Pauvres Diables

fuite, à l'issue de l'ouvrage, en est l'image : « [...] son cheval broncha et tomba à terre ; il en fut tellement exaspéré que, dans sa rage, il le tua avec son épée » (ch. XLIX ; p. 339) ; « Ainsi s'en alla notre pauvre colérique » (p. 339) ; « Toutefois l'on m'a dit qu'il est à présent pauvre gagne-petit à Lyon, colérique comme auparavant » (p. 339). Déchu socialement, espérant toujours retrouver son trône à la venue des coquecigrues, Picrochole demeure tout aussi colérique, incapable de vaincre sa

et certainement plus pour des lecteurs de l’époque que pour ceux de nos jours. D’entrée, Sganarelle, le valet, nous dépeint un maitre ignoble, exécrable, démoniaque : « Mon maitre [est] le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un diable, un hérétique, […] un grand seigneur méchant homme ». Ces quelques phrases résument bien le personnage. Est-il sans Dieu ? Certainement. Il ne croit qu’en ce qui est logique, explicable, scientifique : « je crois que deux et deux font quatre et que

Exemple : - Champs lexicaux de la souffrance et de la mort très présents: - De la souffrance: « martyrisé »(strophe 5 vers 2), « plaintes »(st6 v4), « viol »(st7 v1), « glapissants »(st8 v3). - De la mort: « échafauds »(st10 v2), « diable » (st4 v1), « enfer » (st4 v3). - Connotation des mots en utilisant des sous entendus pour évoquer la mort et la souffrance. - Une gradation qui va toujours vers le négatif.(« plus laid,plus méchant,plus immonde! » strophe 9 vers 1 )

comportements, mieux vaut se méfier de lui. Josiane : Ne puis-je sur ce point éclaircir notre affaire ? Haragon : Mais quelle affaire voyons ?Josiane : Vous tombez mal, car nous justement l'idée de nous marier, et je comptais vous l'annoncer.Haragon : Que diable !Josiane : Calmez-vous père ! Haragon : Pourquoi me calmerais-je ? Josiane : Je suis heureuse, vous ne pouvez m'empêcher de l'aimer. Haragon : Je n'ai jamais dit cela ! Josiane : Mais quels reproches inexistants me sortez-vous ?Haragon : Vous ne pouvez

Théâtre de Clara Gazul Une femme est un diable Résumé En Espagne, deux vieux inquisiteurs incroyants et cyniques, frère Rafaël et frère Domingo, siègent dans le tribunal où comparaît la belle Mariquita, qui est accusée de sorcellerie. Préside le tribunal leur jeune supérieur, frère Antoine qui, tourmenté par I'image d'une femme, reconnaît en Mariquita celle qui hante ses rêves. Incapable de résister à la tentation, il tue frère Rafaël qui lui disputait la jeune fille, renonce à ses voeux et s'enfuit

(à prendre au sens des sciences occultes). Faust a cette particularité d’être un savant désespéré, au départ. Il désigne ainsi le désespoir relatif au sentiment du scientifique qui croit avoir exploré tout ce qu’il pouvait. Il s’en remet alors au Diable, à la magie, à l’alchimie des sens, en quelque sorte. Dès le début, à ces "auto-présentations" du héros éponyme, Faust va exprimer son désespoir. Chez Marlowe, il est beaucoup plus virulent que dans l’œuvre allemande, plus lyrique. Le héros est en

utilise deux fois au vers 680 et 689. On distingue la présence d'impératif avec « regardez moi » du vers 677 ainsi qu'au vers 675-6 « m'écoutez », « imprimez », « devez ». Pour susciter un sentiment de peur chez Agnès, il évoque « les enfers » et le diable, aux vers 727-8 mais aussi pour l'écarter du pêché au vers 736-7, la plus grande peur d'Arnolphe est d'être cocu. Par plusieurs négations, Arnolphe montre à Agnès ce qu'elle ne doit pas faire « Vous n'y montez pas », vers 697, « N'approche point »

s'exclame " Don César! " -le lyrisme de cette piece est accentué par des métaphores :"mais c'est a se briser le front contre le mur" " je sens que votre vie vis a flot coule et s'en va" - idée bien reprise par l'emploie du registre pathétique ; " pauvre enfant " -Les deux occurences de " je t'aime" appuie d'avantage sur l'affection que porte RB a La reine -Les didascalies sont très nombreuses comme dans les tragédies classique .Les gestes sont donc nombreux entre les deux amants B) un piège

Sassetot-la-Guerrière, pour cinquante-quatre ans de service dans la même ferme, une médaille d’argent – du prix de vingt-cinq francs ! »(...) Alors on vit s’avancer sur l’estrade une petite vieille femme de maintien craintif, et qui paraissait se ratatiner dans ses pauvres vêtements. Elle avait aux pieds de grosses galoches de bois, et, le long des hanches, un grand tablier bleu. Son visage maigre, entouré d’un béguin1 sans bordure, était plus plissé de rides qu’une pomme de reinette flétrie, et des manches de sa camisole

prototype du Jésuite caricaturé. Le vicaire bègue p 257 lecture préparée par un élève La tentation libidineuse est traitée par la farce : " du mécanique plaqué sur du vivant ". Le vicaire est promené par deux fois au bout d’une fourche qui évoque le diable ! Conclusion : Anticléricalisme de bon aloi qui n’épargne ni la ville ni la campagne. " Je n’aime pas les prêtres " dit le maître. II - Les prêtres du clergé régulier : L’histoire de Frère Jean et du père Ange " Les moines sont implacables