Ouidah

l’esclavage diffusée par la « Society for Effecting the Abolition of the Slave Trade », Londres.) « Porte du Non retour », Mémorial édifié à Ouidah en 1992 en mémoire des victimes des traites négrières (Ouidah ayant joué un rôle important dans l’embarquement des esclaves vers l’Amérique, autour de forts négriers) © Stéphanie Renoult/Ouidah au Bénin/2010 © Cned, Histoire-géographie et éducation civique 4e — 81 Séquence 2 — séance 3 « Un petit coup de pouce » à propos de la

du fleuve Congo dans les pays de Loango et d'Angola. Des sites de traite fixes s'échelonnent long de ces côtes, nombreux mais d'importance variable: sur la côte sénégambienne au nord, l'île de Gorée, les sites d'Elmina, Cape Coast, Anomabu, Accra, Ouidah, Porto-Novo, Bonny, Calabar sur le golfe de Guinée furent autrement productifs. La compagnie des Indes supprimée en 1769, les navires négriers purent aller à du cap de Bonne Espérance, sur la côte orientale de l'Afrique, à Mozambique, KiIwa, Ibo

Olympe Bhêly-Quenum Olympe Bhêly-Quenum (20 septembre 1928 à Ouidah au Bénin - ) est un écrivain béninois. Olympe Bhêly-Quenum est le fils d'une grande prêtresse du Vodoun. Il est né à Ouidah, ville historique, creuset du Vodoun au Bénin. Études primaires au Bénin (ex-Dahomey); initiation a la langue anglaise à Achimota Grammar School of Gold Coast, Accra (actuellement Ghana). Arrivé en France en 1948. Etudes secondaires et supérieures : collège Littré, à Avranches (Normandie) ; diplômes obtenus

particulièrement que l’essentiel des esclaves importés par les français à st Domingue est originaire du royaume de Dahomey (actuel Benin).Il rappelle que la région est surnommée « cote des esclaves » a l’époque et signale la contribution du royaume de Ouidah (environ 10 000 esclaves y étaient vendu chaque année). Il semble donc que les esclaves de st Domingue aient reconstitué le cadre religieux des peuples Fon et Yoruba dont ils étaient les membres. En Ainsi en langue Fon vodu signifie dieu, d’autre

|Non |Non |A construire | | |Abomey-Calavi-Sô-Ava |Oui |Oui |Bon | | |Ouidah-Kpomassè-Tori-Bossito |Oui |Oui |Bon | |Borgou |Bembèrèkè-Sinendé |Oui |Oui |Hôpital confessionnel

expérience de décentralisation précisément en 1955 avec la création des communes de plein exercice. Cette réforme a été consacrée par la loi n°55-1489 du 18 novembre 1955 qui avait institué cinq communes de plein exercice à savoir Porto-Novo, Cotonou, Ouidah, Abomey et Parakou. Les autres divisions administratives sont restées inchangées. Les Communes de plein exercice étaient dotées d’une assemblée élue connu sous le nom de conseil municipal, d’un organe exécutif local (Maire et adjoint) et d’un budget

COPHARBIOTEC est une Sarl créée le 30 Janvier 1987 avec pour objet principal, la production, l’importation et l’exportation des produits pharmaceutiques et agroalimentaires. Le siège social est fixé à AHOZON dans l’arrondissement de PAHOU, commune de OUIDAH. C’est une entreprise centrée sur la recherche-développement dans l’industrie pharmaceutique et agro alimentaire. Ce n’est que tout récemment dans les années 2006 qu’elle a réellement démarré ses activités. Elle produit et distribue plusieurs produits

développement, de préservation de l’environnement ou de gestion de services collectifs. Ainsi, l’on peut citer : le Conseil Intercommunal d’Eco-Développement Lagunes Côtières qui réunit les communes d’Abomey-Calavi, de Comè, de Grand Popo, de Kpomassé et de Ouidah, l’Association des Communes du Borgou (ACB), l’Association des Communes de l’Atacora-Donga (ACAD), l’Association des Communes du Mono Couffo (ACMC) et l’expérience nouvelle de la récente association entre les communes de Kouandé, Kérou et Pehunco

souvent puissants, parfois en rapport avec les présences européennes ponctuelles : Sénégambie ; côtes des Rivières avec leurs îles ; Sierra Leone jusqu'au cap des Palmes ; Côte de l'Or avec les fortifications européennes ; côte du golfe du Bénin avec Ouidah, Porto-Novo (Ardrah), Lagos (Ouni) ; côte du Biafrj avec Bonny, New-Calabar et Old-Calabar ; et, au sud de l'Equateur, Loango, MaJembo, Cabinda ; en Angola, peut-être le plus important des secteurs négriers, Mpinda, Loanda et Benguela. Sur la côte

n’a pu se réaliser et se développer qu’à partir de l’installation des comptoirs sur les côtes du continent. Les comptoirs étaient des points de liaison. Ils se situaient le long de la côte. On retrouvait l’île Gorée au Sénégal, El Mina au Ghana, Ouidah au Bénin, Luanda en Angola, etc. Ils se définissaient comme les lieux d’échange des marchandises venues d’Europe, contre des personnes humaines (hommes, femmes et enfants). Les Européens n’entraient nullement à l’intérieur du continent. Les patrouilles