Parti rouge

GUSTAVE FLAUBERT L’éducation sentimentale Histoire d’un jeune homme [1869] () PREMIÈRE PARTIE I Le 15 septembre 1840, vers six heures du matin, la Ville-de-Montereau, près de partir, fumait à gros tourbil-lons devant le quai Saint-Bernard. Des gens arrivaient hors d’haleine ; des barriques, des câbles, des corbeilles de linge gênaient la circulation ; les matelots ne répondaient à personne ; on se heurtait ; les colis montaient entre les deux tambours, et le tapage s’absorbait

narrateur et au lecteur ce qu'il appelle son « histoire anecdotique ». L’histoire se déroule dans Paris où les riches ont l’habitude de frequentés des femmmes légères. Le jeune Armand Duval tombe amoureux de la jeune et belle Marguerite Gautier qui fait partie du monde des courtisannes. En effet, devenu l'amant de Marguerite, Armand obtient d'elle qu'elle renonce à sa vie de courtisanne pour se retirer avec lui à la campagne, non loin de Paris. Malheureusement, cette relation amoureuse est rompue par le

204 cm pour la prédelle Peinte sur bois Ce triptyque est actuellement exposé à La galerie Neue Meister de Dresde 2) Biographie d’Otto Dix Otto Dix est né en 1891 à Untermhaus en Allemagne d’un père ouvrier et d’une ancienne poète. Elle fut en partie responsable de son éducation artistique avec son cousin, un peintre dans le studio duquel Otto passait beaucoup de temps. Entre 1905 et 1909, il est apprenti du peintre Carl Senff et apprend à peindre ses premiers paysages. Au début de la première

s’étirent et se creusent pour laisser pénétrer la lumière et créer ainsi les espaces de circulation. Les couloirs s’ouvrent et deviennent un lieu de pause et de rencontre. À la jonction des axes, est implanté le noyau de circulation verticale peint en rouge. L’escalier baigne dans une lumière jaune, due à la peinture, irradiante, du fait de carrés de pavé de verre faisant office de lanterne, la nuit venue. L’éclairage est au néon : des néons blancs, sur minuterie et des néons rouges, éclairage permanent

on dira qu'en ce sens, la photo est illustrative.Cette femme se situe dans la zone la plus floue de la photo mais l'on peut constater qu'elle regarde l'objectif.La couleur rose du vêtement du bébé est la seule couleur chaude qui apparaît dans cette partie gauche.On remarque que ce sont les couleurs froides et les non-couleurs (blanc et noir) qui dominent non seulement cette zone mais aussi toute l'image.Enfin, contrairement aux deux autres femmes, la troisième ne visionne pas l'objectif. Elle est tournée

ne voyait point » (l.41) Qui est ce « on » ? Narrateur extérieur en point de vue interne, on connaît : - les sentiments du personnage : « le gênait beaucoup » (l.14), « une seule idée occupait sa tête vide » (l.18) - son passé « il était parti de Marciennes vers deux heures » (l. 11) Adoption d’un point de vue personnel 2. Un personnage à l’identité imprécise Le personnage du roman est campé : Identité du héros imprécise : « un homme » (l. ) (aussi floue que le paysage qui l’entoure)

alors de révolutionner le genre poétique en se lançant dans une expérience sans précédent. On retiendra de lui les nombreux poèmes qu’il a écrit à 17 ans comme « Bateaux Ivre ». On notera aussi son renoncement au mode poétise à l’âge de 21 ans pour partir en Afrique. « Le mal » est un poème écrit durant la guerre contre les Prussien. Ce Poème montre la vison de la guerre par Rimbaud tout comme dans « le dormeur du val » cependant elle est plus présente. Ce sonnet irrégulier symbole de sa modernité

"étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit. Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r". À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie l'agitation de la

s'abaissent et s'amoindrissent. Quelques-uns de ces ponts sont encore chargés de masures. D'autres soutiennent des mâts, des signaux, de frêles parapets. Des accords mineurs se croisent, et filent, des cordes montent des berges. On distingue une veste rouge, peut-être d'autres costumes et des instruments de musique. Sont-ce des airs populaires, des bouts de concerts seigneuriaux, des restants d'hymnes publics ? L'eau est grise et bleue, large comme un bras de mer. – Un rayon blanc, tombant du haut du

jeune et très coloré. C'est un espace très ouvert et grand qui se situe au troisième étage des docks 76. On distingue plusieurs parties : la partie droite concerne les caisses de paiement, les confiseries et caché dans le fond, un couloir menant aux toilettes du cinéma. Au centre, il y a les bornes de paiement automatique ainsi qu'une grande place avec du gris, du rouge et du orange intervertie qui forme un ovale. Au dessus de cet ovale, sur le plafond, il y a un autre ovale en 3D avec un gros