Pathétique

connotation lugubre, qu'on retrouve dans le « spectre » à la fin de la strophe. Le cliché pathétique de l'enfant, dont l'épithète « étonné », à prendre au sens fort de « frappé », renforce l'aspect terrible et vivant de la scène. L'allitération en consonnes explosives dans le vers « Pas d'argent ; pas de pain ; à peine un lit de paille » montre la détresse d'un discours pathétique de cette femme à l'agonie ; et frappe l'oreille du lecteur de sa plainte. Cette misère est d'autant

dénonce le régime nazi et la barbarie de laguerre. Le poème porte sur le génocide d’un paisible village limousin, Oradour-sur-Glane, par une division SS le 10 juin 1944 durant la seconde guerre mondiale. Il fait partit dugenre tragique et du registre pathétique. Le texte traite les thèmes de la guerre, de la destruction, de la mort, de la nostalgie et de la haine. L’auteur raconte un fait réel doncl’intérêt de l’œuvre est historique. Jean Tardieu utilise donc la poésie pour parler d’un acte barbare et

|4 La fascination et l'effroi | |4.1 Le registre dramatique | |4.2 Le registre pathétique | |4.3 Le registre tragique | |5 Problématique

nous demander en quoi Médée représente un personnage plus complexe qu’il n’y parait, pris au piège par son envie de vengeance. Après avoir examiné le caractère inhumain et cruel de cette femme, nous montrerons qu’elle possède aussi un côté pathétique dans cette tragédie. Dans la plupart des œuvres, Médée est en effet montrée, en premier lieu, comme étant une femme monstrueuse. La pièce de Corneille traduit aussi ce côté. D’abord, Médée est une héroïne antique, c’est une magicienne

Sosie de protester dans de grande tirade de sons bon sens. Sur quels registres Molière avait-il prêté son «épisode ? Nous verrons qu’il a réussit à garder une tonalité comique au passage tout en amenant la scène par moment au bord du tragique du pathétique. I° La scène est bien une scène de comédie. La farce est présente. Les coups de bâtons sont un ingrédient traditionnelle de la farce de le mécanique qu’ fait s’abattre les coups sur les dos de Sosie suis une recette bien connus que Molière réutilise

peur . Figures de style renforçant l’effroi, l’angoisse… Effets du fantastique sur le personnage : L’angoisse 2- La folie 3- La mort Effets du fantastique sur le lecteur : Voir ci-dessus ce qui suit la flèche. Le registre pathétique : → Le registre pathétique suscite chez le lecteur un sentiment de compassion pour le personnage. Eléments de base : . Une situation poignante . Un personnage victime . Des sentiments forts (indignation liée à l’injustice faite aux plus faible ; tristesse ;

pâle, s’ouvrait » où le lecteur peut supposer que l’enfant a été réduit au silence, avec une vision réaliste d’un corps sans vie, le visage du cadavre, des détails macabres, tragique « œil farouche », une image pathétique « ses bras ». Le lecteur peut voir aussi le contraste pathétique entre le jouet et les touches réalistes V 8-9 qui mêle le chaud (symbole des images) et le froid (le réalisme). Le vers 10 convoque le lecteur à regarder le corps de l’enfant. Le portrait moral abonde les qualités

Composé Introduction Ce texte est issu de la pièce de théâtre ‘‘Cyrano de Bergerac’’, œuvre en cinq actes d'Edmond Rostand, appartenant au registre de la comédie héroïque et qui parut en 1897. Ce commentaire qui mêle les registres lyrique, comique et pathétique porte sur la scène 10 de l'acte III, la célèbre scène du balcon qui réunit les trois personnages principaux de la pièce où dans un esprit de sacrifice héroïque, le brillant mais disgracieux Cyrano, passionnément amoureux de sa cousine Roxane, profite

mère, qu’à la femme qui l’aime. Albert Camus nous décrit ici un personnage faisant aussi preuve de naïveté, et ayant des réactions que l’on pourrait caractérisées d’absurdes. Il vit pour soi-même, et sont comportement nous éloigne d’un antihéros pathétique. Par ailleurs, cette thématique de l’absurde peut nous être renvoie au discourt de l’homme sans dieu, évoqué par Pascal dans ses Pensées, montrant alors son impuissance face à la mort. Une impuissance que l’on retrouve au début du roman, face à

la réalité de la guerre et de l’horreur par le biais du sort des populations civiles. Comment une peinture pathétique de la guerre et l’emploi de l’ironie, qui transforme l’horreur en spectacle, dénoncent-t-ils la folie de la guerre et des hommes ? Nous verrons dans un premier temps que la guerre est, en apparence, mise en valeur. Puis, nous nous interrogerons quant au tableau pathétique qui est en fait proposé. Pour terminer, nous montrerons comment l’auteur s’y prend pour dénoncer efficacement