Pampre

hasard tous les êtres divers, Le temps avec la mort, d’un vol infatigable Renouvelle en fuyant ce mobile univers ! Dans l’éternel oubli tombe ce qu’il moissonne : Tel un rapide été voit tomber sa couronne Dans la corbeille des glaneurs ! Tel un pampre jauni voit la féconde automne Livrer ses fruits dorés au char des vendangeurs ! Vous tomberez ainsi, courtes fleurs de la vie ! Jeunesse, amour, plaisir, fugitive beauté ! Beauté, présent d’un jour que le ciel nous envie, Ainsi vous tomberez

rauque et d’amour si voilée… Le col charmant cherchant la chasseresse ailée. Mon cœur fut-il si près d’un cœur qui va faiblir? Fut-ce bien moi, grands cils, qui crus m’ensevelir Dans l’arrière douceur riant à vos menaces… Ô pampres ! sur ma joue errant en fils tenaces, Ou toi… de cils tissue et de fluides fûts, Tendre lueur d’un soir brisé de bras confus? «Que dans le ciel placés, mes yeux tracent mon temple 210 Et que sur moi repose un autel sans exemple !»

(poids total : 410 g) : - 1 vase balustre vers 1900 à lauriers, travail attribué à la maison PUIFORCAT. Minerve. H.: 16,1 cm. - Timbale tulipe guillochée à cartouche chiffré MA par D. MOUSSET. Minerve. H.: 6,5 cm. - 1 rond de serviette chiffré SN à pampres de vigne. Minerve. - 1 vase soliflore (800 millièmes), travail italien moderne. Cygne. H.: 8,2 cm. - 1 gobelet à liqueur russe, KOSTROMA 1896-1908. M.O. : CK. Cygne. H.: 9,1 cm. Lot en métal argenté : 2 timbales, 1 coquetier (usures). Lot en étain

abolie: Ma seule étoile est morte, et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m'as consolé, Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie, La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé, Et la treille où le Pampre à la rose s'allie. Suis-je Amour ou Phoebus, Lusignan ou Biron ? Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ; J'ai rêvé dans la grotte où nage la Sirène... Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron, Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée

seule Étoile est morte, – et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé, Rends-moi le Pausilippe et la mer d’Italie, La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé, Et la treille où le Pampre à la Rose s’allie. Suis-je Amour ou Phébus ?… Lusignan ou Biron ? Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ; J’ai rêvé dans la Grotte où nage la sirène… Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron : Modulant tour à tour sur la lyre

Cérès Bacchus Cupidon Pluton Attributs Domaine Colombe, rose, Beauté, amour myrte Arc, lyre, laurier Beauté, musique, poésie, chaleur solaire Airain Guerre Arc, flèches Chasse Casque, bouclier, Arts, guerre, chouette sagesse Blé Vigne, lierre, pampre, thyrse Ailes, arc, flèches Corne d’abondance, casque qui rend invisible Coupe Moissons Théâtre, vin Amour Enfers Hébé Héphaïstos Héra Hermès Erinyes Hestia Perséphone Poséidon Vulcain Junon Mercure Furies Vesta Proserpine Neptune Jeunesse,

Dionysos montrent la nature débridée de son culte, avec ses cortèges de fidèles (notamment des femmes, appelées Bacchantes ou Ménades), qui dansent jusqu'à atteindre l'extase mystique. Les attributs du dieu sont le thyrse (bâton entouré de lierre et de pampre) et la nébride (peau de faon), et les satyres qui l'accompagnent, mi-hommes mi-animaux, rappellent les danseurs minoens vêtus de peaux. L'extase et l'union avec le dieu offraient certainement un espoir d'immortalité, mais ce caractère n'apparaît pas

Ma seule Étoile est morte, – et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m'as consolé, Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie, La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé, Et la treille où le Pampre à la Rose s'allie. Suis-je Amour ou Phoebus ?... Lusignan ou Biron ? Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ; J'ai rêvé dans la Grotte où nage la Sirène... Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron : Modulant tour à tour sur la lyre

architecture richement ornée, avec les ressources du clair-obscur et de la perspective. On y devinait encore une suite d'Hercules terminés en gaine supportant une corniche à modillons d'où partait, en s'arrondissant, un berceau de treillages festonnés de pampres laissant apercevoir un ciel passé de couleur et géographié d'îles inconnues par l'infiltration des eaux de la pluie. Entre les Hercules, dans des niches peintes, se pavanaient des bustes d'empereurs romains et autres personnages illustres de l'histoire

1 Madame Patricia Louette Quatrième cours – lundi 14 février 2022 LGC – littérature – TD de tronc commun L1 – Semestre 2 – groupes L2LM14T04 & L2LM14T05 patricia.louette@orange.fr ______________________ Sommaire ______________________ Tutorat suite ■ Correction du DM • Grille de notation du commentaire composé Repérages sur le texte 3 de Chamisso ■ Dostoïevski (1821-1881) • Biographie • Genèse du Double • Résumé du Double Repérages sur le texte 4 de Dostoïevski