Péroraison

bien structuré): 1er paragraphe : exorde destiné à disposer les interlocuteurs à vous écouter favorablement. On cherche à attirer l’attention. L10-19 : narration exposition des faits, brève et simple L20-29 : preuve arguments et exemples L30-30 : péroraison exhortative conclusion du discours Ce discours oscille entre le genre judiciaire avec un réquisitoire (méfaits) dans le 2nd paragraphe et le genre épidictique qui insiste sur le blâme de Bougainville et l’éloge de la vie sauvage. Ce discours

partie finalement : c’est un constat d’échec et c’est le risque du silence, risque auquel Voltaire ne cède pas, en transformant sa tentation du silence de l’injonction « Brûlez vos livres » en un vibrant appel à la pitié B) L’appel à la pitié comme péroraison : un passage très éloquent avec une seule question oratoire ; l’énumération des qualités humaines en opposition à l’allusion brève à la demi-livre de plomb ; le recours au visuel et au son ;l’allusion à des personnes innocentes et l’implication

persuader la jeune femme de venir faire un tour dans le jardin. Construction : mot « mignonne » à l’attaque. Cette première partie du discours s’appelle l’exorde qui crée l’animation, de même que l’impératif. La chute du poème : fin du discours=la péroraison. Rhétorique romaine, 2 types d’exorde : 1.l’appel direct à l’auditoire = le principium ou le praelium, 2. Plus indirect. Choix du type qui dépend du sujet et de l’auditoire : s’il est fatigué, apostrophe directe. En peinture, cela correspond (le

romain réputé pour son éloquence, distingue cinq étapes dans un discours : - L’exorde : interpellation du public - Narration : rappel des faits - Confirmation : l’orateur expose son argumentation - Réfutation : l’orateur critique la thèse adverse - Péroraison : clôt la prise de parole, souvent en résumant l’argumentation, souvent emphatique, elle doit marquer les esprits et soulever le public.  4)  Les genres oratoires La rhétorique a organisé l’art oratoire en trois genres (que

derniers jours de son mal » ligne 1 ; « après avoir passé une nuit très fâcheuse » ligne 2 ; « violent chagrin » ligne5 ; des sentiments si opposés et si douloureux » lignes 7-8. Il y a une tirade du Prince, un exposé véhément virulent de réponses (péroraison rhétorique) passionnée et aux nombreux effets oratoires. Retour au récit, avec trois lignes (32-33-34) dans lesquelles on peut observer le silence de Mme de Clèves devant les reproches injustes de son mari. Enfin, on a du dialogue jusqu’à la fin

thèse = variabilité de la vie, vanité et apparence, labilité (cf allitération en [s]) ; 2) second quatrain = "narration" ou plutôt réfutation de la thèse d’Ovide, pour avancer une pensée plus radicale 3) sixain = "péroraison" : accumulation, presque paratactique ; énumération p. montrer que la vie est un songe [Conclusion] Au final, on a donc un exemple de poésie moraliste, dénonciation de la vanité de la vie ; VDB le libertin se révèle ainsi comme l’héritier de

du discours tel qu’il avait été conçu dans la Grèce Antique, Pascal met en place un certain ordre dans son raisonnement. C’est le cas lorsqu’il utilise La Rhétorique d’Aristote avec les cinq parties (exorde, narration, confirmation, réfutation et péroraison). De plus, on peut ajouter que la base du raisonnement de Pascal est essentiellement logique et qu’il s’appuie sur des raisonnements variés mais toujours très clairs et ordonnés. Bien que le raisonnement soit souvent inductif comme on peut le voir

que les Amériques où les Indes. La France, trop concentrée sur le continent, n’a pas pu tenir le choc. C’est par des taxes que les colonies pour rembourser les investissements , ce qui déclenchera à terme la révolution américaine… En guise de péroraison, nous pouvons rappeler que, jamais téléologique,l’émergence européenne à la fin de la période moderne a clairement été le fruit de concurrences impitoyables entre les puissances européennes hors du continent. Concurrences qui ont pu se caractériser

rhétoriques + exclamatives ⁃ Narration : rappel des faits (discours narratif) ⁃ Confirmation : on défend sa position en amplifiant son discours : énumération, rythme ternaire... (tous les procédés) ⁃ Réfutation : nier la thèse adverse ⁃ La péroraison : conclusion de tout ceci, la personne accusée s'ammande (réparation des torts) Argument ad hominem, l'anaphore de « j'accuse », présence du « je ». C. Les connecteurs logiques Ils servent à relier les arguments ou les thèses d'un texte

« l’énigme de ma vie ») présente des interrogations oratoires amplifiées par des anaphores. La confirmation et la réfutation Il n’y a pas ici de narration – ce qui est inattendu dans le discours judiciaire – car le meurtre n’est qu’un projet. La péroraison : preuves pathétiques et exaltation grandiose du « je ». La question de l’action : dépassement de la sphère du discours pour arriver à la sphère de l’action. Prédominance des structures binaires : dichotomie discours /action. Construction des