Névrose Psychose

Objectifs généraux :  Savoir diagnostiquer une psychose et un délire chronique  Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient Objectifs spécifiques :  Signes cliniques de la schizophrénie  Connaître les signes du syndrome dissociatif  Formes de début de la schizophrénie  Modalités évolutives (risque suicidaire, pronostic social) de la schizophrénie  Attitude diagnostique et thérapeutique face à un épisode délirant aigu  Connaître les stratégies de soins des

notion de MSDD et la CFTMEA, centrée sur la notion dysharmonie évolutive de Misés et remaniée pour devenir compatible avec la CIM10. originale de On note dans le DSMIV une importance croissante donnée à l autisme au détriment de la notion de psychose infantile. Les classifications ont donc toujours un présupposé théorique. Ces différences d approche étiologique et de priorités rendent compte des divergences sur le devenir des pathologies précoces. Trois diagnostics seulement ont une haute stabilité

Ce document a pour but d’étudier les liens qu’il existe entre psychose et pulsion de mort à la lumière des théories de Jacques Lacan. Dans une première partie, nous tenterons d’expliquer le concept de forclusion du Nom du Père qui, selon Lacan, est déterminant dans l’installation de la psychose. Ensuite, nous nous focaliserons sur le rapport à l’Autre du psychotique et tenterons de le mettre en lien avec la notion de pulsion de mort. "C'est dans un accident dans le registre du signifiant, à

imprécis avec somatisation ). Il existe différentes névroses. a) Névrose d’angoisse Définition : état permanent d’anxiété associée à crises d’angoisses aiguës de courte durée provoquées par une contrariété ou une émotion. Symptômes : - sensation d’étouffement - dyspnée - agitation - douleurs constrictives (maux de tête, gène thoracique) - tremblements - nausées/vomissements - crise de tétanie - peur de mourir b) Névrose phobique Définition : état d’alerte permanent afin

I. Principales formes de psychoses selon l’âge d’apparition : a. Autisme et psychoses autistiques b. Psychoses à expression déficitaire c. Dysharmonies évolutives de structure psychotique d. Psychoses de la phase de latence II. La métapsychologie des psychoses infantiles a. Economie psychotique b. Dynamique c. Topique et représentante   La psychose infantile est une série de troubles de l’organisation de la personnalité et de la relation de l’enfant avec lui-même et avec son

des pensées latentes en contenu manifeste. Névrose : souffrance liée au sentiment de culpabilité. L’enfant est un pervers polymorphe. Education! L’enfant va renoncer à un certain nb de ses pulsions. NOUS SOMMES TOUS DES NEVROSES L’inconscient semble forgé totalement notre destin. La psychanalyse nous révèle que notre personnalité porte la marque de drames douloureux notamment qui resurgissent de manière déguisée dans les névroses et psychoses empêchant l’homme de vivre bien. Si le refoulement

un refoulement trop intense. Névrose et psychose : On dit de quelqu’un qu’il est équilibré lorsque le moi arrive à faire un équilibre entre le ça et le surmoi. Selon Freud, on à tous des tendances névrotiques ou psychotique. La névrose, c’est quand le surmoi est supérieur au ça ce qui peut créer de la timidité, etc. La psychose, c’est quand le ça deviens supérieur au surmoi. La « folie », c’est quand un des deux cotés écrase complètement l’autre. Un malade névrosé, c’est celui qui est écrasé socialement

bébés. En névrose renvoie au complexe de castration ; en psychose renvoie à la destruction. Planche 3 : planche très relationnelle ( réactivation du mouvement pulsionnel et renvoie à la thématique œdipienne. Planche 3 : gris, noir massif. Renvoie à la représentation de la force phallique. Planche 5 : noire. Planche reposante car semblerait représenter simplement un animal ailé ( capacité à s’inscrire dans la réalité. Cette planche est préservée même dans les grosses psychoses. Renvoie à

Psychologie clinique Névrose et Psychose : La psychanalyse (théorie freudienne), a connu des développements très variés selon l’endroit où l’on se trouve. Il y a eu un développement fulgurant entre 1900 et 1950 puis à partir des 40, 50,60 d’autres courants sont nés. Publications de Freud surtout entre 1895 et 1930. Freud était très sur de lui, pour lui trois grandes découvertes comme la terre est ronde… Beaucoup de choses étaient marquées par la psychanalyse. Le modèle Freudien est construit

indique un but, dans une projection ; il est éminemment structurant comme le surmoi et c’est le fruit de l’Oedipe. C’est dans le compromis névrotique c’est dialectisé. Moi idéal : existe dés le début de la vie/archaïque. On peut le voir dans la psychose surtout. M. Klein parle d’un surmoi archaïque dans la première année de la vie, que Lacan a repris dans le sens d’un surmoi féroce ≠ du surmoi de Freud qui négocie entre les désirs et les contraintes. Pb : S’il n’y a pas l’Oedipe comment se fait-il