Particularités Syntaxique

qu’une classe d’unités de nomination soit reconnue dans une langue, il faut qu’elle ait une identité morphologique et une identité syntaxique propres. L’arabe moderne1 est en train de développer une classe d’unités de nomination caractérisées par le complexe biphonématique final /an/ : elle est reconnaissable par une morphologie propre et par un comportement syntaxique déterminé. Pour pouvoir nommer tout de suite cette classe et pour des raisons qui apparaîtront plus loin, on pourrait choisir de la

Synthaxe : Paratactique chaos syntaxique Figure de style: L'auteur personnifie le tigre ou l'on peut voir la figure de l'empereur. Métaphore du gladiateur accumulation Plan I- Qu'est ce que cet extrait ? - incipit ? - scène d'exposition ? - scène finale ? II- Quelle est la spécificité thématique du passage - description naturaliste ? - une parodie ironique de l'église ? (par exemple chez Voltaire) III- La particularité formelle du passage - texte transgressif

de proximité entre les interlocuteurs - standard : pas d'intimité entre les interlocuteurs - soutenu : situations fortement normées. Ces trois registres se distinguent via 3 dimensions : phonique (ex le "r" et ses prononciations), lexicale et syntaxique. Oral et écrit Le langage est une faculté nécessairement orale : l'humain est fait pour s'exprimer avant tout avec sa voix. L'écrit est donc secondaire. Il permet de se passer du son et de conserver une trace des paroles grâce à une codification

décès de sa mère. - Le héros ne perd pas son appétit et ne change pas ses habitudes « J’ai mangé au restaurant, chez Céleste, comme d’habitude » : ce qui peut paraitre choquant : la vie poursuit son cours normal : cf virgules séparant les groupes syntaxiques donnent un rythme lent et le narrateur semble s’exprime avec un ton calme voire serein. - Il dort dans le bus « je me suis assoupi. J’ai dormi pendant presque tout le trajet : l’accumulation des causes : course, cahots, odeur d’essence, réverbération

peut ainsi être considéré comme un texte rhétorique. Quels sont les traits spécifiques de la forme poétique du sonnet et en quoi est-elle une forme rhétorique? En quoi le langage poétique ressemble t-il au langage rhétorique? Quelles sont les particularités de l´interprétation de ce sonnet et sont-elles comparables au procédé de compréhension d´un discours rhétorique? Nous nous efforçerons par la suite de répondre à ces questions pour arriver à une compréhension plus profonde du sonnet et pour

celles concernant son utilisation. Refusant d’anticiper des relations qu’une unité entretiendra avec les autres au sein même de sa description interne, alors, par exemple, on ne représente pas d’informations syntaxiques dans un objet dont les constituants n’entretiennent pas de relations syntaxiques ; en cela, on se distingue des grammaires dites “lexicalisées”. – La troisième position est celle de la non modularité (§3) : On se base ici sur l’idée selon laquelle l’information linguistique est éparse

celles concernant son utilisation. Refusant d’anticiper des relations qu’une unité entretiendra avec les autres au sein même de sa description interne, alors, par exemple, on ne représente pas d’informations syntaxiques dans un objet dont les constituants n’entretiennent pas de relations syntaxiques ; en cela, on se distingue des grammaires dites “lexicalisées”. – La troisième position est celle de la non modularité (§3) : On se base ici sur l’idée selon laquelle l’information linguistique est éparse

simple soldat : « ça le foutait en pétard », « on jouait sur du velours », « un type », « une vraie gueule d’empeigne », « on ne pouvait pas le blairer », « le moral à zéro ». Ces origines modestes se donnent aussi à entendre dans la construction syntaxique de certaines phrases assez relâchées, voire fautive. Les propositions nominales sont nombreuses, comme des raccourcis langagiers propres à qui n’a pas appris à adopter un langage soutenu et complexe : « Réflexe de classe », « Avec ça, l’air toujours

«usine», «mot à mot je me bâtis», «une de ces maisons légères d’écriture», «mes outils». Le recours à l’image dans ce texte est appuyé par le démonstratif qui l’ouvre. · Le rapprochement s’opère dès le début dans la reprise de la même construction syntaxique en rythme ternaire: «bruits de clous, de brosse et de mortier» et « ma cigarette, un crayon, la moitié/ D'une feuille».· Dans la syntaxe de certains vers, le poète se trouve un peu dépossédé de son travail: c’est le poème qui «s’écrit», la «main»

les cultures différentes. Néanmoins, en raison de différences entre des environnements géographique, des histoires humaines, des mœurs, des religions et des valeurs sociaux dans lesquels se forment les langues，chaque langue a sa propre particularité. Les gens d’origines ethniques et culturelles différentes ont des perceptions cognitives différentes pour les mêmes choses. Il en résulte des mots et des phrases contenant des sens différents, d’où se produisent les inégalités des langues.