Névrose Psychose

recherche d’un mécanisme à l’origine de la psychose Le cas Schreber1 Plus tard, S. FREUD fait du narcissisme un stade « intermédiaire » dans le développement psychosexuel de l’enfant, (S. FREUD, 1911) se situant entre le stade de l’auto-érotisme, dont le modèle est la masturbation, et le stade caractérisé par l’amour d’objet. Dans le même temps nous pourrons voir comment l’auteur est parti à la recherche d’un mécanisme spécifique à l’origine de la psychose. En 1907, S. FREUD s’interroge déjà sur

qu’il pense devient une représentation. Il y a une série de jugement posé pour différencier l’expérience que nous avons. Freud a une démarche importante : c’est de décrire un mécanisme spécifique de la psychose, ce mécanisme est appelé rejet, tout comme il a avait décrit un mécanisme de la névrose : le refoulement. Dans le fonctionnement névrotique (histoire du château bal masqué) : le sur moi (« ce qui ne pas être pensée, désiré), le moi (renvoyer dehors ce qui ne peut pas être dedans (une pensée

lien avec la pulsion. Freud décrit un dualisme pulsionnel: d'un côté, les pulsions dites de vie poussent au progrès, de l'autre, les pulsions dites de mort poussent au rétablissement d'un état antérieur. 1. Rappels 1.3 Les classifications Névrose : Le conflit est reconnu : il peut être vécu sur le mode intra-psychique ou interpersonnel. Signée par la culpabilité. Angoisse de castration, punition. Différence des sexes, des générations, interdit de l’inceste, du meurtres sont acquis. La

il découvrit que cela était du à une fuite de gaz qu’il respirait pendant des heures dans son bureau car l’odeur de ces cigares dissimulait celle du gaz. Freud et Psychose En parelle il est aussi important de noter qu’à cette époque Freud ne s’était pas encore vraiment lancer dans de nombreuse analyse concernant les psychoses. Le Cas Schreber : Exposition du contexte du cas Schreber à partir de la préface et du Chapitre I du livre Le président Schreber, un cas de paranoïa, de Sigmund

questionnements et certaines tentatives de réponses autour de la pratique des ateliers d’écriture avec des patients étant hospitalisés en structure psychiatrique. Ecriture de Soi, Ecriture de Soin « Ecrire intérieurement sa vie, chacun le fait sans cesse, le névrosé le fait en hiéroglyphe et le psychotique sur un écran qui ne prends pas l’encre » Paul Claude Racamier Nous écrivons tous, c’est un fait, chacun avec sa langue et son histoire. Chaque mot fait signe et chaque groupe de mots fait sens, encore faut-il

psychanalyse (redonner par la parole le droit à l’existence) le petit Pierre à retrouver la parole et a pu de nouveau marcher. La psychanalyse nous montre alors trois types de maladies mentales : la névrose (qui amène des troubles du quotidien chez l’homme « normal » mais qui ne provoque pas de délires), la psychose (qui fait délirer l’homme et qui amène la « folie ») et la perversion (qui amène des troubles de la sexualité normale).Lorsque l’homme est atteint de ce type de maladie il est difficile de le

psychothérapeutique, provenant de la cure cathartique de Joseph Breuer. Elle est fondée sur l'exploration de l'inconscient à l'aide de l'association libre , son principe est la levée des refoulements pathogènes. Elle s'appuie pour cela sur l'interprétation de la « névrose de transfert »[5], [6]. Le credo des psychanalystes peut ainsi être formulé : « La psychanalyse a justement pour but essentiel de constituer l’homme, non en formules, mais en réalité : cet homme-ci, et puis cet autre, et puis encore celui-là, car

narcissique). Il existe un déni de l’autre dans son identité, sa personnalité. Ici, ce sont la domination et la disqualification du Moi d’autrui qui sont recherchés. Pour certains, il s’agit d’un fonctionnement différent de celui de la névrose et de la psychose. On parle « d’organisation » ou de « structure » perverse différente des perversions-paraphilies qui peuvent exister sans structure perverse. Les perversions sexuelles : Il s’agit d’un comportement sexuel : • Inhabituel (insolite

L'analyse se termine lorsque le refoulement a été suffisamment levé pour raisonnablement pouvoir penser que la névrose ne reprenne pas ses droits. Mais, note-t-il, ceci vaut pour des conditions normales, une situation traumatique pouvant par exemple tout de même compromettre la santé (Cf. Réaction thérapeutique négative). Sándor Ferenczi s'étant plaint que dans sa cure l'analyse du transfert n'ait pas été jusqu'à son terme, le transfert négatif n'ayant pas été traité, Freud lui répond implicitement

qui peut ne pas correspondre au sexe physique. Toute décompensation se fait dans les pathologies mentales correspondant à sa structure (ex. personne de structure hystérique, peut tomber dans une dépression névrotique, névrose d’angoisse, névrose phobique ou hystérique, mais pas psychose (comme la paranoïa ou schizophrénie) Ces structures ont un rapport différent à l’identité, la réalité, l’angoisse, et ont de grandes différences de stratégie sexuelle, amoureuse, affective, professionnelle. Pas la même