Paradis

A gauche et à droite deux panneaux étroits, la création d’Ève dans le Paradis terrestre à gauche, l’enfer à droite. Les formes étranges minérales/animales montrent que les forces de la nature étaient présentes dès le début. La nature est sexuée, et donc par nature le moteur de la chute. Le panneau central, Jardin des Délices Le panneau central carré montre le monde humain soumis au péché. Son paysage poursuit celui du Paradis. Le thème du fruit défendu est omniprésent : fraises, mûre, cerises,

optimiste avec des détails triviaux. « qui donnait une leçon de physique expérimentale à la femme de chambre ». Candide chassait du paradis terrestre : Voltaire réécrit ici en parodiant l’épisode biblique de la chute, Candide après avoir embrassait Cunégonde est chassé de ce qui nous est décrit comme le plus beau, tout comme lorsque Adam et Eve furent chassé du paradis terrestre après le pêché de la chaire. Document complémentaire de cette étude : Diderot ; article « le conte », L’Encyclopédie

Il est donc exigé d’aimer son prochain, car tous les hommes sont égaux. On apprend à connaître ce divin par la prière et la lecture des évangiles, on connaît par la foi. C’est selon ces conditions qu’après la mort, corps et esprit ressuscitent au Paradis (si elles ont été respectées) ou en Enfer (dans le cas contraire). C’est donc devant ces deux manières de trouver le salut qu’on peut alors se demander : trouvons-nous vraiment notre salut en combattant la peur de la mort par sa façon de voir les

dénonce la guerre avec ses atrocités et sa cruauté. Ensuite, concernant l'analyse des couplets et du refrain : -Le premier couplet montre des hommes morts qui attendent qu'on vienne les chercher pour les emmener dans l'autre-monde (peut-être le paradis ou l' enfer) . -Ensuite, le refrain est composé de 8 vers, et il montre les mères de famille qui étaient tristes, déséspérées que leur enfants partent à la guerre, "dieu est habillé en noir" signifie que dieu est tout simplement la mort. De plus

suggère une présence inquiétante dans le dessin. III- Renversement de l’image de l’ombre Remise en cause de la tradition : l’ombre comme symbole de vie et de protection et la lumière destructrice. « L’arbre-rose » - ombre protectrice : image d’un paradis terrestre dans lequel l’ombre devient le principe du locus amoenus (lieu plaisant, generally refers to an idealized place of safety or comfort) puisque les deux figures qui peuvent ê comparées a Adam et Eve trouvent refuge dans cet aplat obscur.

La mort dans le monde celtique était un événement considéré comme le passage dans une autre vie, dans un autre monde. On avait croyance en un Au-delà. La religion celtique ignorait toute notion de châtiment et d'enfer éternel, de purgatoire ou de paradis réservé à quelques élus contrairement à la religion chrétienne. L'âme était considérée comme immortelle et les différentes étapes qu'elle devait parcourir doivent s'achever par un séjour d'éternelle félicité, d'éternelle jeunesse, sur une île sans

vie continue. Les humains ont toujours eu peur de la mort alors ils se rassurent en croyant en une vie après la mort. D’ailleurs, croire en un autre monde amène les gens à avoir une bonne vie et d’être des bonnes personnes pour pouvoir accéder au paradis ou tout autre monde où le bien règne. Par exemple, les amérindiens ont toujours été respectueux des animaux et des végétaux, car ils croient que chaque être vivant est doté d’une âme. Cette religion se nomme l’animisme et on peut associer cela à

sans pareil, et j'attends de tout cœur de pouvoir le voir de mes propres yeux. Cette vie est tellement idéale, mais sais-tu seulement à quel point tu peux me manquer. Ton si doux visage d'enfant qui me faisait tant rire. Je ne veux plus sortir de ce paradis terrestre, alors rejoins-moi. La vie est parfaite ici, au milieu de ce monde ensanglanté où la guerre fait rage. Nous, nous l'avons en abomination ce carnage inhumain, imparfait voire impur. Viens me rejoindre où la vie est source de bonheur. Où même

t’ils debout en face de nos corps dépecés de désespoirs Ils nous promettent en guise d’échange une solution… Pour palier à nos difficultés financières ! Ils affirment avoir la clef du succès… Et nous espérons qu’elle nous ouvre les portes du paradis terrestre Faut-il croire, A ces promesses factices qui nous chante pouilles Depuis cinquante ans ? Nous sommes courbés, épuisés de fouiner Dans les profondeurs de l’éburnée A la recherche de l’élu Qui viendra nous libérés de ce fameux pacte

Marguerite=passeur=Charon (passeur des âmes vers le séjour des morts) Marguerite= aide Béranger à passer la passerelle vers la mort Marguerite = parodie de Virgile (permet au Héros de descendre aux enfers)= fait monter Béranger Cette monté n’est pas une monté au paradis = pas de mort consolatrice La mort = le néant b) Un guide autoritaire Utilisation de l’impératif Anaphore : « renonce aussi », « ne crains pas », « monte,  monte » Reprise et variations de certains termes = effacement de Béranger c) Une protectrice