Patients Grand Corps Malade

maternité, mort, etc.) et de la maladie, de la personne malade, du corps, de la pudeur, de l’hygiène. Par exemple si la présence du père lors de l’accouchement est devenu la norme en Europe occiendentale, cela reste une affaire de femme dans les sociétés traditionnelles. Pour certaines culture, la maladie est l’œuvre de Dieu, d’un mauvais sort ou encore d’un desequilibre interne. Les soignants ne peuvent que prendre en compte la culture du patient pris en soins afin de pouvoir le prendre en charge de

traitement……………………………………………………………………..………..………..page13 4- Les risques liés à la nutrition parentérale.............................................page15 III- La nutrition artificielle, un défi plein de promesses……………………………………………….…………………..…………….………….page16 1- Le patient dans la société……………………….……………………….…………..………..page16 2- Les risques à long terme…………………………………………………………………….……..page18 3- Une autre solution : la greffe………………..……………………………..………...………page19 Conclusion……………………………………………………………………………………………………………..page21

répondre à notre questionnaire. SOMMAIRE Introduction 1. Cadre conceptuel 1.1. 1.2. Anthropologie de la mort Les soins palliatifs 1.2.1. Historique 1.2.2. Définitions 1.2.3. Les textes législatifs 1.3. L’accompagnement 1.3.1. Le malade 1.3.2. L’entourage 1.4. Le patient en fin de vie 1.4.1. Les stades du mourir 1.4.2. Besoins psychoaffectifs et spirituels 1.4.3. La famille et le deuil 1.5. Le soignant face à la mort 1.5.1. Le travail de deuil 1.5.2. Les institutions en rapport avec la mort 1.5.3

personnes bénéficiant d'un chromosome malade et d'un chromosome sain sont porteuses de la mucoviscidose mais n'en développent jamais les symptômes. Elle tient son nom du mucus anormalement visqueux qui tapisse les organes. Avec près de 1 nouveau-né atteint sur 5000 naissances, la mucoviscidose est l'une des maladies héréditaires les plus graves et les plus fréquentes en France. 1) Symptômes Les symptômes de la mucoviscidose varient d’un patient à un autre, soit dans la sévérité et dans

d’appétit, empêchant le patient de se nourrir. Si celle-ci devient chronique, elle peut devenir mortelle, par manque de nutriments dans le corps. Elle peut être un symptôme dans une maladie plus grave, comme le cancer, ou d’origine mentale. Dans ce cas, il s’agit d’un trouble psychique dans lequel le patient refuse de se nourrir pendant une très longue période.  L’anorexie, conséquence d’une maladie De nombreuses maladies, même bénignes, s’accompagnent d’un manque d’appétit. Le patient n’a pas envie de

l’euthanasie et le suicide assisté pourraient être une des solutions qui devraient être offert aux malades pour ne pas éterniser leurs souffrances quand ils sont en phase terminale. Devrions-nous autoriser l’euthanasie et le suicide assisté pour aider aux gens qui sont en phase terminale d’arrêter de souffrir ? Selon moi, je trouve que c’est une bonne idée, car ça va permettre aux personnes malades de mettre fin à leurs insupportables souffrances, les personnes vont pouvoir partir par leur propre

insuffisant. Aujourd’hui, près de 5 000 personnes malades attendent une greffe en France. Alors que chaque année, plusieurs centaines de milliers de personnes ont besoin d'une transfusion sanguine, les dons de sang marquent une baisse inquiétante. Donner, c’est pourtant simple. II/ Don d’organes et de sang en France. Définitions importantes : Qu’est-ce qu’un donneur ? On appelle donneur celui qui, par solidarité, donne un organe, un élément de son corps ou son sang pour autrui, de façon anonyme et

Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix Faculté de Philosophie et Lettres Département de Langues et de Littératures françaises et romanes La littérature du XIXe siècle comme moyen d’illustration des traitements dégradants infligés aux patients dans les hôpitaux psychiatriques Le cas du roman Un beau-frère d'Hector Malot Travail de fin de premier cycle universitaire présenté par Chloé BRUYER sous la direction de Caroline DE MULDER Année académique 2011-2012 2 Introduction

Les enjeux économiques Les catégories d’individu touchées par l’euthanasie a) Les proches des malades Les proches d’une personne atteinte d’une maladie grave sont soumis à de rude épreuve autant psychologique qu’économique. La famille a le « devoir moral » de rester auprès du malade, ce qui a parfois les conséquences d’absence au domicile et au travail. Certaine demande d’euthanasie, sont donc demandé par les proches eux même, en raison de beaucoup d’effort de soutien. Au bout d’un

comme ils sont. Les histoires des malades évoquent toutes un élément déclencheur, un déclic : une remarque blessante, un traumatisme, une rupture sentimentale, ou encore, une modification de la vie familiale (deuil, divorce…), présence d’alcoolisme, d’abus sexuel et physique, de violence physique et verbale. Selon l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche), les pathologies alimentaires sont plus fréquentes encore dans certains milieux où le corps est idéalisé, comme chez les danseurs