Pathétique

Variété et mélange des tons : réalisme registre pathétique en demi teinte jamais exprimer mais évoquer qui repose sur la situation tragique, évocation des disparut, de la misère financière. Simone un personnage qui déclenche la compassion :dimension pathétique ( plus d’argents angoisse cacher envers ses enfants [lignes 27-28] séparation forcé) le pathétique est aussi exprimer par une ponctuation expressive, les points de suspensions exprime le pathétique face a une parole existante qui hésite à se dévoiler

Plan détaillé du commentaire : I/ Le personnage d’Harpagon a) Un personnage nerveux b) L’avarice prononcée du personnage c) Harpagon un personnage pathétique II/ Le comique de la scène a) le comique de la situation b) le comique de langage c) le comique de gestes Ce texte est le monologue d’Harpagon extrait de l’avare, la célèbre pièce de Molière ( 1622-1673). Le personnage d’Harpagon vient

prend la forme d'un faux dialogue, avec un personnage plongé dans la folie A. Un faux dialogue entre Oreste et Pylade B. Le basculement d'Oreste dans la folie II) La souffrance tragique et pathétique d'un amant qui n'est pas payé de retour A. La situation tragique d'Oreste B. La souffrance pathétique d'Oreste III) Une vision pessimiste de la passion : ses ravages et sa violence A. La passion comme une source de souffrance B. La violence de la passion C. La mort comme seule issue de

mais cela sans émotivité, plus avec un état d'esprit passif . Par la suite l'absence d'adjectif souligne la simplicité, l'objectivité d'un constat. On trouve même une certaine naïveté dans la cruauté : comme « l'usage » l29, avec cette absence de pathétique. Le personnage a décrit sa vie en un mot, sans description, sans adjectif, nous sommes toujours dans la passivité. L'esclave évoque sa situation personnelle sans émotion : « Je me suis trouvé dans les deux cas » . Il présente les mauvais traitements

L’Atelier permet : – d’étudier les principales caractéristiques de l’écriture théâtrale : scène d’exposition, de dénouement, coup de théâtre, péripétie, didascalie, monologue, dialogue, tirade, personnage ; – d’aborder la notion de registre : comique, pathétique, polémique. L’étude mettra en jeu des méthodes variées : – lectures analytiques ; – lectures comparatistes ; L’ATELIER 131 – questions synthétiques ; – analyses d’une mise en scène et proposition de jeu pour les élèves. La séquence proposée

dominant, grossier, brutal MrdC est pathetique, il est hors de lui meme, ca le rend malade , il est en souffrance Methamorphose : qu’est ce qui le pousse a se changer ? passion et jalousie Il est en proie a la torture quand il pense a la PDC avec N On sent que MrdC ne croit pas PDC quelque soit ce qu’elle dit Tragique : mort due a une erreur, situation sans issue, malediction pour le futur, le sdieux sont presents, PDC a fait l’aveu PDC : pathetique, sentiment d’injustice, victime qui subit

faisant passer pour lui. En premier lieu, nous verrons la stratégie de séduction déployée par Cyrano pour arriver à ses fins. En second lieu, en nous appuyant sur des références précises, nous montrerons que le texte mêle étroitement les registres pathétique et comique. La stratégie de Cyrano repose sur 3 étapes : En premier lieu, Cyrano s’efforce de rassurer Roxane sur l’innocence de ce baiser. Il lui montre qu’il s’agit seulement de l’aboutissement d’un parcours sentimental : Il en rappel les étapes

chansons de plus en plus dramatiques. En effet, cette chanson est donc autobiographique et d'un registre pathétique et très réaliste. Il décrit la vie banale de ces « vieux » comme un combat constant contre le temps, une fuite qui aboutit à une mort certaine. Alors en quoi la fuite du temps est-elle si tragique d'après Jacques Brel? On pourra ainsi étudier dans un premier temps la vision pathétique et réaliste de Brel de la vieillesse, derrière laquelle on se verra étudier, dans un deuxième temps,

II. Un texte réaliste et pathétique a) La description des cadavres Ce poème de François Villon nous présente une description réaliste et macabre de la mort, qu’il tourne ensuite en dérision. C’est un tableau assez pittoresque qui fait référence aux mœurs de l’époque. La tradition qui voulait qu’on laisse les pendus sur le gibet révèle une réalité cruelle, présente dans le poème à travers les champs lexicaux du corps et de la décomposition, étroitement associés dans les vers 6 à 8. Par ailleurs

massacrer son peuple et son entourage et cet extrait est ainsi construit sur la thématique de la mort . Albert Camus met en scène la souffrance de Caligula et cherche à provoquer chez le spectateur de la pitié au détriment du monstre qu'il est . Le pathétique est aussi présent sous le vocabulaire dominant des émotions et la douleur «  J'ai peur «  , «  Cette nuit est lourde comme la douleur humaine «  . C'est une mort attendue dont le héros à lui même conscience ainsi que le spectateur et lecteur informé