Patriarcat

inversés, aucun des ces hommes au foyer ne se dit prêt à prendre aussi en charge les tâches ménagères… rien n’est parfait! III/. « Analyse » des femmes (au foyer) dans l'histoire en France comme aux Etats Unis. L'Histoire montre à quel point le patriarcat (système social ayant pour responsable familial le père) a généralement tenté d'enfermer les femmes dans un statut purement passif, de réduire sa raison d'être aux seules tâches domestiques et reproductrices. Pourtant, sans que l'idée de l'égalité

personnage est tiré d’un roman gothique, historique et d’amour La Lettre écarlate écrit par Nathaniel Hawthorne. Hester, un personnage décrit comme féministe avant l’heure, lui fait découvrir l’histoire de l’oppression des femmes et l’injustice du patriarcat, c’est d’ailleurs aussi elle qui lui fait ouvrir les yeux sur la lâcheté de John Indien qui disparait après la fin du procès. Cette prise de conscience féminine est le point de basculement de l’agentivité dans l’histoire de Tituba, En tant

jusqu'ici écrit et qui comptera à n'en pas douter dans le réveil de l'Afrique" (Discours sur le Colonialisme, Paris, Présence Africaine, 1955). 1956 : Il se réinscrit en thèse d'État avec comme nouveau sujet principal "Les domaines du matriarcat et du patriarcat dans l'antiquité". A partir de 1956 il enseigne la physique et la chimie aux lycées Voltaire et Claude Bernard, à Paris en tant que maître-auxiliaire. Parution dans la revue "Présence Africaine" de l'article Alerte sous les Tropiques, texte qui

Nous sommes dans le domaine du mythique. Malevitsis, philosophe grec, avance que le mythe refoulé de Médée ne sème pas l'horreur d'une femme meurtrière, mais d'un élément qui agit au- delà du bien et du mal. C'est l'élément féminin, vaincu par le patriarcat et qui revient dans l'inconscient sous deux formes différentes : l'idéal amoureux et l'élément magique, destructeur. Médée, dans le mythe, est la maîtresse et la magicienne. 4La réflexion grecque tragique installe les mères dans une ambivalence

masculin
dominant
qu’à
l’objet
passif
féminin13.
 
 Gertrude
 Koch14
 et
 E.
 Ann
 Kaplan15
 se
 penchent
 sur
 la
 question
 de
 la
 bisexualité
 des
 femmes,
notamment
liée
à
la
relation
mère/fille
préœdipienne
et
elles
mettent
en
avant
 la
crainte
que
cela
suscite
chez
le
patriarcat
et
la
répression
qui
en
découle.
Mary
Ann
 Doane16,
 par
 la
 suite,
 voit
 cette
 relation
 comme
responsable
de
 la
 «
sur
identification
»
 de
la
spectatrice
à
la
femme
à
l’écran,
ce
qui
lui
empêche
toute
prise
de
distance17.
 
 
 Pour
continuer
à
se
développer

de départ a connu des changements mais ils ne changent rien. Tour d’abord les matriarcats c’est une société matrilinéaire, il y a la polyandrie les femmes ont plusieurs maris, société pauvres (Scandinavie, maintenant devenu des pays riches). Les patriarcats c’est où il y a quelques choses à échanger : la polygamie, plus on est riche plus on a de femmes, c’est une société commerciale. Les sociétés d’égalités, les hommes et les femmes sont sur le même pied d’égalité : riche, mariage entre 2 terres (la

et résolues dans le jeu grotesque ». Vers -3000 avant Jésus Christ, nous observons le début de l’âge des métaux. Pendant deux siècles, des tribus guerrières d’Asie centrale envahissent le monde connu (invasions aryennes) et imposent le retour du patriarcat, de la force masculine, des armées. Leurs femmes sont cloitrées et esclaves. C’est alors un dieu du Printemps que l’on doit honorer. Un male, sauvage et joyeux et de nouvelles fêtes remplaçant les fêtes agraires : des mouvements frénétiques, une

dans les Balkans. Tout en restant des sujets de seconde zone (zimmi) soumis à un impôt spécifique, les non musulmans (chrétiens ou juifs, notamment après l’expulsion de ces derniers d’Espagne) peuvent continuer de vivre selon leur droit : le patriarcat grec orthodoxe est reconnu à Constantinople en 1454. Dans la seconde moitié du xve siècle, Mehmed II puis Bayezid II avaient d’ailleurs fait promulguer des codes de lois coutumières, qui témoignent du pragmatisme du pouvoir central. L’autorité

bilan est celui d’un génocide parfait, les deux tiers des Arméniens (environ 1 500 000 personnes) de l’Empire ottoman sont exterminés. Tous les Arméniens des provinces (vilayets) orientales, soit 1 200 000 personnes, d’après les statistiques du patriarcat, disparaissent définitivement d’un territoire qui était le cœur de l’Arménie historique depuis des millénaires. Seuls survivent encore les Arméniens de Constantinople, de Smyrne, quelque 350 000 personnes qui ont réussi à se réfugier en Arménie

frères aux deux sœurs. Mais, j’aurais pu y référer sur bien d’autres points, par exemple ses analyses sur le patriarcat mitigé dans la famille conjugale. Marc-Adélard Tremblay37 qui a traité des questions d’autorité et de l’émancipation des femmes dans les années 60 va souligner les convergences entre ses propres observations et celles de Garigue au-delà des vocabulaires. Sur le thème du patriarcat, Denyse Baillargeon réfère à Garigue dans les notes de Ménagères au temps de la crise38, pour appuyer ses