Névrose Psychose

patients qui veulent que leurs symptômes disparaissent , on veut aller mieux vite ( avoir des TOC, agoraphobe) 2/ La névrose La pers reconnaît l'existence de ses troubles névrose hystérique excessive, dramatise, cherche à attirer l'attention névrose obsessionnelle la pers range, nettoie, vérifie ( handicapant à forte dose) pr gérer son angoisse. névrose phobique 3/ La psychose Y a perte de contact avec la réalité se manifestant par un délire, ms lq pers croit être ds la réalité. La paranoia

spécialités. Partie 2 1) En présentant votre réponse sous la forme d’un tableau, citez le ou les symptôme(s) commun(s) aux névroses et le ou les symptôme(s) commun(s) aux psychoses. Les psychoses : | Les névroses : | Anomalie de l’activité sexuelle | Le délire | Troubles du sommeil | | Asthénie | Seul symptôme commun à toutes les | Angoisse | névroses. | Troubles hypocondriaques | | Troubles du comportement alimentaire | | Agressivité | | Inhibition | | 2) Quels

entament une démarche scientifique. Thomas SYDENHAM (1624-1689) britannique marque son désaccord avec la théorie « utérine » de l’hystérie. Il utilise par ailleurs l’opium comme calmant. William CULLEN (1710-1790) britannique crée en 1769 le terme « névroses » désignant un ensemble d’affections du sentiment et du mouvement, sans fièvre ni lésions décelables. Le XIXème siècle Apparition d’un nouveau type de médecin l’aliéniste qui consacre tout son temps à fonder diriger ou reformer des asiles d’aliénés

Une tante paternelle semble être le modèle identificatoire de Dora, elle est décrite comme ayant une psychonévrose. Le frère de Dora est plus âgé d’un an et demi. Elle s’entend très bien avec lui. Il est un modèle pour elle. Sémiologie de la névrose On observe un antécédent de trouble dés 8 ans, décrit par Freud comme trouble nerveux. Le frère de Dora présente aussi ces troubles mais moins prononcé que pour Dora : migraine, toux, aphonie, douleurs abdominales, dépression, troubles du caractère

aucunes sorties) 3) 19e Siècle Vont être utilisées la nosologie et sériographie car le contexte scientifique le permet (nouvelles technologies) On classe les maladies On repère certaines maladies mentales : Délire de persécution Folie Psychose maniaco-dépressive Charcot va utiliser l’hypnose qui lui donnera un label scientifique : elle aide à reconstruire l’histoire du patient (l’usager en psychiatrie) Janet (élevé de Charcot) va élaborer toutes les conceptions psychiques de la maladie

Borderline I. Qu’est-ce que le trouble borderline : Le trouble borderline ou état limite est un trouble de la personnalité grave, plus grave qu’une névrose, qui touche environ 3% de la population et qui se soigne. C’est une maladie réelle, répertoriée et étudiée et non une « idée ». Le malade atteint de ce trouble est hypersensible, hyperémotif, et ne peut gérer correctement ses émotions, il peut passer au niveau comportement et émotionnel d’un extrême à un autre de façon imprévisible et brutale

la Mode. Nous parlons ici de Folie au sens général du terme, en occultant totalement la notion médicale et psychologique de cet état. David Cooper, psychiatre sud-africain prétend que nous sommes tous potentiellement fou. La limite entre la névrose et la psychose est infime, et nous pouvons tous potentiellement déraper et sombrer dans la Folie. Ainsi, la notion de Borderline intervient tout au long du projet en tant que ligne directrice. C’est dans ce contexte complexe que nous portons une réflexion

nerveuse (subcs), il y eu des événements plus ou moins traumatiques et qui en raison d’une faiblesse n’ont pas été exprimé au niveau de la mémoire et dc c’est le corps qui l’expose, ces événements vont fragmenter la mémoire sous forme d’idée fixe (=névrose obseessionnelle) et une faiblesse du moi qui donne symptome corporel et des troubles de mémoire qui signalenet avec les troubles corporelles, l’hystèrie. Freud, importance de la sexualité (en rf avec idées de Charcot non dit officiellement par Charcot

schrébérien".(Lacan démontra que les hypothèses de Freud quant à l'homosexualité de Schreber était fausse, car il n'y a pas de refoulement dans la psychose. L'homosexualité à l'époque de Freud était considéré comme une perversion, bien sur maintenant nous savons que cela est faux. Freud a essayé d'expliquer un cas psychotique par les processus de névrose car ce n'étaient que les seules bases théoriques sur lesquelles il pouvait s'appuyer.) Freud, après d’autres, s’y est intéressé. Lacan a suivi

multiples influences ont obscurci » (p.83). Une fois de plus, Freud défend l’idée d’une déduction du normal à partir du pathologique, et pense que l’étude des paraphrénies sera aussi éclairante pour la découverte de la psychologie du moi que celle des névroses l’a été pour la mise à jour des mécanismes névrotiques. L’idée d’un narcissisme primaire consiste à penser que la libido est originairement investie dans le moi, et que seulement « plus tard une partie en est cédée aux objets, mais fondamentalement