Patrie

facteurs de natures diverses. Il est étroitement lié à l’enracinement et, naturellement, au déracinement et à la création des liens. Dans ce cadre, la notion de patrie devienne aussi fondamentale. Elle serait une nécessité qui entraine un primitivisme. Chacun a besoin d’une terre, d’un lieu où trouver ces êtres aimés. La notion de patrie permet la compréhension de l’individu. Elle octroie le don de se s’identifier et d’être reconnu, car elle est un élément constitutif de notre humanité. Dans le

un élément naturel troublant pour certains et pour d'autre de l'air en mouvement. Et vous comment définiriez-vous le vent ? Dans le poème d’Alfred de Musset qui est un poète français du XIX ème siecle le vent transporte le message : « Amour, patrie et liberté » sur le Rhin pour le répandre dans toute l’Europe. Guillaume Apollinaire a écrit « Le vent nocturne, » qui fait parti du recueil de poèmes « alcools » écrit entre 1898 et 1913. C’est un souvenir du séjour qu’Apollinaire fit au bord

pouvoirs (execitif et législatif) au maréchal Pétain dont le prestige est grand. Un nouveau régime succède à la IIIe République : c'est l'Etat français. Pétain veut redresser le pays par une révolution national dont la devise est "travail, famille, patrie" ; il supprime le suffrage universel, les syndicats et les partis politiques. La France doit collaborer avec les autorités allemandes et payer de lourdes indémnités d'occupation. Vichy participe à la déportation des Juifs. En 1943, une loi contraint

Fichte soutient que l’Allemagne seule a gardé sa pureté linguistique et culturelle, ce qui justifierait un glissement du nationalisme messianique au pangermanisme. Renan, pénétré de culture allemande, dit souffrir énormément lorsqu’il voit « la patrie de Kant, de Fichte, de Herder, de Goethe (…) suivre les visées d’un patriotisme exclusif… » Il mettra donc tous ses efforts à répondre aux prétentions historiques des théories allemandes. Pour lui la nation moderne est avant tout « un résultat historique

Andromaque III, 8. Commentaire (Éléments de réponse) 1. Axe 1 : Le dilemme. Le personnage d’Andromaque est placé dans une situation déchirante : si elle épouse Pyrrhus, elle trahit son père, sa patrie et son mari; mais si elle reste fidèle à l’amour des vaincus, elle sacrifie son fils. Ce déchirement tragique se marque de façon sensible dans la composition même du passage : Andromaque est prise tour à tour par deux mouvements contraires qui opposent deux « souvenirs ». 1e sous-partie :

en finir avec ce soulèvement d’hérétiques. Depuis son arrivée au pouvoir en 1985, jamais un tel soulèvement n’a été constitué, certains vendus parleraient d’une révolution. Avant le début de cette tragédie, notre Patrie était une terre des plus paisible. Travail, Famille et Patrie était les mots d’ordre du Général Patin, membre du parti extérieur, qui rendait la vie agréable. « Ici, on a travail, l’argent et sécurité grâce Big Father, pas comme ces minables de capitaliste… » nous confie un prof

(social, psychologique, politique...) d'une personne, l'exilé, qui, volontairement ou non, a quitté sa patrie, sous la contrainte d'un bannissement ou d'une déportation, l'impossibilité de survivre ou la menace d'une persécution, et de ce fait vit dans un pays étranger avec ce que cela implique de contraintes sociales spécifiques (langue, insertion, identité...) et de sentiment d'éloignement de la patrie (nostalgie, déracinement...).  Exil a la même signification que bannissement, mais il n'a pas le

tremblante horreur fait hérisser ma peau. Las ! Tes autres agneaux n'ont faute de pâture, Ils ne craignent le loup, le vent, ni la froidure : Si ne suis-je pourtant le pire du troupeau.» Analyse Tourné vers sa lointaine patrie, un être qui souffre appelle désespérément (premier quatrain), et seul l’écho répond à cet appel (second quatrain). La comparaison avec l’agneau égaré, tendre et pathétique image, est développée dans le premier tercet par l’évocation des dangers

traces de leur paye, qui brille entre leurs doigts fermés. Ainsi, ils abandonnent le sort de la patrie pour de l’argent. Cette patrie, qui est si importante pour le poète, auquel il fait un rapprochement religieux « Patrie, ô mon autel ! Liberté, mon drapeau !» (v.36), et ne peut pas retenir ses sentiments –ponctuation affective et expression « ô », ce qui introduit une idée d’adoration, de culte-. Sa patrie est son maître Enfin, il dénonce la passivité coupable du peuple, qui ne proteste pas, qui se

du discours et plus particulièrement la prosodie révèle que le personnage est habité par l’honneur et la joie de servir sa patrie. L’assonance en « i » visible aux vers v 8-9 : « Je l’envisage entier, mais je n’en frémis point ; /Contre qui que ce soit que mon pays m’emploie, » rend compte d’une certaine v 10 « joie », v 17 d’« allégresse » du personnage à défendre sa patrie. C’est donc un véritable serment de patriotisme envers Rome qu’illustre le discours d’Horace. Un personnage qui se présente