Patrie

Jusqu’ici, il s’agit d’une supplique à la patrie qu’il a choisie : « Embaume tes amants »… L’ambiance angoissante des deux quatrains change au premier tercet. La pluie, la « douce pluie » « apaise le mal », arrête l’attaque par le « musicien masqué » et son « effluve fatal ». C’est la pluie, en

I Allons ! Enfants de la Patrie !  Le jour de gloire est arrivé !  Contre nous de la tyrannie,  L'étendard sanglant est levé ! (Bis)  Entendez-vous dans les campagnes  Mugir ces féroces soldats ?  Ils viennent jusque dans vos bras  Égorger vos fils, vos compagnes   Refrain Aux armes, citoyens !  Formez vos bataillons !  Marchons, marchons !  Qu'un sang impur...  Abreuve nos sillons ! II Que veut cette horde d'esclaves,  De traîtres, de rois conjurés ?  Pour qui ces ignobles entraves,  Ces fers dès

du discours et plus particulièrement la prosodie révèle que le personnage est habité par l’honneur et la joie de servir sa patrie. L’assonance en « i » visible aux vers v 8-9 : « Je l’envisage entier, mais je n’en frémis point ; /Contre qui que ce soit que mon pays m’emploie, » rend compte d’une certaine v 10 « joie », v 17 d’« allégresse » du personnage à défendre sa patrie. C’est donc un véritable serment de patriotisme envers Rome qu’illustre le discours d’Horace. Un personnage qui se présente

les protestants français que la révocation de l’édit de Nantes a forcés de sortir de France, et de chercher un asile dans les pays étrangers, afin de se soustraire aux persécutions qu’un zèle aveugle et inconsidéré leur faisait éprouver dans leur patrie. Depuis ce temps, la France s’est vue privée d’un grand nombre de citoyens qui ont porté à ses ennemis des arts, des talents et des ressources dont ils ont souvent usé contre elle. Il n’est point de bon Français qui ne gémisse depuis longtemps de

peuple:vers 5. Rome à qui vient ton bras d'immoler mon amant! Tous ces éléments nous montrent la haine, le vœux d'une vengeance...(voir vers 10 à 25) - Le fait qu'elle choisit son amour à son frère et sa patrie. - Elle prefere mourir que de vivre - Dilemme entre amour et patrie

menace qui pèse sur la France en s’engageant volontairement pour défende la patrie. Cela entraine le dévelopemment du patrimonisme, du sentiment national, de la conscription. Les clubs = association dont les adhérents débattent de questions politiques. Le club des Jacobins = Club réunissant les députés de la de l’Assemblée, les plus favorables aux réformes révolutionnaires. Patriotisme = amour de la patrie. Sentiment national = sentiment d’appartenir à une nations : peuple qui partage

dans Ithaque, où ce héros, quoiqu’au milieu de ses amis, devait rencontrer d’inévitables dangers, tous les immortels prirent pitié de lui, hors Poséidon ; il resta toujours courroucé contre le divin Ulysse, jusqu’à ce que ce héros parvint dans sa patrie. Cependant Poséidon s’était rendu chez les Éthiopiens, habitant des terres lointaines, les Éthiopiens qui, placés aux bornes du monde, sont séparés en deux nations, l’une tournée au couchant, l’autre au lever du soleil, où, parmi les hécatombes de

s’asseoir au bout de la salle. Cela semblait dire qu’ils regrettaient de ne pas y être venus plus souvent, à cette école. C’était aussi comme une façon de remercier notre maître de ses quarante ans de bons services, et de rendre leurs devoirs à la patrie qui s’en allait… J’en étais là de mes réflexions, quand j’entendis appeler mon nom. C’était à mon tour de réciter. Que n’aurais-je pas donné pour pouvoir dire tout au long cette fameuse règle des participes, bien haut, bien clair, sans une faute ;

certains et pour d'autre de l'air en mouvement. Et vous comment définiriez-vous le vent ? Alfred de MUSSET   (1810-1857) « Le chant des amis » De ta source pure et limpide Réveille-toi, fleuve argenté ;Porte trois mots, coursier rapide :Amour, patrie et liberté !Quelle voile, au vent déployée, Trace dans l'onde un vert sillon ? Qui t'a jusqu'à nous envoyée ? Quel est ton nom, ton pavillon ?- J'ai porté la céleste flamme En tous lieux où Dieu l'a permis. Mon pavillon, c'est l'oriflamme ; Mon nom

Paul Eluard et André Breton. Son adhésion au parti communisme en 1927 l'emmena à un profond engagement jusqu'à la mort. Membre de la Résistance de la seconde guerre mondiale, il publia clandestinement de nombreux poèmes dans lesquels l'amour de la patrie est lié étroitement à la femme "aimé". Problématique : quelle est la vision de la France que nous propose Aragon au travers de son hommage poétique ? Phrase de transition des sous parties : "nous avons vu en quoi la