela implique souvent la documentation sur

Le personnage de roman au XIX ème LE ROMAN Le XIXème siècle est celui du roman, de sa montée en puissance. C'est le siècle du réalisme. Des exemples d'oeuvres et auteurs : Madame Bovary de Flaubert, Le Père Goriot ou Le Colonel Chabert de Balzac, La Bête humaine ou L'Assommoir de Zola, Les Misérables d'Hugo, ou encore La Petite Fadette de George Sand. LE PERSONNAGE On pourrait pour le décrire, dresser un « portrait type » du personnage de roman pour ce siècle. Époque Le XIXe invente le

en lumière les personnages de Jean-Esther van Gobseck, usurier, et de Maître Derville, avocat en début de carrière. Ces deux personnages, qui jouent un rôle essentiel dans ce roman, reparaissent dans l’ensemble de la Comédie humaine, soit sous forme d’évocation : Gobseck, soit en personne : Maître Derville, que l’on retrouve dans Le Colonel Chabert, Splendeurs et misères des courtisanes et dans de nombreux autres volumes de La Comédie humaine. Il fait partie, dans les personnages de la Comédie humaine

Parmi les textes étudiés, on retrouve plusieurs moyens de dévier de la réalité. Premièrement, en écrivant à travers un style fantastique. Dans Le Colonel Chabert, Balzac écrit :"Le visage pâle, livide, et en lame de couteau, s'il est permis d'utiliser cette expression vulgaire, semblait mort" et "cette physionomie cadavéreuse". Balzac compare le colonel à un mort-vivant, ajoutant une touche excitante au récit. On trouve une instance similaire dans Pierre et Jean, dans lequel Maupassant compare deux

représenter sur scène et la réalité. La comédie doit être le plus proche possible de la réalité. Les personnages doivent représenter les vices du genre humain. Il doivent être des personnages types, caractérisé par un défaut. L'auteur de comédie doit peindre des vices pour ramener les spectateurs a corriger les siens. Il est un moraliste comme un fabuliste. Dans la comédie, les personnages sont accablés de défauts et le publiques peut mal accepter de revoir représenter le genre humain.

Comédie humaine. Ici intervient la seconde illumination de Balzac : écrire une histoire complète des mœurs de son temps, histoire dont chaque chapitre sera un roman. Avant de faire concurrence à l’état civil, en mettant au monde deux ou trois mille personnages, il les a liés les uns aux autres par un ciment social de hiérarchies et de professions. Dès lors, les publications se succèdent à un rythme accéléré. En 1838, avec notamment Victor Hugo, Alexandre Dumas, Frédéric Soulié et George Sand, il fonde

des hommes». Le roman doit-il absolument présenter un aspect singulier par son intrigue et ses personnages pour représenter la vie des hommes ? Pour répondre à cette question, nous nous intéresserons à ces aventures, à ces passions et à ces personnages singuliers que mettent en scène certains romans. Dans un deuxième temps, nous nous pencherons sur ces romans dont au contraire l’intrigue et les personnages pourraient appartenir à la vie courante. Enfin, nous verrons que quel que soit le type de roman

un défenseur de la religion. Il a donc suivi, en outre de l’écriture, les valeurs de son temps en tentant des choses Il se remet sérieusement à l’écriture dès 1829. 1831 : La Peau de chagrin 1834 : Le Père Goriot (chef-d’œuvre) et Colonel Chabert * Il n’arrête plus jusqu’à sa mort. Beaucoup d’aventures féminines, il reçoit en 1832 une lettre signée « l’étrangère ». En réalité elle provient d’une polonaise mariée, avec laquelle il aura ensuite une relation entre ses différents voyages