Pacte Briand-Kellogg

régime de Vichy et de la politique pétainiste. * Un pacifisme réaliste ou le pacifisme de gouvernement Dans un contexte géopolitique complexe suite aux conflits de la première guerre mondiale, volonté de paix ayant pour figure principale Aristide Briand réunissant autour de lui centre-droit modéré et centre-gauche radical. Les socialistes inspirés de Paul Faure retrouvent les positions de Jaurès mais préconisent également une action énergique des gouvernements en faveur de la paix. Ils ne rejettent

LA COURSE À LA PUISSANCE MILITAIRE EST-ELLE OBSOLÈTE ? La force de contraindre et de menacer est toujours gage de puissance malgré la place importante de la dissuasion nucléaire dans les relations entre Etats. On peut même parler actuellement d’une nouvelle “émergence militaire”.2 cas extrêmes qui montre la place ambiguë de la puissance militaire : · 9/11/2021 : accord de cessez-le-feu entre L’Arménie et l’Azerbaïdjan signer par Nikol Pachaian (président armenien) après six semaines d’opérations

destructions et la profonde vanité de la Première Guerre Mondiale avaient nourri un pacifisme généralisé, tel qu’il ne s’en était jamais présenté auparavant. On clamait haut et fort qu’elle serait « la der des ders », à tel point qu’en 1928, le pacte Briand-Kellog se proposait de mettre la guerre hors-la-loi. Pourtant, à peine vingt ans après l’armistice de Rethondes, l’Europe plongeait dans un conflit d’une violence plus radicale encore. Un simple regard sur l’histoire atteste à la fois

présent par rapport au projet Français Pourquoi 1920 ? C’est l’entrée en vigueur du traité de Versailles et la date de la création de la SDN le 10 janvier et dont la première réunion se fait à Paris Pourquoi 1929 ? C’est en septembre qu’Aristide Briand propose une sorte de lien fédéral entre les nations à Genève quelque semaine avant le krach boursier de la bourse de Wall street L’organisation de la SDN est fondée sur trois organes principaux qui sont : - L’assemblé, où tous les pays représentés

relations avec ce pays. ● Dès le début des années 20 la plupart des pays européens rejoignent la SDN pour assurer une sécurité collective, entrée de l’ale dans la sen en 26 réconciliation franco alla et belge grâce aux accords de Location + Pacte Briand-Kellog signé en 1928 mettant la guerre « hors-la-loi », entrée de l’URSS. ● Il manque parmi eux les États-unis qui ne sont pas membre de la SDN. Mais leur faiblesse majeure reste le manque de moyens d'action, elle ne possède qu'un faible équipement

inaugurée ne tarda pas à être brisée. La SDN et la sécurité collective n’ont pu réaliser leur objectif de paix et de désarmement pour plusieurs raisons : 1- Des vices structurels de la SDN L’abstention des Etats-Unis. Le traité de Versailles et le pacte de la SDN qui y est incorporé n’ont pas été ratifiés par le sénat américain. Les Etats-Unis ne sont donc pas membres de cette organisation à la création de laquelle ils avaient contribué. Aussi, la SDN perd son principal soutien politique et militaire

Extraits du pacte Briand-Kellog – 27 août 1928 • En 1918, la Société des Nations est affaiblie dès sa création. Le refus des États-Unis d'y adhérer, l'hostilité allemande à une SDN intégrée dans le traité de Versailles, et la non-application du principe d'origine une nation = un État, laissent en germe de nombreuses difficultés. La minorité allemande de Tchécoslovaquie est un des points de tension. Même si en 1926, l'Allemagne entre à la SDN, soutenue par la France, et que le pacte Briand-Kellog

entre les anciens belligérants, le montant des réparations dues par l’Allemagne est finalement adopté, après avoir été revu à la baisse. Les initiatives en faveur de la paix du ministre français des affaires étrangères, A. Briand, rencontrent un certain écho (le pacte Briand-Kellog, en 1928, vise à interdire tout recours à la guerre dans les relations internationales). Cependant, l’arrivée de régimes dictatoriaux et guerriers, en Allemagne et au Japon (en Italie aussi) modifie profondément le climat

• 2) Le rapprochement franco-allemand sous Briand et Stresemann Aristide Briand, ministre des affaires étrangère français de (1862/1925/1932) est l’homme du rapprochement avec l’Allemagne suite à l’occupation de la Ruhr. Il s’appuie sur le chancelier Stresemann (1878/1923/1928). En 1925 par le pacte de Locarno sous l’égide de Mussolini, l’Allemagne reconnaît sa frontière occidentale. En 26 , L’Allemagne entre à la SDN parrainée par la France et Briand et Stresemann reçoivent le prix noble de la

Une Conférence sur le désarmement tentée à partir de 1932 (Genève) s’est traduite par un échec. Quelques accords en rapport avec le désarmement furent toutefois adoptés entre les deus guerres Exemples (voir page 5, note de bas de page 4): Pacte Briand-Kellog signé en 1928 et entré en vigueur un an plus tard. Il condamne « le recours à la guerre pour le règlement des différends internationaux ». Évidemment, l’échec de la Conférence sur le désarmement est lié au contexte des années 30 : dissensions