Obus

car ils ont perdu l'excitation de l'ambiance de la guerre. Tous sontpassionnés par l'artillerie et la balistique. C'est pourquoi ils sont enchantés et soutiennent le projet d'Impey Barbicane, qui est leur président. Celui-ci veut en effet envoyer un obus vers la Lune. Leprojet est d'autant plus viable que les astronomes travaillant à l'observatoire de Cambridge le jugent réalisable. De plus, il obtient le financement par une souscription organisée au niveauinternational. Un seul personnage pense

manière allusive. En effet, les dénotations sont peu nombreuses et concentrées au début et à la fin du texte. De plus, elles restent générales. Tout d'abord, les armes sont évoquées dans les premières et dernière strophes, avec les termes « canons » et « obus ». Pour que le terme de « guerre » apparaisse, il faut attendre la dernière strophe et l'expression courante de « partir à la guerre », utilisée une seule fois. Pourtant, sont évoquées de nombreuses réalités qui connotent la guerre : ainsi, « la

sans avancer de points de vue idéologiques ou moraux, […] de la façon la plus exacte et jusque dans le détail le plus cocasse la réalité sordide de la guerre. » 1 En effet, ils y racontent fidèlement leur vie de soldats français. Dorgelès décrit les obus comme « toute une meute lancée sur des débris de maisons »2 Il explique que « la fusillade crépitait […] sur cette troupe massée, la mitrailleuse bloqua son tir. »3 Un peu plus loin sur le front, Jünger raconte que « les masses de magnésium enflammé

mendie et on voit un homme qui lui donne un timbre (référence à la censure des lettres durant la guerre). 1- Apres la Premmière Guerre mondiale (1914-1918), il y a beaucoup d’invalides car de nombreux soldats ont étés blessés par balle ou par des obus, certains ont dû être amputé ou ont eu des problèmes cérébraux.

lignes de défenses creusées dans la terre, les tranchées, reliées entre elles par des boyaux d’accès.Il y avait plusieurs moyen de tuer l'énnemie il utilisaient pour se battre des fusils sur lesquelles était fixée une baïonnette, des mitrailleuses, des obus, des gaz asphyxiant .Les soldats vivent et meurent dans les tranchées, dans la boue, dans la vermine avec les rats et les cadavres , dévorer par les poux , le poilu est piégé dans l'étroitesse des tranchées avec ses camarades . Ils vivent vraiment

l’industrie métallurgique dans la production de canons, l’automobile dans la production de camions pour l’armée et de moteurs d’avion et même dans les obus… L’exemple des entreprises Renault est particulièrement connu. Séquence 4 – HG11 11 © Cned – Académie en ligne Production de Renault Voitures Camions Chars d’assaut Moteurs d’avion Obus de 75 et de 155 Taille des usines 1913 1484 174 0 0 0 11,5 ha (hectares) 1918 553 1793 750 5 000 2 millions 34 ha On remarquera au passage que

désinformation, censure Dans tous les pays, l’économie est tournée vers la guerre. Des usines se convertissent pour produire du matériel de guerre (ex : les usines Renault qui produisaient des véhicules automobiles fabriquent désormais des chars, des obus…) Les femmes remplacent les hommes à l’usine et dans les champs. On a même surnommé

mémoire, il a donc peint des tableaux témoignants de ce massacre ( Les joueurs de skat, 1920 ). Ce tableau est logique, à gauche les rangés de soldats montant au front, au milieu le "no man's land" avec les soldats morts ( défigurés par les obus ) et un survivant avec un masque à gaz ( gaz moutarde inventé par les allemands en 1915, utilisé pour la première fois à Ypre ). A droite, les survivants faisant demi-tour, autoportrait d'Otto Dix présenté comme un héros aidant un camarade bléssé.

peau.. quelques minutes après l'acte, j'ai réellement  pris conscience un peu plus tard, que j'étais devenu un criminel..  que j'avais tué quelqu'un qui était comme moi.., finalement, qui endurait les mêmes  souffrances, la même peur de se prendre un obus ou encore , un coup de fusil en pleine tête.Je regrette sincèrement ce que j'ai fais, j'ai conscience de la gravité de mon acte. J'ai bien cru que j'allais le laisser la, sans vouloir connaître son  identité, par peur que ça me ronge l'esprit toute

Le 30 décembre 1914, 6 h du matin Ma chère Zéline C’est de la tranchée que je t’écris au milieu d’une fusillade et d’une canonnade ininterrompue et indescriptible les balles nous sifflent aux oreilles et viennent s’étaler à nos pieds. Les obus passent sur nos têtes et parfois éclatent à quelques pas de nous. Depuis que je t’ai quitté je n’ai pu dormir une heure, je suis harassé. L’ennemi a là en face la tranchée à une dizaine de mètres et on s’entend causer parfaitement. Je fais des mines