Peine plancher

Tintana-Palast. L’exploitation se prolonge ainsi jusqu’en août sur tout le territoire allemand. C’est un véritable triomphe public partout. Le film provoquera de nombreux débats autour de la question de la peine de mort. Lang, quant à lui, déclarera, qu’il n’a « jamais voulu réaliser un film pour la peine de mort » (LANG, F., Lichtbild-Bühne, n° 121, 21 mai 1931), qu’il a réalisé ce film pour « avertir et exhorter […] la présence constante parmi nous d’hommes aux penchants maladifs ou criminels […] qui

Européenne passe principalement par une série de valeurs communes nécessaires et indispensables à l’adhésion au groupe. Ces valeurs humaines et humanistes sont nombreuses, et peuvent être représentées par les domaines suivants : droits de l’Homme, peine de mort et liberté de circulation. Initiés au siècle des Lumières par la France, les droits de l’Homme sont une constante indispensable à une construction solide de l’Union Européenne. Inscrite au traité constitutionnel, le partage de cette valeur

ANNEXE CODE HAYS (rédigé en

condamnée à la déportation à vie et envoyée en Nouvelle Calédonie où elle reste jusqu'en 1880. Au contact de Nathalie Lemel, une des animatrices de la Commune, déportée avec elle, Louise Michel devientanarchiste. Elle défend à Paris l'abolition de la peine de mort, les ouvriers et les chômeurs. Arrêtée à plusieurs reprises lors de manifestations, elle est emprisonnée pendant trois ans avant d'être libérée sur l'intervention de Clémenceau. Elle meurt d’une pneumonie à Marseille au cours d’une tournée

Je parle de Voltaire, et ce sont les Hugo, les Zola, qui se lèvent pour clamer : « Nous sommes les héritiers des La Fontaine et des Voltaires ! Nous assumons notre fonction de prophète ». Quand Hugo, dans Le Dernier Jour d’un condamné dit non à la peine de mort, c’est au nom d’une vision optimiste de l’homme, qui doit pouvoir se racheter ; quand Zola rédige « J’accuse », c’est pour défendre l’honneur bafoué d’un innocent ; quand il rédige Germinal, c’est pour peindre les conditions d’existence misérables

prendre beaucoup plus d’importance dans un livre suivant. Les raisons de l’éloignement de Tarrou vis-à-vis de la société seront largement développées dans « L’homme révolté » quatre ans plus tard. Quant à celles qui relèvent de la condamnation de la peine de mort, ainsi que les descriptions qu’il donne du climat de l’Algérie et de sa population, elles viennent surtout de ses écrits antérieurs qui sont « Noces » d’abord, « L’étranger » ensuite. 1 Résumé Nous sommes en Algérie, à Oran plus exactement

pouvons citer Bernardin de Saint Pierre qui critique violemment l’esclavage dans ses ouvrages Voyage à Isle de France et Paul et Virginie ou Victor Hugo qui va mener un très violent et passionné réquisitoire dans Claude Gueux pour protester contre la peine de mort et une société inhumaine qui cloître ses individus dans la misère la plus profonde puis les pousse aux vices et aux crimes pour survivre. Les écrivains s’engagent alors pour la défense d’une cause de leur temps et nous font part d’une part

chaque fois une réussite incontestée : roman, poésie, discours politiques, théâtre, articles... De plus, son engagement social et politique en a fait un symbole important de la figure de l'écrivain engagé. Hugo s'est, par exemple, exprimé contre la peine de mort à la chambre des pairs, mais aussi dans son ouvrage Le Dernier jour d'un condamné (1829). Son œuvre n'est donc pas que divertissante ou lyrique : elle est aussi celle d'un combat. Du point de vue littéraire, Victor Hugo s'est affirmé comme

Synthèse des documents A travers les trois documents de notre corpus d’analyse, nous constatons que les textes débattent sur la question de l’application de la peine de mort, en proposant des arguments, et une analyse rationnelle. Ainsi, Jean Dutourd et Maurice Barrès présentent des arguments en faveur de la peine capitale. Selon eux, ce châtiment entrainerait les meilleures conséquences possibles pour toutes les personnes en cause, et sera particulièrement en faveur des gens de condition modeste

Il était 5 h 8, ce jeudi matin, quand Troy Davis a rendu son dernier souffle. Cet Afro-Américain de 42 ans, devenu un symbole de la lutte contre la peine capitale, a été exécuté après avoir clamé son innocence jusqu'au bout, mais sans pouvoir remporter son ultime marathon judiciaire. En 2008, à la veille de son exécution - finalement repoussée -, Troy Davis avait fait parvenir une lettre à ses avocats. En voici de larges extraits (traduction Le Point.fr). "Je veux vous remercier tous pour vos efforts