Olivier De Magny

travaillé3 je suis, Vu l’importun souci qui sans fin me tourmente, Et vu tant de regrets desquels je me lamente, Tu t’ébahis souvent comment chanter je puis. Je ne chante, Magny, je pleure mes ennuisa, Ou, pour le dire mieux, en pleurant je les chanteb ; Si bien qu’en les chantant, souvent je les enchante : Voilà pourquoi, Magny, je chante jours et nuits. Ainsi chante l’ouvrier4 en faisant son ouvrage4, Ainsi le laboureur faisant son labourage, Ainsi le pèlerin regrettant sa maison, Ainsi l’aventurier

mari achètent une maison avec jardin, mitoyenne à celle qu'ils possèdent déjà. 1552 : Louise commencerait à écrire ses sonnets : « Rumeurs à propos des mœurs légères de Louise » lors d'un procès à Genève. 1553 : Possible liaison de Louise avec Olivier de Magny. Date probable de la composition des première et troisième élégies (poèmes). 1554 : Date probable de la composition de la deuxième élégie. 1555 : 13 mars : Louise demande au roi le privilège d'édition pour la publication de ses

Le recueil des Regrets a été écrit à Rome de 1553 à 1557. Du Bellay y était intendant auprès de son oncle. Les Regrets ont été publiés en 1558 à Paris. Ce poème élégiaque est adressé à son ami Olivier de Magny (qui est aussi le dédicataireLe recueil lui a été dédié. du recueil) qui séjourna aussi à Rome de 1555 à 1556. Ce dernier a publié Les Soupirs à Paris. Les thèmes des poèmes du recueil sont l’exil, la satire (déception du poète par rapport à Rome) et le recueil contient aussi des poèmes d’éloges

toi volé) après que l’homme aimé dont nous supposons qu’il s’agit de olivier de Magny soit désigné par métonymie « Ô beau yeux brun, ô regards détournés » vers 1 et « Ô chauds soupirs, ô larmes épandues » vers 2. Néanmoins le nom de celui-ci, n’est jamais prononcé explicitement, ce qui donne un coté universel au poème, le lecteur peut donc s’identifier. Evidement vient le blason :l’énumération des parties du corps de Magny « Beaux yeux bruns » vers 1, « front, cheveux, bras, mains et doigts

et le soleil descendre Elle a seize ans et n’a jamais pleuré Les bras puissants de ces eaux qui se mêlent C’est cet amour qu’ils ne connaissent pas Qu’ils rêvaient tous deux Olivier comme elle Lui qu’un faux amour à Cahors trompa Vêtu de noir comme aux temps d’aventure Les paladins fiancés au trépas Ceux qui portaient à la table d’Arthur

Guillet, Louise Labé appartient au groupe dit « école lyonnaise », bien que ces poètes n'aient jamais constitué une école au sens où la Pléiade en était une. La lecture de ses œuvres confirme qu'elle a collaboré avec ses contemporains, notamment Olivier de Magny et Jacques Peletier du Mans, autour de l'atelier de l'imprimeur Jean de Tournes. Ses débuts : Elle écrit des poèmes à une époque où la production poétique est intense. La poésie française se donne alors des bases théoriques avec Du Bellay (Défense

Labé Louise Labé : poète du 16 éme siècle, est originaire de Lyon d’un milieu bourgeois ( Lyon = centre intellectuel et culturel du 16eme ) . Elle est reconnu a son époque pour écrire de beaux poèmes. Son amour douloureux et malheureux pour Olivier de Magny, va être la source de nombreux de ces poèmes don « je vis, je meurs … » ( poème lyrique qui décrit la passion et les sentiments contradictoires ). Présentation du texte : On est dans la tradition courtoise . Il n’y a pas de dimension dialogique

Renaissance).Son oeuvre est centrée sur l'expression de l'amour fou qui peut etre, comme on va le voir à travers l'étude de son sonnet le plus celèbre autant source de plaisir que de souffrance.C l'amour malheureux qu'elle vécut à 16 ans avc Olivier de Magny(ami de Du Bellay) qui fut à l'orig de ss sonnets ou ell exprim ls sensations d'1 amour extremement puissant; Comment ce poème met-il en scène ce desordre emotionnel,mental et physique? Par quels moyens st exprimés confusion? Ds quelles mesures

Labé à fait partie de l’école Lyonnaise qui a favorisé la poésie féminine. Il s’agit donc d’une femme d’exception. Elle s’inspire des poètes italiens, en particulier Pétrarque. Elle présente l’amour comme une passion complexe. Son amour pour Olivier de Magny est à l’origine de nombreux poèmes. Elle publie Élégies et sonnets en 1555. « Je vis, je meurs » est le 8ème sonnet d’une série de 24. Le thème dominant est l’amour passionnel, au sens étymologique la passion est synonyme de souffrance, de torture

écrit en 1550 où le coté passionnel est bien mis en avant par la violence de la femme sur son amant. On retrouve d’ailleurs la même passion dans le poème de Louise Labé « Sonnet II » du recueil Œuvres de 1555, quand elle confie son amour pour Olivier de Magny en utilisant des mots assez cru. Mais ne vous méprenez pas, l’Amour n’est pas que douleur et peine. Bien au contraire, il est le plus souvent source d’un bien-être profond et d’extases extraordinaires donnant aux personnes habitées de ces sentiments