Peine plancher

notamment contre Napoléon III, avec Les châtiments, ce pourquoi il fut exilé pendant le Second Empire. Victor Hugo était également présent en politique, avec des discours ou des récits de voyage. Il s’est battu contre les injustices sociales comme la peine de mort, il a écrit sur la misère humaine avec Les misérables par exemple. Il avait également des convictions religieuses. Il était anticléricalisme mais restait croyant en Dieu. La mort de sa fille Léopoldine et le christianisme renforcent sa croyance

système de jeton blanc (innocent) et noir (condamné). Le procès est public. Il n’y a pas d’appel possible. Il y a 4 grands types de peine en fonction de l’infraction (première réglementation) : punition financière (plus faible et plus couramment utilisé), l’Atimie (la perte de la citoyenneté, peine très grave, on devient un métèque), le bannissement et la peine de mort (réservé aux crimes d’Etats). Il y a une dimension religieuse très présente. 2 La justice chez le « peuple du droit »

méritait nullement d'être libérée. Ses actes et intentions ont été inacceptables et méprisables. Nous en retenons d’ailleurs tous, une douleur émotionnelle assez forte et une solidarité des plus totale avec la famille des victimes. Seulement, la peine de mort ou toutes les idées folles lancées face aux médias ou encore sur le web, ne la puniront pas réellement. Selon moi, la seule punition valable se trouve dans le remord, le mépris de sa propre conscience et le sentiment de mal-amour qui règne

Mon avis argumenté Dans le cadre du cours de français, nous avons lu le livre : « Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo qui parle de la peine de mort. Suite à cette lecture, je pense que la peine de mort est cruelle et inhumaine. C’est pour ces raisons que je suis contre. Tout d’abord, selon Victor Hugo, la peine de mort est une torture morale. L’horreur exceptionnelle du condamné réside dans le fait qu’à partir du moment où la condamnation est prononcée, le prisonnier doit vivre dans

sont fortement ancrés dans l'actualité politique, ils expriment également des valeurs plus générales, que le poète souhaite défendre. Le combat contre la peine de mort apparaît par exemple dans « Nox » (poème liminaire), dans « Sacer esto » (IV, 1), ou encore dans « Le Progrès calme et fort... » (V, . Ce dernier poème fait de l'abolition de la peine de mort un principe fondamental, dont la portée excède largement l'actualité politique. De même, dans un poème comme « A quatre prisonniers » (IV, 12)

esclaves pareillement ». Le mariage des esclaves est impossible sans le consentement des maîtres qui tiennent pour eux la place des parents. De nombreux articles exposent les devoirs des esclaves, et les peines prévues. La peine de mort pour avoir frappé son maître (article 33), pour vol de cheval ou vache (article 35), pour la troisième tentative d'évasion (article 38), ou enfin pour réunion (article 16). Des articles visent à protéger l'esclave

Fouché ou le peintre David), 70 000 arrestations, 6 000 condamnations. Ils abolissent le divorce en 1816, interdisent au gouvernement de vendre les forêts ayant appartenu à l'Eglise pour payer les dettes napoléoniennes, mais ils n'obtiennent ni la peine de mort pour simple détention d'un drapeau tricolore, ni l'élargissement du corps électoral (ils préférent "leurs" paysans à la bourgeoisie urbaine), ni la reconstitution des biens de l'Eglise, ni la fin du monopole d'Etat sur l'éducation, ni la révocation

Lecture analytique du chapitre I I. L’énonciation  Complétez le tableau : Qui parle? À qui? Où? Quand? De quoi? Dans quel but? II. Un monologue intérieur a) Le narrateur-personnage s’exprime à la 1ère personne du singulier et au présent de l’indicatif. Il s’adresse à lui-même, n’ayant pas d’interlocuteur. C’est le principe du monologue intérieur. b) Par ce choix narratif, le lecteur est, dès les premières lignes, directement en contact avec la conscience du narrateur. III

Peine de mort au Maroc La peine de mort a toujours existé au Maroc. Le code pénal marocain prévoit la peine de mort par fusillade pour l’homicide aggravé, la torture, le vol à main armée, l’incendie criminel, la trahison, la désertion, et enfin l’attentat à la vie du roi. La dernière exécution d'un condamné à mort a eu lieu sous le règne de Hassan II, en 19931. Le Maroc a ratifié le Pacte international sur les droits civils et politiques, la Convention sur les Droits de l’Enfant, la Convention

INTRODUCTION (92 mots) Victor Hugo est l’un des plus grands auteurs du romantisme du 19ème siècle. Étant un enfant de la révolution française, il était très sensible aux causes sociales. Il a donc consacré son existence à mener un combat contre la peine de mort, la misère et les inégalités sociales à travers ses livres. Nous démontrons dans le texte qui suit, que Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo participe du genre du romantisme. Notre analyse sera faite à travers le personnage sur sa nostalgie