Pauvres Diables

froisse,      Dis-le, belle sorcière, oh ! dis, si tu le sais,           À cet agonisant que le loup déjà flaire      Et que surveille le corbeau,      À ce soldat brisé ! S'il faut qu'il désespère      D'avoir sa croix et son tombeau ;      Ce pauvre agonisant que déjà le loup flaire !           Peut-on illuminer un ciel bourbeux et noir ?      Peut-on déchirer des ténèbres      Plus denses que la poix, sans matin et sans soir,      Sans astres, sans éclairs funèbres ?      Peut-on illuminer

TEXTE 2 : Le Théâtre Dom Juan de Molière (1665) : Acte III scène 2 La tentation du pauvre Introduction : -Molière => grand écrivain comique du 17 siècle  -Tartuffe écrit en 1664 attaque la religion en ridiculisant les dévots -Molière va s’attirer les foudres de la société de son époque avec la représentation de Dom Juan, mettant en scène un libertin impie (dom juan) et un valet croyant et bouffon -Dom Juan controversé par la compagnie du St Sacrement, qui est contre le libertinage, le

oubliez votre propre identité si pathétique. Effectivement, à présent je vous retire le droit et l'avantage de me nommer "ma femme" étant donné que vous salissez mon nom en établissant un lien avec un impuissant et malheureux vagabond comme vous. Pauvre diable vôtre salut est donc bien perdue. Cependant, après votre mort et donc après dix ans de vie sans vous, j'ai appris tant bien que mal à vivre sans votre présence et ainsi avec votre absence. Bien que, je vous est oubliée, j'ai aussi commencée

jouer avec les sentiments de la protagoniste de la manière la plus cruelle qu'il soit.. Rien que dans ces deux pages ils existent plusieurs éléments qui pourraient tous nous prouver que l'amant n'a rien d'un tendre et jeune garçon. Déjà lorsque la pauvre Aline est encore hésitante entre son passé et l'amour, il est dit «  Mais il y avait aussi de grands désirs comme des vagues qui la portaient vers Julien. ». Cette comparaison nous donne un autre aspect des sentiments de la jeune fille. En effet

) Qui est -il ? : Le Diable ou Satan pour les chrétiens, a reçu de nombreux noms montrant ainsi qu'on le considère comme universel et qu'il a su prendre de nombreuses formes. Il est Mâra qui tenta Bouddha, Belzébuth chez les Philistins (peuple combattu par Samson dans la Bible), Ham Shatan pour les Hébreux, Ahriman chez les Perses, Lucifer pour les Babyloniens et les pères de l'église chrétienne, Méphisto dans la légende du docteur Faust, il est aussi Iblis qui refusa de se prosterner devant

de cet homme. §31 à 32- Je parle ainsi contre l'indécence car je dois le faire, mais c'est à vous de choisir. Une femme qui s'habille ainsi a en elle un mauvais esprit. C'est le diable qui déshabille les gens. Sœurs, je ne dis pas que vous êtes immorales, mais vous suivez la tendance, sans voir que c'est le diable qui agit ainsi. Dieu veut que tous puissent se repentir. Si une femme agissait ainsi dans mon église, je l'effacerais du registre de l'église. §33 à 34- Je suis allé à l'hôpital

l'incontrôlabilité à faire le pêché (occupation de l'esprit, travail du corps, pêchés têtus, chemin bourbeux, Satan trismégiste berce l'esprit, volonté vaporisée, les fils tenus par le Diable, les ténèbres puants) avec une notion de montée en puissance (la descente aux enfers, pressée comme une orange, la mort descend, pauvre débauché). II - La mauvaise conscience (remords aimables, repentirs lâches, aveux grassement payés, les pleurs lavant les tâches, sourdes plaintes, âme pas assez hardie, pleur

cette thèse. Dans la première, Dom Juan se moque des croyances de Sganarelle à propos du Ciel, de l'Enfer, du diable, de la vie après la mort, du Moine bourru et de la preuve physico-théologique et finit par affirmer qu'il ne croit qu'en une seule chose, à savoir que « deux et deux sont quatre » et que « quatre et quatre sont huit ». Dans la seconde, Dom Juan promet un Louis d'or au pauvre à condition qu'il jure et, comme il refuse obstinément de le faire, Dom Juan lui abandonne quand même la pièce

plusieurs thématiques en commun avec lui. Ces femmes « chercheuses d’infini » comme exprime le poète en « Femmes Damnés » sont comme lui condamnées par la société et sont des êtres de souffrance : « Vous que dans votre enfer mon âme a poursuivies, Pauvres sœurs, je vous aime autant que je vous plains, ». En plus, l’impossibilité de l’acte sexuel renvoie à la conception de Baudelaire avec Mme Sabatier sur le désir et l’amour, qui ne doit pas chercher seulement le désir charnel. Finalement, on retrouve

pleine nuit, et seule une lanterne les éclaire. lls donnent rendez-vous à la jeune fille à minuit devant chez elle: “Elle devait sortir de chez ellle à minuit, il est minuit et elle ne vient pourtant pas.” Minuit pourrait ici caractériser l’heure du Diable et des ténèbres, pour qui le Duc semble oeuvrer. C’est aussi le moment du crime: Le Duc et Louise sont tous deux tués en pleine nuit sans voir la mort venir. Louise ne pouvait s’attendre, à être tuée en buvant son verre de vin lors du diner des