Oie

images métaphoriques, que le poète essaye d’ordonner, seule revanche de sa volonté. • Structure du texte Les quatrains et les tercets, s’ils sont distincts, ne s’opposent pas. ‒ Les deux quatrains, ramassés sur un jeu de deux rimes embrassées (-oie et –dure), exposent, par juxtaposition et coordination, les effets de la passion. Juxtaposition et coordination sont soulignées à l’attaque des vers dans le second quatrain : « Tout à un coup » (v.5) et « Tout en un coup » (v.8). ‒ Les deux tercets

b) Dernière attestation de pension (retraité ou pensionné) ; 픤èäߍ ñí«íƒæóªËŽØ˜äàß µŽÌäߍ “©Žì·®§ c) &%LODQH[HUFLFHHWO¶H[WUDLWGHU{OHPRLQVG¶XQPRLV ®ì·ðàËÞؗûÝ퍪 ßÒ¸Û®¨˜´ãí”óîè³”ô獰ôã C20  í“®¤ßæìäàß  (pour la fonctions libérales) ; 6-Certificat de résidence (daté de moins de 03 mois)

Virginie qui lui donne des nouvelles de Lantier. Coupeau, lui, n'a pas repris le travail et fréquente de plus en plus les cabarets avec ses amis Mes-Bottes, Bibi-La-Grillade et Bec-Salé. Gervaise organise un grand repas , dont le met principal est une oie rôtie. C’est lors de ce repas que Lantier resurgit. Il devient l’ami du couple. Lantier vit dans la boutique et refait la cour à Gervaise. Coupeau sombre dans la paresse, et Gervaise, elle aussi , travaille de moins en moins. Elle perd ainsi de l’argent

cause de son strabisme). Coupeau, lui, continue à travailler, mais commence à boire, ce qui n'inquiète nullement son épouse. La situation se détériore de plus en plus avec le retour de Lantier (dans une scène clef du roman: un fameux dîner où une oie est servie, signe de l'aisance de Gervaise, mais aussi première étape de sa chute implacable), que Coupeau accepte d'héberger sous son toit - moyennant théoriquement une pension que Lantier ne paye pas - et qui redevient l'amant de Gervaise. Coupeau

belles et à la peau bien blanche, mais dont le cœur était laid et noir. Une triste période commença pour la pauvre petite. /sεtfam/avεamne/ avεkεldøfij/ bεlzetalapobjε̃blɑ̃ʃ/ mεdɔ̃ləcœr/ etεlεenwaʀ/yn tʀistəpeʀjɔd/ kɔmɑ̃sa/puʀlapovʀəpətit/ - Cette oie stupide doit-elle habiter dans la même chambre que nous ? demandaient les deux filles. - Qui veut manger doit travailler. À la cuisine avec la servante ! /sεtwastypid/ dwatεlabite/ dɑ̃lamεmʃɑ̃bʀəkənu/ dəmɑ̃dεledøfij/ /kivəmɑ̃ʒedwatʀavaje/ alakɥizin/

bien gentille bête et une bonne âme ! DÉMÉTRIUS, La meilleure Âme de bête que j’aie jamais vue, monseigneur. LYSANDRE Ce lion est un vrai renard pour la valeur. THÉSÉE Oui, et une oie pour la prudence. DÉMÉTRIUS Non pas, monseigneur ; car sa valeur ne peut emporter sa prudence, et un renard peut emporter une oie. THÉSÉE Sa prudence, j’en suis sûr, ne peut pas emporter sa valeur ; car l’oie n’emporte pas le renard. C’est bien. Laissez-le à sa prudence et écoutons la lune. LA LUNE Cette lanterne

l’ivrognerie de Coupeau, Gervaise reste forte, et vaillante. Chapitre VII : -1858. -Ce chapitre relate la grande scène de la fête de Gervaise, qui a invité quatorze habitants de son quartier à partager un festin dont le « clou du spectacle » est une oie rôtie. Gervaise dépense de fortes sommes pour écraser les Lorilleux. C’est suite à ce repas populaire qui fait finalement participer tout le quartier, que Lantier décide faire sa rentrée. Chapitre VIII : -1858-1860. -Lantier s’installe et parasite

dans le premier carré en partant de la gauche la lettre U dans le premier carré en partant de la droite | | | | | | | | | | | 4. Ecris les mots suivants en lettres capitales d’imprimerie : chien, chat, lapin, canard, poule, âne, cheval, coq, oie, vache, veau, cochon, oiseau, girafe, éléphant, lion, guépard, zébu. _________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

présents dans le texte tels que « Cristi » (chapitre III), « Zut » (chapitre I), « nom de Dieu » (chapitre VIII). Les personnages sont grossiers, comme on peut le constater dans les citations suivantes : « à cause de cette cruche, de cette dinde, de cette oie grasse » (chapitre VII, Pierre s'adressant à Jean à propos de Mlle Rosémilly), « je suis un cochon d'avoir dit ça » (chapitre VII Pierre s'adressant à lui-même). Ce qui fait de ce roman un roman Réaliste est aussi le fait que Maupassant a choisi des

eadsfqsreryuoi hgazlemraztui hkjlfchqopizerr jqkjmserôvi qoiertiovazporie efazûzaoiôrz dfalzkrmjerâ cddpzafori^^gazltkjv^rzoirezpori^rf azeroîêirozerpo zpaeorize^roizeôrp opaziraepori zoeizoei oziezoe zoie zoeiz ezoie zoei zoeizoe izoeiz oezi ezoei zoeiz oie oizoeiz ezoeiz oezez oei zejhkjdjfhdhcbdchb cb hdcbd chb hcbdhcb dcbhd bcdhcbd hc bdhcdhcbdcdcbdhhcbdhc bd bchdbcbdhcbdbcdhcbdhcdbhcdbchdbcdhcbdhcbdhcbd cbdhhcb dhcbdhcbd dcbhdb cbdhdbc d L'autre , c'est MOI ! Introduction (Amorce) L’introduction