Obus

que si il meurt au combat, il sera considéré comme un héros. Dans ce texte il parle d'un obus, qui, malheureusement ne lui portera pas chances par la suite. Dès le premier vers, le poète envisage sa mort prochaine sous forme d’une proposition conditionnelle « Si je mourais là-bas… » Le poète fait fleurir d’étonnantes comparaisons qui donnent de la mort et de la guerre une vision positive et lyrique « Un bel obus semblable aux mimosas en fleur ». Dans ce texte Appolinaire oppose la nature et le bonheur

femmes ont tendance à pendre la place des hommes au travail, elles travaillent dans des usines de fabrication d'obus, Ces travaux là sont très physiques car ils sont initiallement déstinés aux hommes. Elles portent des obus de 7 kilos chacun et comme elle doit soulever deux fois chaque obus, elle soulève en un jour 35 000 kg. Les hommes, eux partent au front pendant que les femmes travaillent à l'usine. Le principe de guerre totale est ici aussi respécté car même mes femmes participe activement à la guerre

les conditions de vie des combattants à Verdun ? Décrivez les types d’armements utilisés à Verdun « Un Enfer de Verdun » Un armements modernes et meurtriers Des pertes énormes (surmortalité) Une utilisation d’armes nouvelles (artillerie lourde, obus, mitrailleuses, gaz …) Des bombardements intensifs et incessants Des blessures nombreuses, défigurations Liens avec l’arrière Des armes défensives (barbelés…) La peur de la mort, la perte des amis, la lassitude Le poids majeur de l’artillerie

il y en aura encore tant à subir héroïquement, à franchir, avant d’arriver au dernier de la guerre ou de sa vie. » Chapitre 12 : « Le portique » Poterloo veut revoir son village natal, Souchez. Le narrateur l’accompagne, malgré le danger et les obus. Ils prennent la route de Béthume, défigurée par les tranchées, jonchée de cadavres sans sépulture. Quand ils arrivent, le village a été rayé de la carte par les bombardements : « Il cherche à l’infini parmi ces choses éventrées, disparues, parmi ce

victoire, la guerre de position entraine le développement de nouvelles armes dans l’espoir de percer les lignes de défense adverses. Malgré l’intensité des bombardements (quatorze mille obus tombent chaque jour sur Verdun entre février et décembre 1916), les lignes de tranchées sont efficaces. Les mortiers, les obus explosifs, les lance-flammes ou les gaz de combats (gaz moutarde par exemple, inauguré par les Allemand dans les Flandres en 1915) font entrer les combats dans l’âge industriel. En 1918

| | |Identifier le problème de santé de |Objectif : identifier les risques professionnels de l’opérateur chargé de la mise sur obus. | |l’opération | | | |Problème : Déterminer les problèmes de santé de l’opérateur

terrains et reliefs ; - Il doit pourvoir facilement adapter ses défenses par rapport aux armes employées par l'ennemi, ainsi que s'adapter aux évolutions techniques et militaires de la guerre moderne  Condition de vie difficiles :  Huit mille obus tombaient chaque jour sur le fort et ses environs, et ceci par une journée calme. les conditions de vie dans les tranchées sont très mauvaises pour les soldats : manque d’hygiène (poux, rats, boue…) et de nourriture. Ils dorment dans leurs vêtements

passage de l’imparfait au présent de l’indicatif et l’impératif, l’hypothèse n’est donc plus irréelle mais réelle. Apollinaire fait la repetition du verbe "mourrir" qu'il ecrit trois fois dans son poeme, avec "si je mourais la-bas", "comme meurt un obus" puis "Lou, si je meurt la bas" on peu alors constaté que le poéte envisage deja sa mort et qu'il en a peur. il nous traduis aussi la fatalité de la guerre en employant les termes "meurt", "sang", "fatal giclement de mon sang". La citation "Je rougirais

franchissement des seuils conventionnels de la guerre Une violence de guerre sans précédent + le rôle de la science : Les obus (paysages / victimes, blessées par les ondes de choc des obus). Science et industrie  1880 : invention de l’obus (la mélinite) La violence des explosions a augmenté = nvx armements pour la destruction de l’ennemi. Puissance meurtrière des obus = mort violente de masse  anonymat dans les morts des combats Des cors debout aux corps couchés = perte de fierté  Mutation

Loeb et Daniel Elena emportent leur neuvième titre consécutif de champions du monde des rallyes. 7 octobre : élection présidentielle au Venezuela. 6 octobre : mort de l’ancien président de la république algérienne Chadli Bendjedid. 3 octobre : un obus de mortier tiré depuis la Syrie tue une femme et ses quatre enfants à Akçakale, en Turquie, entraînant une riposte de l’artillerie turque sur des positions de l’armée régulière syrienne. 1er octobre : Teodoro Lonfernini et Denise Bronzetti deviennent