Personnage De Clitandre

Rouen et meurt en 1684. Il est né dans une famille d'honorables bourgeois ; très jeune licencié en droit, il est passionné par la littérature. Très grand écrivain de son époque, il a écrit beaucoup de tragédies et de comédies, par exemple : Mélite, Clitandre, La Veuve, La Galerie du Palais..., les plus connues sont : Le Cid, Horace et Cinna. Il a reçu des pensions de Fouquet, Mazarin, Louis XIV et a été élu à l'Académie française en 1647 après 2 échecs. Il a connu la gloire, certaines de ses oeuvres

on vous a parlé pour ensuite finir sur une synthèse. • Présentation du Cid (Qui ? Pièce de théâtre) : Le Cid est une pièce de théâtre tragi-comédie en vers de Pierre Corneille dont la première représentation eu lieu le 5 Janvier 1637. Les personnages Don Rodrigue (Rodrigue), fils de Don Diègue et amant de Chimène. Cid est un surnom de guerre qui ne sera rappelé qu’aux actes IV et V et uniquement par le roi et l’Infante. Chimène, fille de Don Gomès et maîtresse de don Sanche et de don Rodrigue

le caractère d’Alceste et son dilemme : il aime Célimène qui ne peut se passer de la société mais lui-même ne peut supporter la vie en société. A l’acte II, c’est la première apparition de Célimène. La jalousie d’Alceste s’exerce d’abord contre Clitandre ; justification de Célimène : elle doit le ménager pour son procès. Axe de l’explication : l’intérêt psychologique et scénique de l’expression de la jalousie. I La jalousie : moteur des réactions d’Alceste. Dès le début : généralisation abusive

dans une famille bourgeoise. Il suit ses études chez les jésuites de Rouen où il apprend les bases du théâtre mais se lance dans une carrière d’avocat. En 1930, il se lance finalement dans le théâtre avec tout d’abord des œuvres de comédie moderne (Clitandre (1631), La place royale (1634),…) ou de théâtre dans le théâtre (L’illusion comique (1636)). Mais c’est vraiment avec le succès de Médée en 1635 qu’il confirme sa carrière de tragédien. Corneille continue par la suite à emprunter la voie du succès

manifeste pas à travers quelques actes indépendants de la part d'Alceste. Bien au contraire, elle se dégage toujours d'une "mise en situation" avec un ou plusieurs personnages. C'est à ces mo- ments-là, par des discussions, que non seulement se révèle la dualité d'Alceste, mais aussi les diffé- rentes tensions créées par les personnages qui, d'une façon ou d'une autre, l'affrontent. Cette dualité consiste avant tout dans le fait qu'il est hostile à , la société et à ses représentants; mais en même

problème et résoudre scientifiquement la question de savoir comment se comportent les hommes, dès qu'ils sont en société.” (Zola, Le Roman expérimental, 1881) Médée, Sénèque : Type de scène : Monologue de Médée Fonction : Savoir ce que pense le personnage principal Fonction avant dernière scène : Effet d'attente du dénouement, prépare la catastrophe finale. Monologue où s'exprime le dilemme de Médée : Sauver ses enfants/ Satisfaire son désir de vengeance Les sources du théâtre classique Le théâtre

tête » Procédé du regard étranger + périphrases et litotes pour montrer les faux-semblants et la fausse naïveté féroce de la Cour Rq 9 Livre V « De la société et de la conversation  » Procédés littéraires accentuant la satire des personnages et l’ironie « Il en rit le premier jusqu’à éclater » « Prend feu » « A tout lu, a tout vu » «  C’est un homme universel » Métaphores, hyperboles et parallélisme qui critiquent le narcissisme, l’interventionnisme, l’auto-satisfaction

leur attitude afin de les corriger.Chapitre 5 « DE LA SOCIETE ET DE LA CONVERSATION » :L’auteur décrit les caractères de l’honnête homme. Comme Jean DE LA FONTAINE qui utilisait les animaux pour ne pas vexer les gens de cour, LA BRUYERE crée des personnages fictifs : On peut lire les portraits principaux d'Acis, Arrias, Théodecte, Troïle, Cléon, Euthyphron, et Hermagoras.Dans ce chapitre, LA BRUYERE critique l’usage de la parole lorsqu’elle est utilisée pour critiquer, se moquer. La parole sert d’échange

Alceste et Célimène constituent les personnages cen traux du Misanthrope . Par le pessimisme d’Alceste et la frivolité de Célimène, ils sont à l ’opposé l’un de l’autre. Mais malgré leurs différences, Alceste tombe amoureux de Célimène. La jeune fille paraît aussi amoureuse de lui mais elle continue à voir d’autres hommes, ce q ui inquiète Alceste. Il n’est pas le seul à être amoureux de la jeune veuve. Oronte et les deux marquis, Acaste et Clitandre, se sont aussi épris de Célimène. Au

Alceste et Célimène constituent les personnages cen traux du Misanthrope . Par le pessimisme d’Alceste et la frivolité de Célimène, ils sont à l ’opposé l’un de l’autre. Mais malgré leurs différences, Alceste tombe amoureux de Célimène. La jeune fille paraît aussi amoureuse de lui mais elle continue à voir d’autres hommes, ce q ui inquiète Alceste. Il n’est pas le seul à être amoureux de la jeune veuve. Oronte et les deux marquis, Acaste et Clitandre, se sont aussi épris de Célimène. Au