O Strophe Du Poète

Guillaume Apollinaire (né Wilhelm Albert Włodzimierz Aleksander Apolinary Kostrowicki, herb. Wąż. Apollinaire est en réalité — jusqu'à sa naturalisation en 1916 — le 5e prénom de Guillaume Albert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky) est un poète et écrivain français, né sujet polonais de l'Empire russe. D'après sa fiche militaire, il est né le 25 août 1880 à Rome et mort pour la France le9 novembre 1918 à Paris. Il est considéré comme l'un des poètes français les plus importants du début du xxe siècle

et enfin nous verrons le spleen baudelairien du poème. I)Une forme particulière : 1) forme fixe orientale : le pantoum • Le fonctionnement du pantoum : o Reprise des vers 2 et 4 de la première strophe aux vers 1 et 3 de la deuxième strophe ; reprise des vers 2 et 4 de la deuxième strophe aux vers 1 et 3 de la troisième strophe....... Cette forme est arrivée en France avec Hugo dans Les orientales, et les Parnassiens ont travaillé sur cette forme. 2) une forme adaptée • Le pantoum permet

puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! Trop tard ! Jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! Description Je vais vous présenter mon poème intitulé " A une passante " de Charles Baudelaire.Je vais vous l'analyser en commençant par parler de la description de celui-ci, la compréhension et l'interprétation

qui le poète s’adresse t-il ? Il s’adresse au lac Qui prononce les paroles entre guillemets ? C’est Julie Charles (à partir du vers 9) Qui est le « nous » dans la dernière strophe ? C’est l’Homme en général, tous les êtres humains. Le poète part d’un souvenir très précis (sa première rencontre avec Julie Charles) puis donne à son poème une portée générale : c’est une réflexion sur la fuite du temps et sur la mort. Les deux derniers vers veulent dire que la fuite du temps est inéluctable. Ô est l’admiration

d'aussi angélique qu'une fleur ? Et de cela on peut revenir à la première affirmation, qui est que la poésie est là pour faire passer un message, tout comme les fleurs. La rose, par exemple est le symbole de l'Amour. Charles Baudelaire, grand poète de son époque, a donc relevé le défi. En effet, en juin 1857, il fait éditer « Les fleurs du Mal », recueil de poésie aux termes et actions forts crus. Même à notre époque, personne n'étale ainsi sur la place publique de telles choses. Cet ouvrage

a) Une déshumanisation de la femme : dernière strophe Etat de lassitude : accentuation par le rythme binaire : « malades », « verrouillées » Décor en adéquation avec l’état de dénuement dans lequel elles sont : « sans vêtements, sans pain », à nouveau rythme binaire qui met en relief le nouveau statut auquel elles accèdent. Aux vers 7 et 8 de la dernière strophe : martèlement du traitement inhumain qu’on leur inflige à travers l’assonance nasale [õ] « Toulon », lieu de départ vers l’exil pour les

puis le rappel du premier drame de l'histoire humaine (Adam et Ève pleurant sur leur fils dans ‘’Les malheureux’’) jusqu'à la vision apocalyptique de ‘’Ce que disait la bouche d'ombre’’. Réinterprétant le mystère de la création et de l'évolution, le poète y développe une philosophie composite et syncrétique, réconciliant christianisme, pythagorisme et panthéisme. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Victor Hugo, le plus grand poète du romantisme. Il est extrait du recueil Les Contemplations. Le recueil retrace la vie de Victor Hugo de 1830 à 1856, une période durant laquelle il à été marqué par la mort de sa fille Léopoldine. “J’aime l’araignée et j’aime l’ortie” se situe dans la 3e partie du recueil intitulé “les luttes et les rêves”. Il est composé de 7 quatrains découpés en décasyllabes, ces rimes sont toutes croisées. 1) L’expression d’un amour paradoxale 1ere strophe: dès le premier vers avec

Baudelaire , Les Fleurs du mal.Parcours : Alchimie poétique : la boue et l’orETABLIR UN PLAN DETAILLEQuestion :Les Fleurs du Mal sont dédicacées au poète Théophile Gautier, qualifié de « parfait magicien » dont le langage serait capable de « sorcellerie évocatoire ». Peut-on dire que le recueil poétique de Baudelaire procède lui aussi d’une parfaite magie ? Vous répondrez à cette question en proposant pour chacune des grandes parties

rosée et son masque à la main, B Une nuit de printemps joue avec le matin ». B (Alfred de Musset, Premières poésies). Rimes croisées : ABAB CDCD Ex : « Depuis longtemps déjà je t’ai laissé tout seul A Cependant me voici t’apportant mon mensonge B Poète sois joyeux tu sembles un linceul A Regarde-moi c’est moi je ne suis pas un songe. » B (Apollinaire, Poème à Lou). Rimes embrassées : ABBA CDDC Ex : « La tzigane savait d’avance A Nos deux vies barrées par les nuits B Nous lui dîmes adieu et puis B