Pascal Imagination Seconde Nature

Blaise Pascal Pensées sur la religion et sur quelques autres sujets I. ORDRE................................................................................................................................................................ 3 II VANITÉ .............................................................................................................................................................. 4 III. MISÈRE...........................................................................

Blaise Pascal Pensées sur la religion et sur quelques autres sujets I. ORDRE................................................................................................................................................................ 3 II VANITÉ .............................................................................................................................................................. 4 III. MISÈRE...............................................................................

Blaise Pascal Pensées sur la religion et sur quelques autres sujets I. ORDRE................................................................................................................................................................ 3 II VANITÉ .............................................................................................................................................................. 4 III. MISÈRE...........................................................................

remarque également que la référence à l'idée de loi naturelle disparaît. L'explication se trouve dans la préface au discours ( p.17 à 20 ) où Rousseau analyse les difficultés de la question posée. La première concerne la question de la connaissance de la nature de l'homme. Cette question s'impose puisque si l'on veut connaître l'origine des inégalités on est amené à inscrire celles-ci dans une histoire de l'homme qui doit faire la différence entre ce que les hommes ont pu être et ce qu'ils sont devenus «

peuplés de créatures toutes plus fantastiques et effrayantes les unes que les autres ? C'est enfin un univers inconnu, dangereux, où l'homme n'a ni sa place, ni ses repères. La saleté, la peur, l'obscurité... Voilà qui pourrait cependant nourrir les imaginations les moins fertiles. Mais cette crainte d'aborder le souterrain, n'est-ce pas avant tout la peur de découvrir ses propres souterrains ? Car là est tout l'intérêt de notre travail : un travail de mineur, d'archéologue, de psychanalyste même serait-on

heure de cours), relatif et perceptible. 2 Grandes visions du temps : 1)Les sociétés qui intègrent les mythes comme des cadres mentaux (ex : l’Antiquité). Vision cyclique du temps, temps circulaire : en phase avec l’évidence des cycles de la nature (saison, jours, …) Cela permet un premier constat : pas de début ni de fin, il y a un principe de retour, d’une répétition. Il n’y a pas de place pour le changement, l’évolution. On va intuitivement miser sur la permanence (ex : miser sur une lignée

vers  parce  qu'ils  sont  poètes,  et  il  y  a  les  poètes  qui  sont  poètes parce qu'ils savent faire des vers. On mettrait Lamartine, Hugo,  Madame de Noailles parmi les premiers. Racine nous fournirait le type  achevé  des  seconds.  Et  c'est  parmi  ces  seconds  qu'il  faut  ranger  Valéry. Pour les premiers, la poésie est tout, même lorsqu'ils écrivent  en  prose.  Mais  pour  Racine  la  poésie  ne  figure  qu'un  cas  particulier,  une  réalisation  secondaire  d'une  réalité  antérieure

Citations pouvant servir de référence : « Il n’y a pas de science par la sensation. » Aristote, Seconds Analytiques, Paris, Flammarion, 2005, Chapitre I,87b La perception « n’est point une vision, ni un attouchement, ni une imagination [...] mais une inspection de l’esprit, laquelle peut être imparfaite et confuse [...] ou bien claire et distincte. » Descartes, Méditations métaphysiques, Méditation seconde, Paris, Flammarion, 1992, p. 87. « La perception n’est pas une sorte de science commençante

Dame => un lais sur la création littéraire, pas sur l’amour. 2. Le XVIIe siècle : PREMIERE partie * Première moitié du 17e siècle: l’époque baroque, mélange des contraires, ruptures, exubérance, remise en question de l’autorité, imagination. * Dates importantes: Darcos, Tableau. 1598: Edit de Nantes: Le fin de la guerre de religion 1598 – 1610 : Règne d’Henri IV : accalmie intérieure, un peu d’ordre, de prospérité, d’art de vivre 1610 : Régence de Marie de Médicis 1617-1643 :

1 INTRODUCTION LA CULTURE : NATURE HUMAINE ET ARTIFICES A- La culture : une notion polysémique · Sens 1 : Ontologique et Humaniste : sens le plus large et le plus fondamental : la culture en ce sens recouvre tout ce par quoi l’existence humaine apparaît comme s’élevant au dessus de la pure animalité et plus généralement, à travers elle , au-dessus de la simple nature. Ainsi la définit Freud : « La culture humaine j’entends tout ce par quoi la vie humaine s’est élevée au-dessus des conditions