Patrie

régénération qui s'était opérée dans la représentation nationale. Mais jusqu'au moment même où je parle, il faut convenir que nous avons été plutôtguidés, dans des circonstances si ora geuses,par l'amour du bien etpar le sentiment des besoins de la patrie que par une théorie exacte et des règlespré cises de conduite, que nous n'avionspas même le loisir de tracer. Il est temps de marquer nettement le but de la révolu tion, et le terme où nous voulons arriver; il est temps de nous rendre compte à nous-mêmes

tragique et a pour but de toucher sentimentalement le lecteur. • Pronom « on » : implique le lecteur et l’auteurb. Une attaque directe envers la religion • l.25 la patrie est caractérisée comme une « idée sainte » et un peu plus loin la patrie est critiquée « au nom de la patrie, semé la move » l.26 :l’auteur critique de la patrie qu’il définit comme une idée de la religion. • emploi péjoratif du nom commun « cléricaux » l.35 qui représente les partisans du clergé : l’auteur vise l’église • «

« village » (vers 5). ← Le troisième mouvement englobe les deux tercets et s’oppose aux deux premiers puisqu’il exclut la notion de voyage et s’attache uniquement à montrer la supériorité du pays natal grâce aux comparaisons. II. L’attachement à la patrie 1. La nostalgie du pays natal ← Familiarité du vocabulaire : Du Bellay évoque des souvenirs et des lieux précis, accompagnés de qualificatifs qui engendrent une certaine nostalgie par leur familiarité. Par exemple : « mon petit village »

portent volontaire pour leur patrie ainsi que leur frères d’armes et les habitants de cette patrie. Ils se battent tous pour leur patrie. J’ai choisi le poème de Jean de Béranger (XVIIIème siècle) intitulé « L’hirondelle et le prisonnier ». L’auteur parle en étant normalement mort au combat, il veut savoir beaucoup de choses sur sa famille depuis qu’il est mort, sur ses compagnons de bataille et veut vraiment savoir comment ils vont : il les qualifie d’ « Hirondelle de la patrie ». Ses compagnons lui tenaient

mais plus particulièrement par les Micmacs, surnommés les « Indiens de la mer », qui occupent la péninsule depuis plus de 2500 ans. Français, Acadiens, Bretons, Anglais, Jersiais, Écossais, Irlandais et autres peuples y ont trouvé refuge, travail et patrie et ont teinté la péninsule de leurs différentes « parlures ». De plus, une visite sur les quais permet aux visiteurs d’entendre les accents propres à chaque village. La région gaspésienne De prime abord, la région de la Gaspésie s’est affirmée

Gérald Godin était un homme politique québécois et avait, comme passe-temps, un penchant pour la poésie. Il composait ce qu’il appelait des cantouques, poèmes trimballant des sentiments. Plusieurs de ceux-ci reflétaient son amour pour sa patrie, le Québec. Dans son poème Cantouque des racines, l’auteur illustre le Québec par rapport au lieu et au temps. Tout d’abord, le rapport au Québec est démontré par le rapport au lieu. Ainsi, ce champ lexical contribue à cela : « sans héritier sans descendant

« apatride » signifie une personne sans patrie, sans nationalité reconnue.2) Hannah Arendt distingue la maison, d’une part, comme un lieu où l’on peut se loger et qui serait « fixe » mais on ne pourra pas utiliser ces termes pour désigner la tente, puisque pour l’auteur, elle est sans cesse déplacée. 3) « La patrie fait ce que nous sommes et le pire des maux qui peut frapper l’homme est le déracinement : Les pauvres, les sans-propriété n’ont que la patrie », affirmait Jean Jaurès. On peut se sentir

protect° patrimoine = pv politque Israël a fait reconstruire synagogue Hourva pr restaurer patri juif Jéru. Patri = héritage du passé pouvant ê mis au service des intérêts du présent 3- Enjeu éco Protéger + valoriser patri = coût important. Importance Jéru --> afflux 1000iers pèlerins & touristes / pb accessibillité qui nécéssite aménagmts. Le risque est de figer l'espace urbain pr préserver le patri (muséificat°; cp,conflits liés au projets d'aménagmts) -----------------------

« village » (vers 5). Le troisième mouvement englobe les deux tercets et s’oppose aux deux premiers puisqu’il exclut la notion de voyage et s’attache uniquement à montrer la supériorité du pays natal grâce aux comparaisons. L’attachement à la patrie 1.La nostalgie du pays natal Familiarité du vocabulaire : Du Bellay évoque des souvenirs et des lieux précis, accompagnés de qualificatifs qui engendrent une certaine nostalgie par leur familiarité. Par exemple : « mon petit village », « le clos

sensibilité romantique. Les héros ici extériorisent leurs émotions en passant de la tristesse au cœur. En effet cette tristesse est exprimée à la page 51 : « elle chantait la patrie absente ». Atala exprime son mal du pays, elle est malheureuse d’être en exil et par son chant elle exprime le besoin d’être et de vivre avec sa patrie. Chateaubriand utilise le registre lyrique pour évoquer la douleur d’Atala d’être en exil et son mal du pays. C’est un texte lyrique car on y retrouve le sens ancien du