O Temps Suspend Ton Vol Lamartine

« Le lac » d’Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre de Ronsard, Amours de Cassandre, 1552 «  Et la mer et l’amour… » Pierre de Marbeuf, recueil de vers, 1628 Alphonse de Lamartine, Méditation poétiques (1820)

ça vientTITRE DE L'OEUVRE : Avec le temps (1971) AUTEUR: Léo Ferre (1916-1993) "Avec le temps...Avec le temps va tout s'en vaOn oublie le visage, et l'on oublie la voix.(...)Avec le temps...Avec le temps va tout s'en vaL'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluieL'autre qu'on devinait au détour d'un regard(...)Avec le temps tout s'évanouit"Dans ce poème, Léo Ferre évoque clairement le thème du temps - il répete le mot cinq fois - mais il

fantaisiste. Ex : Le volcan fume sa pipe. d/ L’allégorie  : consiste à personnifier une idée abstraite (la mort, la rancune…) Ex : La sombre Jalousie au teint pâle et livide. (Voltaire)Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! Levons l’ancre. (Baudelaire) e/ Le symbole  : est la représentation d’une notion abstraite par un personnage, un animal ou un objet. Ex : La colombe est le symbole de la paix. Le(s) laurier(s)

Anthologie Poétique : La fuite du temps Sommaire : « Arrivé dedans Rome... », Les Vingt-quatre sonnets Romains, Jacques Grévin, 1560 « Sonnet à Marie », Second livre des Amours, Pierre de Ronsard, 1578 « Assieds-toi sur le bord... », Le Mépris de la vie et de la Consolation, Jean-Baptiste Chassignet, 1594 « Hélas ! Qu'est-ce de l'homme orgueilleux...  », Jean Auvray, 1623 « A mes amis », Evariste de Parny, 1778 « Le

Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) Alphonse de Lamartine, est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politique. Il est l'une des plus grandes figures du romantisme en France. Il utilise lyrisme avec les thèmes de la nature, de la mort, de l'amour (voir « Le Lac »). Le Lac Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à

lui plaît d’y produire ; aussi est-elle le seul art complet, nécessaire et qui contienne tous les autres ». Dans quelles mesures cette définition de la poésie, formulée par le poète parnassien, s’applique à l’art verlainien ? Dans un premier temps, nous verrons en détails l’art parnassien et ce qui en découle. Puis nous étudierons l’art verlainien afin de savoir s’il s’accorde avec la définition de Théodore de Banville. L’éloquence est le moyen le plus facile pour les auteurs de capter

bruyère en fleur. Alphonse de Lamartine (1790-1869), Méditations poétiques (1820) « Le Lac » Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, "Aimons donc, aimons donc! de l’heure fugitive,Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Hâtons-nous, jouissons !Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Lhomme n’a point de port, le temps n’a point de rive;Jeter l’ancre un seul jour ? Il coule, et nous passons !"Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière, Temps jaloux, se peut-il que ces

| |I - Le jardin, métaphore de la vie du poète | |II - Le Temps comme ennemi | |III - Une renaissance : retour de l’inspiration | |Outils indispensables pour le décryptage du texte | |Le type de texte, la versification, les sonorités, l’énonciation, | |les valeurs des temps et modes des verbes, les adjectifs antéposés | |et postposés, les adverbes, le champ lexical, champ

Martine est aussi un amour perdu, passé. Mais celui-ci est beaucoup plus paisible. Le poète se remémore sa douceur, ses murmures. Il essaye de revivre ses moments de bonheur passé en écrivant ce poème. Enfin Le Lac l’un des plus célèbres poèmes de Lamartine dans lequel il écrit tous ses souvenirs amoureux pour ne jamais les oublier.  Pour clôturer cette anthologie, j’ai trouvé important d’ajouter un poème sur le souvenir de guerre et de toutes les personnes mortes pour la France. Louis Aragon nous

hait ; Et que rien n'exauce et que tout châtie Leur morne souhait ; Parce qu'elles sont maudites, chétives, Noirs êtres rampants ; Parce qu'elles sont les tristes captives De leur guet-apens ; Parce qu'elles sont prises dans leur oeuvre ; Ô sort ! fatals noeuds ! Parce que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit... Passants, faites grâce à la plante