O Gouffre Hugo

surprenante de deux termes qui sont plus ou moins contradictoires : « les fleurs » : elles relèvent de tout ce qui est Beau - «le mal »: il évoque 1force irrésistible , tout comme la beauté, mais contrairement à la vraie beauté, cette force pousse vers le gouffre et possède le pouvoir de dégager en nous plusieurs puissances cachées qui nous dirigeraient au-delà de nos propres limites. Le mal est ici la corruption triomphante et l’exaltation de l’esprit et des sens . 3 thèmes dominants

formuler que dans un rapport de réciprocité avec la nécessité d'occuper les positions favorables et de les aménager, surtout, en vue des mouvements décisifs. Plaire et convaincre ne vont pas sans ces calculs qui font la spécificité de l'écrire Hugo, par l'application ou la subversion qu'ils opèrent des règles de la dispositio, en quoi consiste l'invention du roman et se mesurent les intentions du romancier. Effets, à tout coup, d'une « préméditation involontaire ». Composer, c'est, par exemple

Abdelkader BENALI ; II – Solitude volontaire A/ l’envie d’être seul Le Parfum, Patrick SÜSKIND. La solitude, Marc Antoine Gérard Sieur DE SAINT AMANT. B/ la solitude acceptée L’étranger, Charles BAUDELAIRE. Les Contemplations, Victor HUGO. COMMENTAIRE SUR « Les Rêveries du Promeneur Solitaire », Jean Jacques ROUSSEAU. Ce texte est un extrait du roman « Les rêveries du promeneur solitaire » de Jean-Jacques ROUSSEAU. Il traite le thème de la solitude à travers un personnage qui

Encore un qui meurt. — Désastres en Crimée. Bassesse dans le parlement. Attitude du proscrit devant le proscripteur. [modifier] I AUX HABITANTS DE GUERNESEY Janvier 1854. Une condamnation à mort est prononcée dans les îles de la Manche. Victor Hugo intervient. Peuple de Guernesey, C’est un proscrit qui vient à vous. C’est un proscrit qui vient vous parler pour un condamné. L’homme qui est dans l’exil tend la main à l’homme qui est dans le sépulcre. Ne le trouvez pas mauvais, et écoutez-moi

la loupe... Les reins portent deux mots gravés : Clara Venus ; - Et tout ce corps remue et tend sa large croupe Belle hideusement d'un ulcère à l'anus. « Le Mendiant » Les Contemplations , Victor HUGO (1856) Un pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.  C'était

bras passe | |Je deviendrais une ombre sans doute. |Des éternels regards l'onde si lasse | |O balances sentimentales. | | |J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps

catholique. Mais il a des élans révolutionnaires et, dès 1844, il fait parler les prolétaires et les paysans. Lecture d’extraits des Paysans. 10 min 40 s PRINCIPAUX THÈMES La Comédie humaine : un vaste système romanesque « Voilà l’œuvre, voilà le gouffre, voilà la matière. » C’est ainsi que le romancier évoque, le 26 octobre 1834, la tâche à accomplir. « En donnant à une œuvre entreprise depuis bientôt treize ans, le titre de La Comédie humaine, il est nécessaire d’en dire la pensée, d’en raconter

de sang; x Que son immense sein, soulevé par une âme, Est d'amour comme dieu, de chair comme la femme, Et qu'il renferme, gros de sève et de rayons, Le grand fourmillement de tous les embryons! Et tout croît, et tout monte! *4 Poésies — ô Vénus, ô Déesse! Je regrette les temps de l'antique jeunesse, Des satyres lascifs, des faunes animaux, Dieux qui mordaient d'amour l'écorce des rameaux Et dans les nénufars baisaient la Nymphe blonde! Je regrette les temps où la sève du monde, L'eau du fleuve

vraiment catastrophiques. » est une antiphrase. Antithèse (féminin) : Une antithèse est un procédé qui consiste à rapprocher deux pensées, deux expressions, deux mots opposés pour mieux faire ressortir le contraste. Exemple dans Ruy Blas de Victor Hugo (acte II, scène 2) : « […] un homme est là / qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ; / qui souffre, ver de terre amoureux d’une étoile […]. » Antonomase (féminin) : C’est une figure par laquelle on remplace un nom commun par un nom propre

calme plat, grand miroir De mon désespoir ! Auxquels répond le début de L'Homme et la Mer : Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras... Ainsi, chez Baudelaire, non seulement le miroir a pour fonction de représenter à l'homme son image, mais il redevient lui-même image en s'identifiant métaphorique