Pascal Le Roseau Pensant

“L’homme est un être des lointains” - Pascal : “L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature;mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser : une vapeur, une goutte d’eau suffit pour le tuer. Mais quand l’univers l’écraserait , l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien” (explication du roseau pensant)

personne pourrait faire les choix lui procurant uniquement du bonheur.               La conscience permet également la connaissance, « La conscience est le meilleur livre du monde. C’est celui que l’on doit consulter le plus souvent » a dit Blaise Pascal, effectivement avec la conscience l’Homme peut développer des connaissances et se cultiver, ainsi, il pourra savoir ce qui pourrait lui nuire grâce à sa conscience et ainsi ici la conscience permettrait de viser le bonheur. L’Homme sait qu’il existe

relaxer. Se moquer de quelqu'un en riant consiste à communiquer qu'il ne représente aucun danger. 2. Le rire le propre du ‘’Roseau Pensant’’ Le Roseau pensant : Une expression de Blaise Pascal : Philosophe et mathématicien français L’homme est un roseau, mais un roseau pensant. L’homme est fragile comparé à l’immensité de la nature qui l’entoure mais l’homme est pensant avec une conscience et un recul sur les choses, il a choisi d’exprimer des valeurs que lui seul a acquiert durant des milliers

« L’homme est un roseau le plus faible de la nature mais c’est un roseau pensant » Blaise Pascal. Par cette phrase Pascal nous montre que malgré la « petitesse » de l’homme dans l’univers sa pensée fait toute la grandeur de l’homme. La pensées est donc un des atouts principales de l’homme car cela en fait un être conscient de lui-même pourtant parfois ne devenons nous pas inconscient a nous-même. Que devenons nous si nous sommes inconscient a nous-même ? Pour répondre a cette question nous allons

Séquence 3 : Les pensées de Blaise Pascal Grandeur et Misère de l’Homme. Liasses II et VIII Domaine d’étude : Littérature et débats d’idées. Problématique : Comment, par quel procédé apte à convaincre et persuader, Pascal va-t-il écrire à la fois une apologie (c'est-à-dire un éloge) du christianisme et une anthropologie (une vision, une étude de la condition humaine de la grandeur et de la misère de l’Homme) ? Séance 1 : BLAISE PASCAL « Cet effrayant génie » (Chateaubriand).

Blaise Pascal (2e partie du 17è siècle) 1) Biographie Blaise Pascal est un scientifique (1623-1662) qui va s’opposer aux libertins. Sa mère est morte quand il avait 3 ans et c’est son père qui l’a donc élevé. Son père est très cultivé et Blaise va donc participer à des réunions de savants dès 8 ans. Le Port royal est un couvent pas loin de Paris qui est le foyer du jansénisme. A 12 ans Blaise va réinventer la géométrie, à 16 ans il écrit un essais sur les coniques, à 20 ans il

PASCAL, Pensées, fragments 347-348 1. L’idée principale du texte et sa structure argumentative : • Pascal s'efforce de définir l’homme, l'auteur ici indique que propre de l'homme est le fait d'une fragilité extrême. En dépit de sa faiblesse physique l’homme a su s’élever grâce a sa raison et son intelligence. • Pascal peut être considéré comme un penseur tragique. Il pense que la marque de la vérité est dans la répugnance et la contradiction et que dans la quête de la vérité, il faudra

(Méditations Métaphysiques 2) Le philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant ». Mais le mot « être » est tout aussi

opposent souvent deux visions totalement différentes de cette condition. Ainsi, Pascal nous expose une partie de cette condition comme « faible et mortelle, et si misérable que rien ne peut nous consoler lorsque nous y pensons de près ». Il nous dit aussi que « l’homme n’est qu’un roseau, le plus faible des roseaux, mais c’est un roseau pensant ». Dans cette phrase on retrouve le thème de la misère de l’homme, faible comme un roseau parce qu’il est mortel, et de la grandeur de l’homme parce qu’il dispose

(Méditations Métaphysiques 2) Le philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance »(« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité :« La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant » Toute conscience est une conscience