Papauté d'Avignon

autour de l’église de France Cette querelle bonifacienne en 1302 à permis au roi d’affirmer son indépendance vis-à-vis du pape et le roi a affirmer ses droits sur l’église de France. En 1305, pape Français élu clément 5 et c’est le début de la papauté d’Avignon en 1309 jusqu’en 1318. Il y a 7 papes Français durant cette période. Cette installation de papes en Avignon va être à l’origine de tension avec ceux qui veulent le retour du pape a Rome et le grand chiisme joue en faveur du roi, le pape est

L'UNESCO fera du 23 août "la Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition". 1791: 16 septembre Annexion d'Avignon L'Assemblée constituante vote la réunion à la France d'Avignon et du Comtat venaissin. La "ville des Papes", industrielle et marchande, avait choisi dès les premiers évènements de la révolution française de s'opposer à la papauté, contrairement aux autres cités du Comtat, plus rurales et plus conservatrices. Le décret du 14 septembre met un terme au débat.

fureur des plaisirs et la chasse aux boucs émissaires. Deux mille Juifs sont ainsi massacrés à Strasbourg en 1349. Pour sa part déchirée par le grand schisme d’Occident (1378-1417), la papauté n'offre plus de modèle, ni moral ni religieux. La chrétienté tout entière est divisée entre le pape de Rome, celui d'Avignon, et un troisième issu du concile de Pise en 1409. L'unité ne doit être retrouvée qu'avec l'élection de Martin V en 1417. Les désordres créés par le grand schisme ne sont pas étrangers

jouèrent auprès de l’empereur le rôle d’animateurs (R. Glaber, I, v, 5). D’Otton Ier à Henri III, Cluny a assisté avec sympathie aux diverses interventions impériales en faveur de la réforme de l’Église. Il s’est réjoui de la purification de la papauté, de la défaite de la noblesse romaine et de l’action du S.-Siège réformé contre les évêques. Sur ce point en particulier, l’Église de Rome trouva de fidèles alliés dans les Clunisiens, mais ils n’étaient pas prêts à aller plus avant et, lorsque sous

Sicile. - La chevalerie française s'allia avec les royaumes chrétiens du Nord de l'Espagne contre Cordoue pour assurer la puissance des royaumes de Castille et d'Aragon. - Ces expéditions d'Espagne avaient pris le caractère d'une guerre sainte et la papauté initia l'élan général pour la croisade destinée à libérer la Terre Sainte. - Cette croisade fut prêchée par le Pape  Urbain II en 1095 à Clermont en Auvergne. Une croisade populaire se fit massacrer en traversant l'Europe en Asie Minore. Mais la croisade

répand aussi. Le clergé régulier a beaucoup mieux résisté : il a été désorganisé au IX et Xème par les invasions, mais il s'est très vite reconstitué et le monachisme a connu un très bel essor de la fin du Xème au XIIIème. • La réforme grégorienne. La papauté a mis en place une réforme très vaste qu'elle a voulu imposer à toutes les églises chrétiennes occidentales. Elle s'est échelonnée de 1040 à 1130, mais c'est avec Grégoire VII (1073 - 1085) qu'elle a connu ses moments forts. * Les étapes de la réforme

s'entoure de légistes originaires de toute la France. Mais Philippe le Bel est surtout connu pour son affrontement avec les papes, lesquels, pour échapper aux troubles continuels de Rome, s'installent à Avignon mettant pour trois quarts de siècle la papauté sous influence directe de la France. Quand il meurt en 1314, la monarchie capétienne semble consolidée et forte. Les transformations économiques et sociales [modifier] le bas de cet extrait de la tapisserie de Bayeux, xie siècle, montre des

Section 2 - l'apogée du droit classique : Décrétales et décrétalistes § 1 - Les sources créatrices du droit 52 A - La législation pontificale 1) Les décrétales L'habitude s'est prise au MA de qualifier « décrétales » les textes normatifs de la Papauté. Epistolae decretales ("lettres décrétales") désignait à la fois la nature de l'acte, une lettre et son caractère obligatoire, decretum. Mais Etienne de Tournai distinguait les décrétales proprement dites, rescrits du pape qui donnait en réponse à

ensuite reconsidérer l’investiture canonique et la confie non pas au Pape mais désormais à l’archevêque métropolitain. Cette mesure est très claire, les constituants français veulent ainsi manifester l’indépendance de l’église de France vis-à-vis de la papauté. Puisque les prêtres et évêques sont éluS comme tous les fonctionnaires publics, comme eux ils vont devoir prêter serment, de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse, donc les paroissiens mais également ils doivent prêter serment de fidélité

parce que seule l'autorité romaine lui donne compétence pour délivrer les grades ayant valeur universelle. A Salerne, Bologne, Paris, Oxford… une organisation nouvelle se forme que la papauté encourage par des privilèges : dés qu'elle a vu maîtres et étudiants s'organiser en corps pour défendre leur indépendance, la Papauté les soutient et protège (exemption). Ce fut le cas à Paris où le Saint-Siège passe outre aux résistances de l'évêque et du roi pour imposer l'université des maîtres et des étudiants