On A Rien Sans Peine

publication du Dernier Jour. Le premier article, paru dans Le Journal des Débats du 26 février 1829, est de la plume d'un ami de Victor Hugo, l'écrivain Charles Nodier. On comprendra sans peine, à lire ces lignes plus que réservées, qu'elles aient pratiquement mis un terme à une vieille complicité. Quant à Jules Janin, qui fait preuve d'un humanisme si poussif et si désolant dans la conclusion que l'on donne ici du long article qu'il écrivit pour La Quotidienne du 3 février 1829, il est amusant

année, pour la première fois, ils n’en ont rien fait. Giovanni m’a écrit quelques lignes d’excuse. Une lettre curieuse, faisant allusion d’une façon vague à des difficultés, des ennuis de famille, mais qui n’explique rien. 10 Ah, combien de jours heureux ai-je vécus dans leur maison, dans la solitude des bois ! Vieux souvenirs, aujourd’hui pour la première fois vous surgissez, petits faits qui me semblaient alors banals, indifférents. Vous vous révélez à 15 l’improviste. Par exemple celui-ci : pendant

Document authentique ou fiction ? • A quel genre déjà étudiée pourrions-nous comparer ce texte ? [Un journal qui ne serait pas daté mais qui possèderait un chapitre par séance d’écriture + caractéristiques de l’expression de soi.] • De quoi traite ce journal ? [C’est celui d’un condamné à mort qui attend l’exécution de sa peine tout en espérant y échapper et qui compte les jours qui lui restent en réfléchissant sur sa condition. Voir à titre d’exemple les repérages temporels dans

J'aurais juste voulu que tu penses à moi de temps en temps, qu'une chanson ou un endroit te ramène à moi, que tu m'envoies un message avant d'aller te coucher. Un message de temps en temps pour me demander comment je vais. Le minimum m'aurait suffit. Je t'en demandais pas tellement. Mais même quand tu ne le faisais pas, je me disais que c'était pas grave, j'essayais de trouver des excuses, de me persuader que tu te souciais un peu de moi. On commence à fumer pour montrer qu'on est un homme

Messieurs, Mesdames les Jurés, Cet homme qui se tient là, devant vous, il à voler. Cet homme à tuer. Mais ce n’est pas le voleur que je défends ! Mais ce n’est pas le tueur que je défends ! C’est l’homme que je défends ! L’homme que la société a poussé à voler ! L’homme que la société a poussé à tuer ! L’homme emprisonné, séparé de sa famille, sui perd ses repères lorsqu’on le sépare de son ami, son frère ! L’homme poussé à bout par les sarcasmes de son geôlier, poussé au désespoir et qui commet l’irréparable

La Peine de Mort I) Histoire La peine de mort, ou peine capitale est la sentence ultime pour une personne ayant été reconnue coupable d’un crime capital : c’est un crime qui va à l’encontre des principes de la société, qui est inhumain, et qui entraine des conséquences irréparables (mort d’Homme). Pour donner la mort aux condamnés il existe différentes méthodes : la pendaison, les injections létales, les fusillades, l’utilisation de la chaise électrique, l’utilisation d’une chambre à gaz, la décapitation

d’accroche) L’incipit « Demain dès l’aube… » traduit la célébrité de ce poème qui se rattache à la fois à l’histoire personnelle de l’auteur et à un genre typique de la poésie. (Développement) En effet, ce poème - du recueil Les Contemplations (1856) - rappelle le genre lyrique où les sentiments sont exacerbés. (Contexte de l’œuvre) Cette œuvre de Victor Hugo est teintée de tristesse, relative à la perte de sa fille - Léopoldine – qui, quatre ans plus tôt, s’est noyée lors d’une promenade

La peine de mort est-elle la solution? Depuis le mois de février, la police compte plus de 120 différents délits dont l’assassinat e différents degrés et les vols en ont fait partie entre autres. Tous ces crimes mettent en évidence le manque de sécurité qui est présent dans notre quotidien. Instaurez la peine de mort!!! C’est le cri commun qu’on écoute lors de divers manifestations où beaucoup de personnes ont été victimes de différents crimes, ils protestent pour avoir justice

Justice, sur l’abolition de la peine de mort, à l’Assemblée nationale le 17 septembre 1981 M. le garde des sceaux. Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, j'ai l'honneur au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France. En cet instant, dont chacun d'entre vous mesure la portée qu'il revêt pour notre justice et pour nous, je veux d'abord remercier la commission des lois parce qu'elle a compris l'esprit du projet

11, pages 66 à 69. J’ai choisi cet extrait parce qu’il résume un peu toute l’histoire. En effet, on a d’un côté Michael qui est fou amoureux de Hanna et qui veut tout faire pour lui faire plaisir et tellement il l’aime, il accepte tout. De l’autre côté, on a la mystérieuse Hanna et son grand secret qu’elle ne dévoilera jamais, mais on peut peut-être le devine, si l’on réfléchit bien. La fin de l’extrait, explique un peu le choix du titre, Hannah veut que Michael lui fasse la lecture. A la fin de l’extrait