Personnage Symbole

tient à l’intérieur, sous le porche, et fait face au spectateur. Dans le ciel, au dessus de Gabriel, apparaît Dieu le père, installé sur un nuage : il tend ses mains en direction de Marie pour accomplir le miracle, la transmission du rayon d’or, symbole matériel de l’Incarnation du verbe dans le corps de la Vierge. Grâce à l’étude des éléments iconiques et plastiques qui composent cette célèbre Annonciation, nous nous interrogerons sur la manière dont l’artiste, tout en se soumettant aux impératifs

effet que dans la sculpture deux personnages sont représentés : un homme qui tient un marteau, symbole de prolétariat (classe sociale des travailleurs qui ne possèdent pour vivre que de leur force de travaille) et une femme tenant une faucille, symbole de la paysannerie. Ces deux personnages semblent être un ouvrier et une kolkhozienne et appartiennent à des classes sociales différentes. Pourtant, ils semblent s’unir par leur geste et par leur élan en tenant les symboles de leur condition. Ainsi ces

attire Ionesco chez l’enfant, c’est sa capacité d’étonnement. Ce dernier représentant pour le dramaturge, la « quête de la virginité du monde, la recherche de la prise virginale des âmes et des choses. » Mais, l’enfance est un état paradoxal. Symbole de rêverie paradisiaque et de refuge, il devient aussi un piège : « L’enfance représente la nostalgie des origines mais aussi un piège existentiel, est-il dit dans L’architecture de l’enfance chez Ionesco. La clôture onirique devient le suprême refuge

tableau est devenu le symbole de cette lutte contre la guerre Picasso a toujours refusé qu’il soit ramené en Espagne tant que Franco était au pouvoir. Ce n’est qu’en 1981 que Guernica arrive en Espagne. Il est aujourd’hui exposé au Musée d’Art contemporain Reina Sofia à Madrid. C. Contexte artistique : Guernica fait parti du mouvement artistique du cubisme. Il est à la fois un tableau cubiste et expressionniste. C'est une toile figurative car on peut y reconnaître des personnages. La peinture cubiste

est construite à partir de plusieurs éléments : - un personnage au centre, occupant deux-tiers de l'image ; sa peau est très blanche, ses yeux sont verts et il porte un maquillage rouge ; - un flacon sur la main gauche du personnage, au centre de l'image, décalé vers la droite ; le corps du flacon est rouge alors que le bouchon est noir ; - un (sous-)vêtement que porte le personnage, de couleur noire ; - un collier long sur le personnage (autour du cou et sur les bras), de couleur rouge ; -

premier plan on voit plusieurs personnages et animaux : une femme avec dans les bras son enfant mort, un cheval blessé,un taureau, un soldat avec un épée, une lampe à pétrole, un homme dans les flammes, une femme boiteuse, un fantôme, une colombe et une lampe. Au deuxième plan, on peut aperçevoir des architectures intérieures qui alternent avec des vues extérieures, des portes, des fenêtres, des flammes, des toits, un dallage. L'un des pricipaux personnages est le cheval au centre de l'oeuvre

générations de spectateurs, traversant les époques sans jamais se démoder, depuis les grecques anciens jusqu'à nos jours, il se réinvente sans cesse. Le théâtre nous pousse a réfléchir, nous revoie notre propre image à travers les péripéties des personnages. L'auteur et/ou le réalisateur utilise(nt) les différentes formes de conflits et de débats pour faire passer un message ou simplement donner l'atmosphère voulue a la pièce. Nous nous demanderons par conséquent quelles sont les ressources spécifiques

D'entrée de jeu, la déchéance du personnage est au coeur de l'action. Mais outre l'importance de ce personnage, nous allons nous intéresser ici à un autre actant d'envergure : Florence. L'indication de l'auteur devient presque euphémistique au fil de la lecture car, incontestablement, Florence est bien plus qu'un lieu ou un décors, elle est en fait un personnage à part entière. Nous nottons l'omniprésence textuelle de son nom, employé par tous les personnages tout au long de la pièce, du Duc aux

qu’il les voit. Ainsi les visages des personnages sont vus de face et de profils en même temps. Il a aussi déformé leurs membres afin de transmettre la souffrance ressentie par les protagonistes. Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur et la douleur. Les personnages hurlants sont tournés vers le ciel position qui accentue l’expression des visages. Description générale du tableau : Guernica est monumental, tous les personnages sont plus grands que leur taille normale

cheval qui représente le peuple, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation.Les expressions sont fortes (femme criant de douleur, cheval terrorisé, soldat mort…), et accentuées par la déformation de l’ensemble des personnages. Des architectures intérieures alternent avec des vues extérieures, des portes, des fenêtres, des flammes, des toits, un dallage, une colombe).