Ouvrage d'art

de Bruxelles. En 1862 Lemonnier publie pour la première fois, dans un l’Uylenspiegel un journal littéraire un contes intitulés "Brosses et tampons". A l’occasion de l’exposition générale des Beaux-arts de Bruxelles en, 1863, il publie son premier ouvrage de critique artistique. Camille Lemonnier fréquente essentiellement des peintres mais lui se consacre à la littérature. En avril 1866 il reçoit une lettre de félicitations de Victor Hugo à qui il a adressé le manuscrit de Sabbat, une œuvre qui ne

A quelles conditions la réécriture d’une œuvre littéraire devient-elle une création à part entière ? « Tout le monde imite » déclare Aragon dans la préface de son ouvrage Les Yeux d’Elsa, nommée « Arma virumque cano », reprenant ainsi lui-même pour titre le premier vers de l’Enéide de Virgile. Si Aragon affirme avec désinvolture qu’il imite, c’est que cette imitation ne le condamne pas à la répétition. Pour lui, c’est donc une chance de pouvoir s’appuyer sur ces prédécesseurs. Pourtant, cela ne

(1798-1863) : Né près de Paris à Charenton-Saint-Maurice, lieu célèbre pcq c’est le Charenton « des fous » : c’est là où se trouve un asile d’aliénés connu. Au XIXème s : toujours pour désigner une aberration quelconque, terme utilisé parfois par critique d’art : Emile Zola quand il condamne la peinture a sujet antique : « c’est le Charenton de l’art ». A propos de Delacroix, on a associé sa naissance à l’espèce de folie qu’il a développée dans son œuvre. Théophile Gautier : a très bien connu Delacroix :

possède un don particulier dans la création d’œuvres d’arts. Seulement, l’artisan crée aussi des œuvres d’arts. Alors, qu’est-ce qui distingue l’artisan de l’artiste ? Et l’artiste, doit-il uniquement utiliser son talent afin de créer une œuvre d’art ? Nous verrons donc dans un premier temps la différence entre un artisan et un artiste et dans un second temps le travail de l’artiste. Un artisan est une personne qui exerce à son compte un métier d’art manuel. Cette personne a tout d’abord été élève

comme un jugement absolument subjectif. Se demander s’il est possible de prouver la beauté d’une œuvre d’art, c’est-à-dire de la mettre en lumière par des raisonnements incontestables, cela revient à poser le problème de la nature du sentiment esthétique et celui de sa communicabilité. Le contemplateur reste-t-il isolé dans un solipsisme ou peut-il espérer tendre à une universalité ? L’œuvre d’art ne s’apprécie-t-elle que sur des critères sensibles ? Mais c’est également donner des « critères »

biographique, Fernand Hazan, Paris * 1964 : Brassai, Conversations avec Picasso, Gallimard, rééd. 1997, 400 pages * 1975 : o Cesareo Rodriguez-Aguilera, Picasso de Barcelone, traduit de l'espagnol par Robert Marrast, éditions du Cercle d'art, Paris (ISBN 978-2-7022-0103-9) o Pierre Cabanne, Le Siècle de Picasso, 4 tomes ; tome I, « La Naissance du cubisme » ; tome II, « L'Époque des métamorphoses » ; tome III, « La Guerre » ; tome IV, « La Gloire et la Solitude » ; Denoël, Paris

et un arrangement idéal, créant une illusion d’espace particulière. Il a créé un monde plus parfait qu’aucun dont il eût été témoin. Après avoir été pratiquement oublié durant près d’un siècle, Vermeer fut redécouvert en 1866 lorsque le critique d’art Théophile Thoré-Burger lui consacra une série d'articles. Depuis cette redécouverte, la réputation de Vermeer s’est amplifiée, et il est à présent reconnu, avec Rembrandt, comme l’un des plus grands peintres du siècle d'or néerlandais.

l’oeuvre que nous avons devant les yeux ne veut rien dire, ne transmet aucun message, n’a aucune signification. Une tel jugement tend alors à dévaloriser l’objet de la création en allant généralement jusqu’à considérer qu’il ne s’agit pas d’une oeuvre d’art. Reprocher ainsi à une oeuvre de ne rien vouloir dire peut conduire à deux remarques au moins. Tout d’abord, ce jugement pourrait être remis en cause en considérant que le spectateur qui le porte n’a pas saisi ce que l’oeuvre veut dire. Ce n’est pas

|Observations : | Sujet : POURQUOI APPLIQUE-T-ON LE TERME DE CREATION A L’ACTIVITE ARTISTIQUE ? Nous avons toujours tendance à penser esthétique et beau, lorsqu’il s’agit d’art. Cependant le terme est beaucoup plus complexe. Tout art est fonde sur une technique. Ceci dit serait-il juste de réduire l’art a une simple application de techniques ? Ou encore artiste et artisan dans ce cas ne feraient-ils donc qu’un ? D’autre

effet une nouvelle sorte de musée du High Tech, exposant des produits de haute qualité. Des œuvres d’arts En effet, l’Apple Store s’intègre dans une vision de musée d’exposition. Ce ne sont plus des spécialistes en tableaux ou en sculptures mais des gens de tous horizons confondus qui se retrouvent dans un lieu nouveau. Le concept autour du produit se ressent comme la mise en valeur d’une œuvre d’art ; à la seule différence que l’Apple Citizen peut le tester, le prendre en main. Concernant l’architecture