Paradis

Afrique, et dans une partie de l’Europe avec l’expansion géographique qui accompagna les conquêtes arabes à partir du VIIe siècle. Entre le VIIe et le XIIIe siècle, l’art des jardins est florissant sur le pourtour de la Méditerranée. Ces petits paradis, lieu de méditation au décor raffiné, aux plantations rares et aux installations hydrauliques savantes, fascinent l’Europe jusqu’à la Renaissance. Le jardin se divise alors en quatre parties avec au centre, une fontaine ou un bassin. Il est presque

d’or est incarné par l’innocence enfantine « sérénité », « vie enfantine », « bonheur pur », « charmes de mon enfance » : voc. Laudatif associé à l’enfance dans le dernier paragraphe + énumération des qualités de l’enfance l. 34-35 Voc. Du mythe « paradis terrestre », « premier homme » par allusion à Adam et à la chute Le pluriel l.31 à la fin, englobe le cousin mais permet également une généralisation qui le raccroche au mythe. Métaphore finale avec la Nature et le voile : référence au mythe puisque

Voltaire, au contraire, par Candide veut faire adopter sa philosophie en montrant qu'on peut améliorer la vie des hommes malgré le mal étant sur Terre et que celui-ci n'a été généré que par les hommes. - À la fin, Candide demande à sortir du paradis terrestre : l’utopie n’est pas faite pour l’homme. - « Il faut cultiver notre jardin. » cette citation de Candide montre qu'il a trouvé sa propre philosophie et qu'il a grandi intérieurement. Elle met le point final à l'histoire et ce n'est pas

morale explicite de la petite métairie : « le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice, et le besoin », élargie à la fin du roman dans le précepte, « il faut cultiver notre jardin ». Ces derniers mots évoquent malicieusement un paradis terrestre humaniste reconquis par l’exercice de la raison, à la fois intelligence et mesure, seule capable de contrebalancer les folies humaines.

Quand on voit quelqu'un qu'on aime mort devant nous on se dit que c'est fini et il ne reviendra plus c'est normal. C'est évidemment la version religieuse qui est la forme la plus populaire de ce déni. Il suffit de décider qu'une vie éternelle ou un paradis nous attend juste après notre mort pour donner à cette dernière un caractère irréel. Ce n'est plus la fin d'une vie mais le début d'une vie meilleure. Et cette croyance peut être assez puissante pour nous consoler de la perte de la personne aimée

grandiose de la cérémonie réservée aux voyageurs : décalage caractère grandiose / ce ne sont que des voyageurs - familiarité avec le roi :: le monarque est accessible, familier et humain. - absence d’appareil répressif 2) un paradis terrestre ( Tout est bien, beau, agréable, aucune trace de conflit, de problème d’aucune sorte. (Notion d’abondance : - un monde parfait et merveilleux où tout est beau, - hyperboles : « deux cent vingt

Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente, D'accord, mais de mort lente. Encore s'il suffisait de quelques hécatombes Pour qu'enfin tout changeât, qu'enfin tout s'arrangeât ! Depuis tant de grands soirs6 que tant de têtes tombent, Au paradis sur terre on y serait déjà. Mais l'âge d'or sans cesse est remis aux calendes7, Les dieux ont toujours soif, n'en ont jamais assez, Et c'est la mort, la mort toujours recommencée... Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente, D'accord, mais

première place de la liste, il était considéré même comme le 1er péché de l’humanité. Adan et Eve croquèrent la pomme parce qu’ils étaient encouragés par Satan incarné en serpent, or que Dieu leurs avait interdit. Ce qui à engendré leurs expulsion du Paradis terrestre, et c’est ce qu’on appelle le péché originaire, celui qui est à l’origine du péché originel qui est le mal qu’on porte nous chacun en sois depuis la naissance. Alors les théologiens ont réfléchit pendant plusieurs siècles pour décider si

conception du bonheur bien particulière. Premièrement, cette conception du bonheur se définit grâce à des lieux. Dans le chapitre 1, le Château en Westphalie est un premier lieu de bonheur en apparence. En effet, il représente une utopie : « Un paradis terrestre », l’abondance avec un grand château. Cependant, dans ce chapitre, l’auteur dénonce la hiérarchie très importante « un des plus puissants seigneurs », « respectable ». De plus, Voltaire montre la bêtise humaine avec les discours de Pangloss

alchimistes occidentaux étaient déjà à la recherche de la pierre philosophale qui apporterait la guérison des maladies et la prolongations de la vie humaine au-delà des bornes naturelles. Les Catholiques eux croient qu'il y a une vie après la mort, le paradis et que pour y accéder ils faut suivre les dix commandements et faire le bien autour de soi. En revenche les scientistes pensent que c'est par la science qu'il y a une possibilité de vivre plus longtemps grâce aux recherches médicales et l'avance de