Ouïe

Et toi ? - Nagg : Oui. ( un temps.) Notre ouïe n’a pas baissé. - Nell : notre quoi ? - Nagg : notre ouïe. - Nell : Non . ( Un temps) As-tu autre chose à me dire ? » Nous avons toujours un jeu de mots, de repetitions et de son , amenant à l’expression « nous sommes face à un discours de sourds » . Le rire du spectateur contre ce personnage se retourne contre lui, puisque nous deviendrons tous des êtres âgés , par conséquent notre corps, notre ouie , notre odorat ne serra plus comme aux premiers

et Nell sont atteints d’un même handicap, victime d’un accident de tandem où ils y ont laissé leurs « guibolles » et sont ainsi devenus tous les deux cul de jatte ! D’autres part, le couple marque la même déchéance physique de par leur vue et leur ouïe défaillant. Ce moment de la pièce met aussi en évidence le caractère symétrique de leurs répliques, qui marque l’union des amoureux. En effet, l’union de par leur affection et leur souvenir est fondamentale dans la relation du couple. Leur cohésion

réguliers des vagues, le repas est donc pris sur un bord de mer. C’est pourquoi, nous avons le champs lexical de la mer avec « poisson de mer » (l2), « pont du petit navire » (l11), « flots » (l11). Ensuite, nous apercevons le sens de l’ouïe avec « ouïe » (l1) « claquer » (l10). Tout au début les bruits sont doux avec le crépitement du poisson qui, « cuit à l’huile » (l2) et peu à peu, la serviette (« la voilure » (l10)) va venir claquer et briser ce silence. De plus, nous avons toujours les mouvements

Ainsi, le thème de la chevelure apparaît-il dans chaque paragraphe du poème. A chaque fois, les cheveux sont associés à un thème Paragraphe 2 : Les sensations : « le parfum » (odorat), « vois » (vue), « sens » (toucher), « entends » et « musique » (ouïe) Paragraphe 3 : Un voyage exotique : « rêve », « moussons », « charmants climats », « espace […] bleu », « l’atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles » et l’univers maritime « voilures » et « matures », « grandes mers » Paragraphe

gauche, symbole des connaissances acquises durant ma période d’apprentissage, j’effectue mon premier voyage d’instruction de Compagnon. A la fin du voyage, sur le plateau du FøHosp il m’est dévoilé un cartouche sur lequel je découvre les 5 sens : Vue, Ouïe, Toucher, Odorat et goût. Au cours des explications qui me sont fournies par le VøMø, j’apprends que le ciseau représente les connaissances acquises durant l’apprentissage et que le maillet symbolise l’énergie agissante qui les met en œuvre. C’est

confus, il perd tout sens : gout, ouïe, odorat par la souffrance, et l’enfer qu’il vit dans l’usine ‘’ bruler les tympans’’ ‘’cette odeur d’huile’’.De plus, la déshumanisation passe aussi par l’humanisation des machines, qui deviennent maitre des ouvriers. La personnalisation du ‘’petit wagon’’ qui devient ‘’fou’’ et qui ordonnent les ouvrier ‘’porter aux hommes leurs rations de contraintes’’ La déshumanisation de l’homme par le fait qu’il perd pensée, paroles, ouïe, odorat tout sens, qu’il soit soumis

lieux décrits par l'auteur (Algérie et France) sont opposés. . Relever tout ce qui les caractérise (ambiance, ce que l'on y voit, odeur, couleur, bruits, température,...) Lister au tableau ces éléments, les classer en fonction du sens mis en jeu (vue, ouïe, odorat, toucher) Montrer que la composition et le rythme du texte participent a sens. Il est ainsi composé de trois phrases: la première est une entrée à la matière , la deuxième est une série d'énumération

potentielle) : Nos clients sont les personnes ayant besoin d'appareil auditif et de lunette de vue. Nous visons les seniors (a partir de 50 ans), la cible est nombreuse car ces personnes commencent a prendre de l'age et leur sens s'affaiblissent (ouïe et vue particulièrement). Les seniors restent pour autant: actifs, un PA élévé du temps libre ils n'aiment pas être considéré comme des personens agées aiment innovation → C'est ce pourquoi nous savons que notre produit qui lit à la fois la

|le texte «Dort»(v.7,9 et 13), «frissonner»(v.12) | | | |Vocabulaire connotatif (sens) |Vie: ouïe:«chante» (v.1), odorat: «parfums» (v.12), | | | | |vue:«soleil//Luit»(v.3-4), «mousse de

l.10, « longs » l.12) : posent un cadre lugubre et inquiétant. On voit à peine « le ciel » l.1, qui habituellement connote l'espoir, car il est « couvert de vastes nuages noirs » (hyperbole). Notations sensorielles inquiétantes : ouïe : « sifflaient » l.11 ; ouïe et toucher : « un vent froid soufflait de la plaine » ligne 8 ; vue : absence des « fraîches lueurs de l'été » l.9. Un univers caractérisé par le manque : répétition du déterminant « aucun» aux lignes 8 et 9. Difficulté à repérer les