Obseques De La Lionne Plaire Instruire

infidèle » (IX, 1), le continuateur. III – « Mon imitation n’est point un esclavage » A – Une liberté revendiquée Il revendique une liberté créatrice par rapport aux anciens : il faut renouveler une matière usée par la tradition et plaire au public en adaptant les fables au goût de l’époque. Cf préface de 1668 : « …on veut de la nveauté et de la gaieté. Je n’appelle pas gaieté ce qui excite le rire mais un certain charme, in air agréable qu’on peut donner à toutes sortes de sujet,

utilisent également l’argumentation indirecte. L’argumentation indirecte est littérairement représentée par un récit bien particulier : l’apologue. L’apologue est un récit à visée didactique, un récit pédagogique, formateur et argumentatif, il veut plaire en instruisant (placere et docere). Il se décline en plusieurs genres littéraires. Premièrement, la fable, genre poétique, composée d’une narration (le « corps ») et d’une morale implicite ou explicite (l’ « âme »). Le fabuliste de talent Jean de

soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans est de « plaire », de séduire, d’attirer l’attention au prix d’ « artifices » et d’hypocrisie. Comme leurs mœurs, leur relation avec Dieu n’est pas « nette », comme le suggèrent les rites stéréotypés des hommes à l’Eglise. Les termes suggérant l’apparence sont récurrents :

soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans est de « plaire », de séduire, d’attirer l’attention au prix d’ « artifices » et d’hypocrisie. Comme leurs mœurs, leur relation avec Dieu n’est pas « nette », comme le suggèrent les rites stéréotypés des hommes à l’Eglise. Les termes suggérant l’apparence sont récurrents :

ai eues. Cependant je suis traité avec la même rigueur que si j'étais haï ; j'ai espéré au temps, je n'en dois plus rien attendre ; je la vois toujours se défendre également contre moi et contre elle-même. Si je n'étais point aimé, je songerais à plaire ; mais je plais, on m'aime, et on me le cache. Que puis-je donc espérer, et quel changement dois-je attendre dans ma destinée ? Quoi ! Je serai aimé de la plus aimable personne du monde, et je n'aurai cet excès d'amour que donnent les premières certitudes

dans ces quatre poèmes ? | |- Aubigné, « Misères », Les Tragiques |2) Identifiez le registre de chacun des poèmes. Justifiez votre réponse. | |- La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables |Commentaire : La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII | |VIII |Dissertation : Paul Eluard affirme que « le poète s’engage dans son temps et mène| |- Hugo, « Chanson », Les Châtiments

Les obsèques de la Lionne : 1678, Fable 14, Livre VIII On peut la voir comme une petite pièce de théâtre, un petit-drame. C'est une fable audacieuse, car la fabuliste s'attaque directement au Roi & à sa cours, il dénonce les abus de pouvoir, la corruption des courtisans. Vision pessimiste sur l'humanité de l'auteur, même si il garde une certaine joie dans chaque fable. → Le petit théâtre des Fables : distribution des rôles, dialogue. Pouvoir incarné par le Lion Brutalité :

accessible à travers les époques. Finalement, ses portraits et maximes ont à la fois une portée historique, qui permet de saisir l’esprit de ce siècle, et une portée sociologique que l’on peut toujours reconnaître aujourd’hui. La Bruyère peint pour instruire et atteint l’universel dans cette visée d’instruction.→ manon lescault→ la bruyere en r§ès fin observateur pressentt la degradation, le declin des valeurs aristocratiiqe,le siècle d’après consacrera au libertinage de l’aristocratie manon lescault

Sainte-Beuve (1804-1869), Causeries du lundi (1851-1862). Les Fables se composent de deux grandes parties : - Première partie : livres I à VI : dédiées au jeune Dauphin, ce sont les fables les plus connues. La Fontaine avait pour but de « plaire et instruire ». Elles présentent une moralité susceptible d’être facilement comprise. La Fontaine emprunte à Esope et adapte à l’époque le fabuliste grec. - Deuxième partie : livres VII à XII : celles-ci sont dédiées à Madame de Montespan, maîtresse du

divers aspects de l’engagement des auteurs au service de la critique sociale, principalement au XVIIe et au XVIIIe siècles. Corpus de textes Texte A. La Fontaine, « Les obsèques de la lionne », Fables, livre VIII, 14 Texte B. La Bruyère, Les Caractères, « De la cour » (19, 5) Texte A. La Fontaine, « Les obsèques de la lionne », Fables, livre VIII, 14 Jean de La Fontaine, auteur des célèbres Fables (publiées de 1668 à 1693) qui lui valurent un immense succès, fut un protégé du surintendant Fouquet