Pari de Pascal

Blaise pascal est né la 19 juin 1623 et est mort le 19 août 1662. Il est philosophe, moraliste, théologien, physicien, mathématicien et inventeur. C'est un enfant précoce qui sera éduqué par son père et se découvrira une prédilection pour les sciences, clarifiant les concepts de pression et de vide et inventant la pascaline (ancêtre de la calculatrice). Ce n'est qu'après une expérience mystique à la fin de 1654 qu'il abandonnera les sciences pour s'adonner à la philosophie et à la théologie. C'est

intuition a pris corps en relisant un « classique » de la sociologie de la littérature : Le Dieu caché de Lucien Goldmann1. C’est un livre ancien – il date de 1959 – qui se présente comme une étude très savante sur « la vision tragique dans les Pensées de Pascal et dans le théâtre de Racine ». Goldmann était un marxiste hétérodoxe, héritier de Georg Lukacs (luimême auteur d’une « Métaphysique de la tragédie »2 ), mais qui a développé une perspective théorique originale. Dans Le Dieu caché, il montre la correspondance

rapports envisagés entre la philosophie et la religion ? Pour cela, nous nous appuierons sur deux textes de Blaise Pascal extrait de son recueil Pensées. Le Fragment 397 et 110 serons étudié. Publiée en 1669, le recueil réunit des notes que Pascal destiné à l'élaboration d'une Apologie de la religion chrétienne. Pascal était un philosophe et fervent croyant en Dieu. Dans ces pensées, Pascal va démontré les limites de la philosophie rationaliste. Ces réflexion sur la religion sont don en faveur de la

connaissance de la vérité La raison est importante chez Pascal mais elle n’explique pas tout. Elle permet de réfléchir sur la condition humaine et sur l’intérêt de croire en Dieu. Elle n’est pas toute puissante car aucun discours n’est totalement rationnel (le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas) et elle ne résout pas totalement la contradiction de l’homme, elle doit faire place à la foi. Contradiction de la condition humaine (Pascal) 1. L’homme aspire au bonheur mais ( Il voit beaucoup

Que faut-il entendre par « raisonnable » ? On pense à l’idée de preuve rationnelle de l’existence de dieu, mais, aussi à l’idée de forte probabilité comme le fait Pascal[1]. Mais, ne faut-il pas distinguer «rationnel » et « raisonnable » : les mathématiques sont rationnelles, ceux qui n’y adhèrent pas sont dans l’erreur. Certains comportements sont raisonnables, et ne pas y souscrire est, non pas une erreur, mais une attitude moralement négative, ou insensée ? Ne pas respecter le « rationnel » c’est

d'explications1. Nietzsche 2. Marx 3. FreudB. Irréductibilité du besoin religieuxIII. Approches philosophiques de la religionA. Distanciations1. Epicure et Lucrèce 2. Philosophes des lumièresB. Prises en compte1. Augustin 2. Thomas d'Aquin 3. Pascal 4. Kierkegaard Conclusion | Introduction   La religion apparaît en même temps que la pensée ! Par la pensée, l'esprit humain imagine au-delà des apparences immédiates, matérielles, une présence invisible au cœur de celles-ci. Et elle apparaît

molinisme, les Jansénistes entendirent rétablir les notions de grâce efficace et de prédestination (cf. le « pari » de Blaise Pascal selon lequel le « libertin » - entendre le libre penseur- (plus proche de la doctrine des Jésuites avec le « libre-arbitre ») n'aurait rien à perdre à croire : soit il est « élu de Dieu » soit il ne l'est pas...). -_-_-_-_-_- Blaise Pascal (1623/1662). Le pari de Pascal peut se résumer ainsi : | Dieu existe : | Dieu n'existe pas : | Vous pariez sur l'existence de Dieu

ETUDE DES PENSEES DE BLAISE PASCAL INTRODUCTION Le début du XVIIe est marqué par une crise des valeurs qui frappe

C’est pourquoi Saint Jean puis Saint Paul vont tenter de traduire, d’expliquer le message du Christ avec le vocabulaire grec. Dans la pensée et la figure du Christ, quelque chose excède la raison ; et c’est le point de départ de la thèse fidéiste de Pascal. Les preuves rationnelles ne servent qu’à convaincre ceux qui sont déjà convaincus, et sont trop éloignées du sens commun, trop compliqués, peu efficaces. Il existe de plus un écart constitutif entre la foi et la raison, qui ne sont pas du même

une personne. Croire en Dieu est déraisonnable, en ce sens que rien ne démontre l’existence de Dieu rationnellement. Kant affirme à ce propos : « Dieu est inconnaissable par la raison », ce qui à ses yeux justifie la foi. De la même manière, lorsque Pascal affirme que « le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas », il parle justement de l’incapacité de l’homme à démontrer l’existence de Dieu, mais plutôt celle de l’homme à la sentir, à la deviner intuitivement, sans être capable d’en donner