Pauvres Gens Victor Hugo Explication

passer. BRACONNIERS : Tous forçats libérés. Auteurs de tous les crimes commis dans les campagnes. Doivent exciter une colère frénétique : « Pas de pitié, monsieur, pas de pitié ! » BRAS : Pour gouverner la France, il faut un bras de fer. BRETONS : Tous gens, mais entêtés. braves BRUNES : Plus chaudes que les blondes (v. blondes). BUDGET : Jamais en équilibre. BUFFON : Mettait des manchettes pour écrire. C CACHET : Toujours suivi de « tout particulier » . CACHOT : Toujours affreux. La paille y est

de Chateaubriand dans son roman Atala et René. Cette peinture illustre bien le vague des passions caractéristique du Romantisme, alors que René prend dans ses bras avec tristesse le cadavre d’Atala. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, les gens qui assistent à la mort prennent plus d’importance et le deuil, qui était jadis avant tout une convention sociale, tend à devenir une manifestation spontanée d’une déchirure. La mort de l’autre est maintenant plus difficilement acceptée. De ce fait

reposait en particulier, comme le monde méditerranéen ancien, sur l’esclavage. En 1500, au sortir du Moyen Age, la société occidentale est constituée. Certes elle est loin d’être parfaite ; ce n’est pas le paradis ! Il y a toujours des riches et des pauvres, et même des inégalités criantes que le développement de l’individualisme à partir du XVIe siècle ne corrigera pas ; mais cette société n’a plus rien à voir avec la société esclavagiste antique : l’Europe est née. Cette éradication de l’esclavage

genre épistolaire renforce pour le lecteur l’illusion de réel. L’échange est au présent, saisissant les faits dans leur actualité  ; l’interlocutrice est constamment interpellée sous des formes marquant des liens affectifs forts «ma Sophie», «Ta pauvre Cécile» (l. 39) ; le scripteur livre ses réactions, ses sentiments «combien j’ai été honteuse» (l. 50-51). L’ensemble donne, en fait, une vraie lecture du personnage  : une jeune fille dans toute son innocence, impatiente de rentrer dans sa VIe

appropriée de celle notion. REMARQUES 2 : La phrase, en général, est construite autour d’un noyau verbal conjugué. Ex : le vent hurle dans la montagne. A l’aube, à l’heure où blanchit la campagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps (Victor Hugo) Ou parfois, d’un infinitif Ex : Comment oublier toutes tes manigances ? Pourquoi en faire toute une histoire ? Ces phrases sont dites phrases verbales. Certaines phrases ne comportent pas de verbe principal, elles sont construites autour d’un autre

Malraux L’imagination des artistes transforme le monde (Les voix du silence) 41) Deleuze L’imagination est par nature subversive (Conférence FEMIS) 42) Benjamin Puis vint le cinéma (L’oeuvre d’art à l’ère de sa reproduction mécanisée) 43) Hugo L’avenir se nomme amour (Les châtiments) LES TEXTES I) Premières approches : Image, imagination, imaginaire. Texte 1 : La reine des facultés L’imagination a créé le monde selon Baudelaire. Il est donc juste qu’elle le gouverne

EMILE ZOLA, AU BONHEUR DES DAMES Séquence élaborée par Mme Cécile FLORY, professeur agrégé, pour ses élèves de 1ère ES du lycée Victor Hugo à Marseille. Objet d’étude : le roman et ses personnages Objectifs de la séquence : • Travailler de manière transdisciplinaire entre les lettres et les S.E.S., et comprendre ainsi que le roman et la littérature en général ne sont pas étrangers au monde. En l’occurrence, Zola s’inscrit dans une époque qu’il tâche de peindre en s’intéressant aux

liberté, par leur sagesse, par leur culture, le préserver, le découvrir à chaque instant de leur vie commune. CHAPITRE II Ils auraient aimé être riches. Ils croyaient qu'ils auraient su l'être. Ils auraient su s'habiller, regarder, sourire comme des gens riches. Ils auraient eu le tact, la discrétion nécessaires. Ils auraient oublié leur richesse, auraient su ne pas l'étaler. Ils ne s'en seraient pas glorifiés. Ils l'auraient respirée. Leurs plaisirs auraient été intenses. Ils auraient aimé marcher

tout de même mieux cela », répliqua ma mère. Mon père la regarda froidement et elle se tut. Effectivement, la princesse Zassekine ne pouvait pas être une personne aisée : le pavillon qu’elle avait loué était si vétuste, petit et bas, que même des gens de peu de fortune auraient refusé d’y loger. Pour ma part, je ne fis aucune attention à ces propos. D’autant plus que le titre de princesse ne pouvait pas me produire la moindre impression, car je venais précisément de lire Les Brigands, de Schiller

— Quatre-vingt-quatre ! » 21/186 Pour ne pas la contrarier, Guillaume rentre dans le jeu : « Franchement, tu ne les fais pas ! On te donnerait plutôt entre quinze et seize... Tu es bien conservée, pour ton âge ! — T’as rien compris, pauvre cloche ! » pouffe la jeune fille. Elle a l’air de s’amuser beaucoup, aux dépens de son compagnon. Blessé par son ton ironique, celuici se renfrogne. Ils marchent très lentement. Ni l’un ni l’autre n’a envie de rentrer. Est-ce la magie de cette