O Jeune Florentine

fantômes, à toucher ce qui l'effraye, à mépriser ce qui la protège! Cela va plus vite qu'on ne pense; le vrai mérite est de frapper juste. Et quel trésor que celle-ci! tout ce qui peut faire passer une nuit délicieuse à Votre Altesse! Tant de pudeur! Une jeune chatte qui veut bien des confitures, mais qui ne veut pas se salir la patte. Proprette comme une Flamande! La médiocrité bourgeoise en personne. D'ailleurs, fille de bonnes gens, à qui leur peu de fortune n'a pas permis une éducation solide; point

.....................................157 SCENE 8 ..........................................................................................160 ii Lorenzaccio Auteur : Alfred de Musset Catégorie : Théâtre Le duc Alexandre de Médicis est jeune et mène une vie de débauche. Il règne sur Florence par la terreur. Il est détesté, mais pas autant que son cousin, Lorenzo de Médicis, surnommé Lorenzaccio. Licence : Domaine public 1 ACTE I ACTE I 2 SCENE PREMIERE Un jardin

toucher ce qui l’effraie, à mépriser ce qui la protège ! Cela va plus vite qu’on ne pense ; le vrai mérite est de frapper juste. Et quel trésor que celle-ci ! tout ce qui peut faire passer une nuit délicieuse à Votre Altesse ! Tant de pudeur ! Une jeune chatte qui veut bien des confitures, mais qui ne veut pas se salir la patte. Proprette comme une Flamande ! La médiocrité bourgeoise en personne. D’ailleurs, fille de bonnes gens, à qui leur peu de fortune n’a pas permis une éducation solide ; point

toucher ce qui l’effraie, à mépriser ce qui la protège ! Cela va plus vite qu’on ne pense ; le vrai mérite est de frapper juste. Et quel trésor que celle-ci ! tout ce qui peut faire passer une nuit délicieuse à Votre Altesse ! Tant de pudeur ! Une jeune chatte qui veut bien des confitures, mais qui ne veut pas se salir la patte. Proprette comme une Flamande ! La médiocrité bourgeoise en personne. D’ailleurs, fille de bonnes gens, à qui leur peu de fortune n’a pas permis une éducation solide ; point

Lorenzaccio Auteur : Alfred de Musset (1810-1857) Date : 1834 Mouvement littéraire : Romantisme Genre : Théâtre Drame Romantique Les personnages : LORENZO : Au pur Lorenzo succède donc celui que les Florentins appellent Lorenzaccio, en ajoutant à son nom un suffixe marquant le mépris. Incarnant toute la débauche de sa ville, Lorenzo jouera donc un double jeu pendant toute la pièce, celui de « Lorenzino », héros romantique par excellence, empli d'idéaux, et celui de « Lorenzaccio », personnage

la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain. Après son enfance à Vinci, Léonard est élève auprès du célèbre peintre et sculpteur florentin Andrea del Verrocchio. Ses premiers travaux importants sont réalisés au service du duc Ludovic Sforza à Milan. Il œuvre ensuite à Rome, Bologne et Venise et passe les dernières années de sa vie en France, à l'invitation du roi François Ier. Léonard

féminine imprègne la « pièce de théâtre » comme l’intitule son auteur. De la débauche avant toute chose ou Du bon usage des femmes «Toutes les femmes sont faites pour coucher avec les hommes» (I, 6, p. 46) 3 Tout commence par la séduction préparée d’une jeune fille de quinze ans, où Lorenzo a su humer une « exquise odeur de courtisanerie » (I, 1, p. 16). Sœur de Maffio, doublement ravie Gabrielle est déjà « à moitié payée » (ibid.) : la pièce s’ouvre donc sur une transaction prostitutionnelle, Lorenzo fait

Sa soeur-pouse son arme Si tu nes pas lamour unique 4 Au tournant dune rue brlant De tous les feux de ses faades Plaies du brouillard sanguinolent O se lamentaient les faades Une femme lui ressemblant 5 Ctait son regard dinhumaine La cicatrice son cou nu Sortit saoule dune taverne Au moment o je reconnus La fausset de lamour mme 6 Lorsquil fut de retour enfin Dans sa patrie le sage Ulysse Son vieux chien de lui se souvint Prs dun tapis de

Gargiani FILIPPO BRUNELESCHI (1377-1446) - Son père était notaire Il a une formation d’orfèvre, construire des montres était sa passion (cf. : la montre que son fils adoptif a réalisé selon le modèle de B). Peintre, orfèvre et architecte de l’école florentine Antonio di Tuccio Manetti, biographe de Filippo Brunelleschi Novella del Grasso Legnaiuoto Masaccio: peintre élève de Brunelleschi, il utilise la perspective redécouverte par Brunelleschi Giorgio Vasari: il a écrit les vie des artistes à partit

ailes sont sont esprit, son imagination. Dans le serpent qui danse, Baudelaire compare une femme à un serpent qui danse, et à un bateau. « On dirait un serpent qui danse; au bout d'un bâton »; « Ta tête d'enfant; se balance avec la mollesse; d'un jeune éléphant ». Dans le Chat (1er), le narrateur caresse son chat, et cela le fait penser à sa femme. Il compare alors leur regard, et « un dangereux parfum », « corps brun ». Leur point commun sont leurs griffes dangereuses, et leurs jolies courbes