Pale

XIII - “L'expiation” Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine ! Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine, Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons, La pâle mort mêlait les sombres bataillons. 5 D'un côté, c'est l'Europe et de l'autre, la France. Choc sanglant ! des héros Dieu trompait l'espérance ; Tu désertais, victoire, et le sort était las. Ô Waterloo ! je pleure et je m'arrête, hélas ! Car ces derniers soldats de la dernière guerre 10 Furent

pour rien. J’aimais le vieux bonhomme. Il ne m’avait jamais fait de mal. Il ne m’avait jamais insulté. De son or je n’avais aucune envie. Je crois que c’était son œil ! oui, c’était cela ! Un de ses yeux ressemblait à celui d’un vautour, – un œil bleu pâle, avec une taie dessus. Chaque fois que cet œil tombait sur moi, mon sang se glaçait ; et ainsi, lentement, – par degrés, – je me mis en tête d’arracher la vie du vieillard, et par ce moyen de me délivrer de l’œil à tout jamais. Maintenant, voici le

A la pâle clarté des lampes languissantes, Sur de profonds coussins tout imprégnés d'odeur Hippolyte rêvait aux caresses puissantes Qui levaient le rideau de sa jeune candeur. Elle cherchait, d'un oeil troublé par la tempête, De sa naïveté le ciel déjà lointain, Ainsi qu'un voyageur qui retourne la tête Vers les horizons bleus dépassés le matin. De ses yeux amortis les paresseuses larmes, L'air brisé, la stupeur, la morne volupté, Ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes, Tout servait

sa noire légende avec la flamme écrite.Je hais la passion et l’esprit me fait mal ! Aimons-nous doucement. L’Amour dans sa guérite,Ténébreux, embusqué, bande son arc fatal.Je connais les engins de son vieil arsenal : Crime, horreur et folie ! - Ô pâle marguerite !Comme moi n’es-tu pas un soleil automnal,Ô ma si blanche, ô ma si froide Marguerite ? Charles Baudelaire, Les fleurs du mal, 1857 Le poète démontre la mélancolie de l'automne, qui ne peut que constater l'arrivée de l'hiver. Charles

monsieur le directeur…) Dino Buzzati était aussi un peintre, il meurt en 1972 à Milan. Œuvre la plus célèbre : Le Désert des Tartare (1940). POINT 2. Pauvre petit garçon c’est l’histoire de Dolfi, un enfant de 5 ans qui n’étais pas très beau, maigre, pâle et qui avais des petits yeux insignifiants qui vous regardait sans aucune personnalité, au contraire de ses camarades qui était fort, sportif et blond au yeux bleu. Il était au jardin public avec sa mère Klara, c’étais une habitude pour la famille

personnification "C'est un trou de verdure où chante une rivière" (vers 1), "…le soleil de la montagne fière…" (ligne 3), ce qui participe à donner une essence humaine à la nature. Ensuite, nous pouvons également remarquer, l'emploi de la métaphore "Pâle dans son lit vert où la lumière pleut." (ligne 8). Grâce à cet utilisation, Rimbaud, fait interagir la nature dans l'action ce qui renforce encore la présence de cette dernière dans ce poème. Cependant, c'est à la fin du deuxième quatrain que la

d’elle aux autres bannis. Louise n’a pas une personnalité qui marque les esprits, et les rares fois où elle s’exprime il semble que même les personnages de la pièce choisissent d’ignorer ce qu’elle dit (Louise : « …tout ton corps tremble, et tu es pâle comme la mort » - Lorenzo : « Tu es beau, Pierre, tu es grand comme la vengeance. »). Lorsqu’elle s’exprime ce ne sont jamais des paroles profondes, ou qui démontre de l’intelligence, de la grandeur d’âme. Sa mort même a quelque chose de désuet, et

vin. 1.1. (0,5 pt couleurs + 0,5 pt justification) Pour V < VE, le diiode I2 versé est totalement consommé dès son ajout. La solution reste vert pâle. Pour V VE, il n’y a plus de SO2 dans le milieu réactionnel, le diiode ajouté devient en excès ; il colore la solution en violet foncé. On repère l’équivalence par le changement de couleur de vert pâle à violet foncé. 1.2. (0,5 pt) À l’équivalence, les réactifs sont introduits dans les proportions stœchiométriques de l’équation du dosage ::

« tes deux beaux seins » il compare également ses seins à des yeux « radieux comme des yeux » qu’on serait tenté de regarder. Aussi il est attiré par sa fragilité qui accentue sa beauté v.1 « Blanche fille » une connotation pour dire qu’elle est trop pâle et v.6 « son jeune corps maladif » car malgré qu’elle soit belle c’est une mendiante qui vit dans la rue à la santé fragile. Il fait alors l’éloge de sa beauté tout en soulignant son dénuement et sa pauvreté. Cet éloge dissimule une dénonciation de

rectangulaire, pleine, empâtée, lourde, bouffie, joufflue, maigre, creuse, anguleuse, osseuse, émaciée, ascétique, ridée, plissée, parcheminée.   4. Le teint Pâle, blême, blafard, livide, terreux, cireux, jaunâtre, coloré, frais, rose, clair, éclatant, lumineux, rougeaud, congestionné, cramoisi, rubicond, bronzé, bruni, hâlé, basané, hâve (pâle et décharné).   5. Les Yeux Forme : saillants, globuleux, à fleur de tête, ronds, allongés, en amande, étirés, bridés, petits, enfoncés, encaissés. Couleur