Péroraison

les deux thermes alors même qu’il n’y a pas de rapports entre les thermes de l’analogie. Conclusion. Pour convaincre, il faut d’abord capter l’attention de l’auditoire (exorde). Ensuite, exposer les faits, le contexte pour enfin conclure (=péroraison).

l'auditoire Dans certains discours argumentatifs, l'auteur commence par une entrée en matière brève et percutante, l'exorde, propre à capter l'attention du destinataire et à lui inspirer de la bienveillance. Souvent, ce type de texte se conclut par une péroraison, résumé des principaux arguments et appel aux sentiments. • en choisissant des arguments adaptés Le choix de la méthode d'approche et celui des arguments dépendra de l'esprit et des sentiments du destinataire à convaincre. Pour plaire et raisonner

inacceptables auxquelles le « capital » soumet les mineurs, payer, ce que nous montre le champ lexical de l’argent, « tarif », « économie », « voler », pour avoir le droit de travailler pour obtenir une très maigre pitance. Le discours s’achève sur la péroraison (21-22) avec la reprise de la thèse – sur le ton de la persuasion à laquelle les hyperboles, « trop » (21) et « à bout » (22), donnent toute leur puissance –, la nécessité du courage et de poursuivre la lutte, à laquelle l’orateur donne une portée

qu'il a été peut être manipulé, que son ignorance a fait qu'il a agit de manière inconsidéré. Il n'a pas réfléchi. Au vers 6 on parle de « rage », terme signifiant que c'est démesuré, incontrôlable. En bon réquisitoire, il termine par la péroraison avec vers 52 « Voilà ce que tu perds, hélas, et par ta faute ». Cela récapitule tout ce qui a été dit auparavant suivis de l'accumulation vers 53 à 55 qui est là aussi pour récapituler, celle ci étant souligné par des enjambements. Le fond va avec

• Il rappelle ses vertus : la justice, car tous lui prêtent son concours, la modération car il domine tous les autres désirs, le courage et enfin la science que ce soit en poésie ou dans les autres domaines. • Il ajoute enfin que la péroraison lui prêt tous les bienfaits possibles. Deuxième Partie : Dialogue Philosophique : [198a-212c] 1. Examen dialectique : Réfutations : [198a-204a] a).Socrate/Agathon : [198a-201 e] • Contestation de l’esprit des

conditions de l’accès à l’inspiration prophétique, puis les morts des adversaires de la première Eglise pdt l’Ancien Testament sont décrites (141-448), du premier christianisme (449-687), puis le troisième rang des persécuteurs modernes. Une longue péroraison invite à tirer les leçons de ces miracles avant l’annonce de la fin des temps (1123-1132). Elle arrive dans le septième livre. Le poète l’appelle (1-20), loue les calvinistes révoltés et maudit les apostats (21-216), fulmine un centon de malédictions

en passant d'une strophe à une autre. En effet, si le refrain est préparé dès le premier vers dans la première strophe et dès le cinquième dans la deuxième, il ne répond plus qu'au neuvième vers dans la troisième. L'envoi de la ballade se veut péroraison. Il s'y opère un retournement de situation qui, en fait, n'est que la conclusion logique des strophes précédentes : Jésus devient l'unique destinataire de la prière. L'apostrophe « Prince Jésus » place celui-ci au-dessus de « tous », c'est-à-dire

Invectives et violence du discours Le discours de Cicéron, s'il suit dans ses grandes lignes le schéma classique du discours (exorde : 1-6, argumentation : Catilina doit quitter Rome, 6-16, objection : pourquoi laisser partir Catilina, et enfin péroraison : la République vaincra avec l'aide des dieux, 32-33), surprend par la violence de l'exorde, qui se veut comminatoire. Dès l'ouverture du discours, en effet, le ton est donné : c’est bien celui de l’invective, traduisant l’indignation de l’orateur

La bete humaine chapitre 9 commentaire Zola, La Bête humaine (1890), chapitre 9 – Commentaire Introduction Ce passage est issu du roman de Zola, chef de file du mouvement naturaliste, intitulé La Bête Humaine, publié en 1890. C’est le 17ème tome du cycle des Rougon-Macquart, consacré à l’étude du monde ferroviaire et à celui de la justice. Cet extrait se situe dans le 9ème chapitre, juste après que Séverine a fait comprendre à Jacques Lantier qu’elle souhaitait qu’il tue son mari, Roubaud

sept parties ; cependant, la tradition rhétorique n’en retient que 4 : l’exorde, la narration, la confirmation et la péroraison. L’Exorde attire l’auditoire, expose le sujet du discours et parfois indique les articulations essentielles. La Narration expose les faits. La Confirmation produit des arguments tirés des faits exposés, anticipe de possible contre-arguments. La Péroraison est une conclusion du discours, synthétise, en appelle aux sentiments et à recours au pathos. - Elocutio (style et figure