Parti chrétien-démocrate

l'avidité ou l'obscénité des Juifs. Dans sa haine du Juif, il assouvit ses penchants sadiques et trouve un prétexte pour se sentir fort. Le démocrate, au contraire, nie l'existence du Juif en refusant de lui reconnaître une quelconque singularité, et il craint que ne s éveille. chez lui une conscience juive. Tandis que l'antisémite reproche au Juif d'être juif, le démocrate lui reproche de se considérer comme juif. Sartre refuse ces deux positions et veut envisager les Juifs dans la singularité de leur situation

autre par ces changements qui découlent pour la plupart de la révolution de 1789. La période est marqué par quatre vagues qui vont lutter contre l'ancien ordre établi, elle commence tout d'abord par des mouvements libéraux suivit par des mouvement démocrates, ensuite c'est un mouvement sociale qui se met en place et enfin un mouvement nationaliste. Ce schéma de lutte est commun à tout les pays mais la différence tient aux différents modes d'affrontement selon les pays. 1: l'Europe en 1815 Après

IV république, c’est le cas de l’Italie jusqu’en 1993, et c’est le cas de l’Israël actuellement. Il manque le mode de scrutin. La France et l’Italie connaissent le mode du scrutin porportionnel, du coup l’échiquier parlementaire est morcellé, les partis extremistes et centristes onjt presque autant de poids que les paris classiques majoritaires. En plus de cela il n’y a pas de règle innérantes au parlementarisme, aucun encadrement constitutionnel. Dans le régime, la dissolution de l’assemblée n’a

terrorisme de se faire un nom au sein de la politique italienne. Tout d’abord, rappelons le contexte. La fin des années 1960 voit en Europe l’arrivée de certains mouvements d’extrême gauche européens empruntant la voie de la violence. Si en Allemagne, le parti communiste est interdit, celui-ci reste autorisé en France et en Italie sans toutefois pouvoir entrer dans le gouvernement. Toute une génération hantée par le nazisme et, en ce qui nous concerne, le fascisme de Mussolini (1883-1945, dont on rappellera

les partis italiens préparent l'après-Berlusconi LE MONDE | 14.09.09 | 14h41 • Mis à jour le 14.09.09 | 14h41 Rome Correspondant C'est un sénateur de droite rencontré dans une rue du centre historique de Rome. "Onorevole ("sénateur"), lui demande-t-on, comment voyez-vous les choses ?" Un soupir. "Un grand bordel", lâche-t-il. Depuis la révélation des scandales touchant à la vie privée de Silvio Berlusconi, les scénaristes de l'après-Berlusconi se sont mis au travail, comme s'il convenait d'anticiper

« Si un homme attribue tout ou partie des malheurs du pays et de ses propres malheurs à la présence d'éléments juifs dans la communauté, s'il propose de remédier à cet état de choses en privant les juifs de certains de leurs droits ou en les écartant de certaines fonctions économiques et sociales ou en les expulsant du territoire ou en les exterminant tous, on dit qu'il a des opinions antisémites. Ce mot d'opinion fait rêver... » ~ Jean-Paul Sartre « Je me refuse à nommer opinion une doctrine qui

Mais comment cela est-il possible puisque l’Etat est censé combattre l’illégalité ? A travers différents exemples, nous allons vous démontrez que mafia et démocratie ont entre eux des liens très proches : le système mafieux permet le financement de partis politiques (payer leur campagnes) et d’obliger la population a voter pour ces derniers et en échange, il leur est offert des rangs hauts placés dans la hiérarchie tels que maire, préfet ou |encore conseiller municipal (et même parfois encore plus

de la jeune UMP. Dans ses premières années, l’UMP est un parti plein de vitalité, qui offre au pays deux présidents et deux majorités présidentielles (2002 – 2007). Mais durant le quinquennat de Sarkozy, donc à une période que l’on pourrait appeler « l’adolescence » du parti, se manifeste les premiers troubles de la personnalité de cette formation. La discipline succède vite à la défense des intérêts particuliers des poids lourds du parti, eux même divisés par leur sensibilité politiques divergentes

supposant une égalité des conditions. A la fin du IXI ème siècle et au début du XX ème, le terme "socialisme" jouit d’un grand pouvoir de séduction. La plupart des partis préoccupés par la "question sociale", l’amélioration de la condition des travailleurs et l’instauration d’une société "meilleure", se disent socialistes ou sociaux-démocrates. Cette popularité lui vaut d’être récupéré, même par les courants qui lui étaient opposés, pour s’attirer les sympathies de la population.

La galaxie des syndicats français -La Confédération générale du Travail (CGT) Créée en 1895, la CGT est la première organisation syndicale de France. Proche du Parti communiste bien qu'autonome, adepte d'une ligne contestataire, la Centrale revendique un peu moins de 700.000 adhérents. En 2013, elle a obtenu 30% des voix exprimées aux élections professionnelles (moins de 50% des salariés inscrits votent). Son secrétaire général est Thierry Lepaon. -Confédération française démocratique du travail