Personnage Pathetique Dans Andromaque

le foisonnement de la Renaissance et de l’âge baroque, les règles du théâtre classique, inspirées de l’Antiquité, s’imposent. Ainsi, on distingue les règles suivantes : • Les règles de bienséance : Interne : Dans toute pièce classique, les personnages doivent respecter leur caractère établis du début à la fin de la pièce. Externe : Les actions et les répliques de la pièce, ne doivent pas aller contre la morale de l’époque, c'est-à-dire qu’elles ne peuvent pas choquer les spectateurs, elles

brûle » (rouge du feu) → incompréhension Fatalité a la fin de la seconde partie → Hélène sait et l'assume → Hector est contre cette notion et veux prendre son avenir en mains → la 2e partie du dialogue n'a pas fait évoluer les personnages 3ère partie : Hector s'interroge il commence a douter / opposition a Hélène qui est certaine et fait confiance a ses visions Hector lui demande si elle va annoncer « la mort de paris » a cette question helene lui répond qu'elle voit « un

aussi par le handicap technique de mettre en scène des époques diverses ou plusieurs intrigues au sein d’une même pièce. Ex : Monsieur de Pourceaugnac de Molière se situe dans un décor unique, une place de Paris, lieu de rencontre des nombreux personnages Actuellement d’autres lieux sont investis, le théâtre en rond, le théâtre de rue mais quelqu’il soit l’espace reste nécessairement réduit car il doit s’inscrire dans le champ de vision de son public. 2) Argument 2 : le théâtre repose sur l’acceptation

scène l’accomplissement d’un destin malheureux et fatal des héros par leurs passions. Ainsi dans la tragédie Andromaque de Racine écrit en 1667 durant la monarchie absolue du XVIIème siècle, l’auteur nous montre le conflit de pouvoir entre les princes Grecques ainsi que les passions impossibles des personnages. L’acte 1 de la scène 1 (scène d’exposition) nous présente Oreste comme un personnage tragique en proie à une passion amoureuse. Il se confie à son ami Pylade sur ses sentiments ainsi que ses

son père et épousé sa mère. Huis clos , 3 personnages enfermés pour l’éternité) : l’Autre est la figure du Destin, aucun ne peut échapper à autrui : ils essaient l’indifférence, la fuite (porte fermée), le suicide (déjà morts), l’amitié, l’amour (acte III). Le rideau tombe sur « continuons à nous faire souffrir ». Ils considèrent la situation comme possible, au sens d’inévitable, et l’acceptent. Le temps de la tragédie est celui qu’il faut au personnage pour comprendre que le nécessaire se joint

intégrées à la mise en scène. En effet, on trouve dans certaines pièces de théatre une coupure avec la règle de lieux. On peut prendre l'exemple suivant. Dans la pièce " Marcel monte à Paris", pièce contemporaine qui a connu un grand succès, le personnages principale dialogue avec son double grâce une projection vidéo, installée sur scène. De plus, la technologie peut être mise en place pour créer un décor plus vivant : dans une représentation moderne de "L'école des femmes" , les murs bougent pour

centre de l'intrigue. C'est par exemple le cas dans des pièces comme Andromaque, Phèdre, ou encore Britannicus. En effet, dans cette dernière écrite par Racine en 1669 il s'agit d'une déchéance amoureuse à laquelle s'ajoute une tournure politique mettant en relief le pouvoir de l'empereur Néron. L'acte II, scène 6 met en avant l'aspect dramatique de la pièce dû à cette situation. On s'interroge alors sur la manière dont le personnage de Néron adopte son rôle de « monstre » tragique puis sur les différents

psychologie des personnages. Le conflit permet d’éclairer une situation et d’en comprendre les enjeux. Dans le Mariage de Figaro de Beaumarchais, lors de la scène d’exposition le Comte Almaviva et son valet Figaro s’opposent à cause d’une rivalité amoureuse. En effet Figaro est sur le point d’épouser Suzanne cependant le Comte qui est marié à la Comtesse, désire également la jeune femme. Les conflits amoureux peuvent alors mettrent en évidence les rapports de forces des différents personnages comme pour

statut dans la societée Les commediens du 17 eme siecle étaient considérés comme un mal necessaire. Les riches les payaient pour animer leurs soirées mais ils les méprisaient, surtout l’Eglise qui les accusaient de se glisser dans la peau des personnages qu’ils n’etaient pas et de célébrer des passions mauvaises ( Exemple : Révolte d’une fille contre son pére … ) Le public Les spectateurs se tenaient dans des parterre face à la scene et participaient au spectacle. Les riches specateurs se

d’un exposé trop dogmatique. « Ainsi qu’à Corneille » : on revient maintenant à ce qui unit les deux dramaturges. -          Grand, merveilleux (ne manque pas à Racine, mais plus volontiers associés à Corneille), touchant, pathétique (c’est l’inverse). C’est avec Andromaque que ces deux qualités ont fait irruption dans la tragédie, bouleversant l’histoire du théâtre, probablement sous l’influence d’un public plus féminin et lecteur de romans. Et La Bruyère va s’échiner à montrer que cet ensemble