Ouïe

confirme le titre « A celle qui est trop gaie », l’enjambement permet une description plus précise de la femme.V2 : répétition de « beau », insistance, la femme associée au paysage est un topos de la poésie romantique.V3 : « le rire joue » : métaphore, ouïe et vueV4 : « Comme un vent frais », toucher et vue : synesthésie : cette femme sollicite les sens du poète et du lecteur.V5 : « Le passant chagrin » : peut-être référence à lui et s’oppose à la femme « trop gaie »V6 : suite de la description, appel

couleurs |vue : reconnaissance des |toucher avec les|goût amer, les |MS | | |caractéristiques et |ouie : les bruits du |ouie : autres |formes simples |pieds, la |saveurs | | | |leurs fonctions. |quotidien et premiers|instruments, jouer, avec|toucher avec les mains, |matière |ouie : créer | | | | |instruments de |sa voix |la texture

Ainsi, le thème de la chevelure apparaît-il dans chaque paragraphe du poème. A chaque fois, les cheveux sont associés à un thème Paragraphe 2 : Les sensations : « le parfum » (odorat), « vois » (vue), « sens » (toucher), « entends » et « musique » (ouïe) Paragraphe 3 : Un voyage exotique : « rêve », « moussons », « charmants climats », « espace [...] bleu », « l’atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles » et l’univers maritime « voilures » et « matures », « grandes mers » Paragraphe

d’assister à une grande fête qui convoque 2 sensations : * Vue (1ere ligne) : embellissement de l’armée par 4 adjectifs mélioratifs précédés de l’adverbe d’intensité « si » -> représentative du style Voltairien + cadence majeure + 2 assonances. * Ouïe (2e phrase) : orchestre dont l’ordre de présentation ménage une gradation (son + léger au + grave) -> représentative du style voltairien avec les énumérations. Cependant, il y a 2 intrus « canons » et « enfer » qui passent inaperçus -> opposition de

enfermement/ampleur V.11: « infâmes » (adj péjoratif-hyperbolique) >> description cauchemardesque monstrueuse peuplant le spleen (chauve-souris ; araignée) / « muet » = silence pesant – sentiment de solitude>> ouïe // comparaison araignée/peuple = personnification évoque le nombre = + monstrueux --> peuple = invasion des araignées silencieusement dans la tête du poète V.12 :

|v.2 « bonjour ! » : ouïe |homme – nature. Dans | | |v.5 « vu » : vue |cet exemple un seul mot | | |v.6 « palpiter » : toucher |Concerne plusieurs sens : synthesis. | | |ouïe |

Exceptionnellement, il mange des charognes, des fruits, des insectes. Il avale de l'herbe pour se purger et son estomac peut contenir jusqu'à 5 k g de nourriture. Le loup dispose d'un excellent odorat (odorat, ça veut dire sentir). Et aussi d'une bonne ouïe (ouïe veut dire entendre). Le loup peut atteindre la vitesse de presque 60 km/h et peut faire 100 km en une nuit. Le record fut celui d'un vieux mâle : il fit 400 km en 4 jours. L'intelligence du loup se traduit surtout par l'organisation de la meute

 laquelle  la  nature  est  «  morte  »,  enfin  endormie,   en   hibernation.   En   hiver,   tous   se   passe   au   ralenti.   Au   deuxième   vers,   l’auteur   réveille   notre  ouïe.  Mais  le  plus  important,  il  nous  dit  «  près  du  feu  qui  palpite  et  qui  fume  ».    La   fumée  induit  à  l’odorat.  Nous  avons  le  feu  qui  vient

deux personnages ne peuvent pas se toucher. Ensuite nous pouvons dire que le rire du spectateur peut être provoqué par la difficulté de compréhension entre les deux personnages. On peut relever par exemple : NAGG. Notre ouïe n'a pas baissé. / NELL. Notre quoi? / NAGG. Notre ouïe… Ainsi ici on n'a bien un contraste entre le fait que Nagg soit persuadé qu'ils n'ont aucun problème d'audition alors même que Nell lui demande de répéter. Nous pouvons retrouver d'autre contradictions dans les paroles

voisine) - Le tremolo (Effet de tremblement obtenu par la répétition rapide d'un son au violon) - … Même si parfois il a seulement actualisé ou magnifié des effets déjà existants : double corde (jeu simultané sur deux cordes). On rapporte que son ouïe était remarquablement développée Benati :« La délicatesse de l'ouïe de Paganini surpasse tout ce qu’on pourrait imaginer [...] Au milieu de l'activité la plus bruyante des instruments de percussion de l'orchestre, il lui suffisait d'un léger toucher